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l'État Profond se range derrière Tebboune !
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Que reste t il de gaid et ses boys ?
quasiment personne !!
Le pauvre Tebboune perdu cherche sadr hnine pour lui tenir la maison. Son projet de constitution a fait pschiiit et sa relance est en panne sèche.
Bref, au mieux ce sera un statu quo de 4 ans mais bon au pays des blaireaux le putois est roi
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yawww toz
C ce que je conseillé a un autre ''magnifique Biro" , kathrou el hzag , comme faisait Khadafi et ses fils , la fin tous le monde la connais , un tournevis bien placé et c fini .....ya plus eu d'odeur
- tu te met au panini c"" le magnifique"" , ta flagornerie est immense .........ila el amam , celui la c un chat noir
Dernière modification par zemfir, 28 août 2020, 22h25."sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"
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Salut okba30
Les 2 dossiers dangereux laissés par la 3issaba :
- Bicéphalie identitaire, multiplication des langues nationales, emblèmes, régionalismes ...
- Voix algériennes faisant paraitre mal l'Algérie à l'étranger, dont une bonne partie est affiliée au Makhzen, Mossad ....
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Le concept de "Etat profond" est une théorie du complot qui est souvent utilisée par les militants d'extrême droite pour défendre des politicards fascistes et corrompus. En Algérie, l'Etat officiel est un Etat mafieux et corromou dirigé comme une mafia par le cartel ANP/FLN. Concrètement, en Algérie, l'Etat officiel et l'Etat profond sont exactement la même chose. Aux Etats-Unis par exemple, ce sont les racistes néo-nazis pro-Trump qui parlent sans cesse de l'Etat profond pour défendre le parasite Donald Trump qui est le président le plus corrompu, le plus fraudeur, le plus arnaqueur, le plus mythomane et le plus fasciste de l'histoire des Etats-Unis. La théorie de l'Etat profond est utilisée par les racistes néo-nazis pour défendre la présidence du parasite Trump alors qu'il est un criminel fraudeur qui devrait être en prison tant il est coupable d'innombrables crimes financiers.
Un exemple concret de cette réalité: en 2013, le mafieux Bouteflika était devenu inapte suite à son AVC. Dans un Etat de droit, le mafieux Bouteflika aurait dû annoncer officiellement sa démission et l'organisation d'une présidentielle anticipée. Sinon, le parlement lancerait la procédure de destitution de Bouteflika pour inaptitude à la fonction présidentielle.
Or, qu'avait fait l'Etat mafieux ou l'Etat profond du cartel ANP/FLN suite à l'AVC de Bouteflika? Il avait comploté contre le peuple algérien pour maintenir le zombie Bouteflika au pouvoir. Pendant 6 ans, les mafieux du FLN et de l'ANP ont comploté et ont menti 24/24 aux Algériens en prétendant que le zombie Bouteflika était un président apte alors qu'il était un mort-vivant qui ne faisait que végéter dans les palais présidentiels entre 2 séjours médicaux coûteux en Europe. Non seulement l'Etat profond du cartel ANP/FLN avait offert un 4e mandat au zombie Bouteflika mais il a pire encore essayé de lui offrir un 5e mandat (voir vidéo).
Sans le Hirak, l'Etat mafieux et profond du cartel ANP/FLN aurait pu enfoncer encore plus les Algériens dans une humiliation mondiale avec un 5e mandat triomphal au profit du zombie Bouteflika.
En Algérie, l'Etat officiel est l'Etat profond et c'est un Etat mafieux dirigé comme une mafia par le cartel ANP/FLN.
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Dans un Etat de droit, le mafieux Bouteflika aurait dû annoncer officiellement sa démission et l'organisation d'une présidentielle anticipée.
Tout ce que vous dites reste absolument vrai, mais tout comme vous le dites, seulement dans un état de droit. Alors pourquoi vouloir faire endosser a Boutef des erreurs politiques dans les décisions prises alors que l'état de droit n'existait pas et n'est d'ailleurs pas encore concret a ce jour. A l'époque, démissionner et appeler a des élections se résumait a remettre la totalité du pouvoir a la junte qui gouvernait déjà le pays avec leurs pressions continuelles sur les hommes politiques. Les loups n'attendaient que cela, et ceux qui se dressaient contre le cinquième mandat, les aidaient en ce sens. Il n'y avait ni Hirak, ni vrais partis politiques, ni société civile, ni mouvement associatif, ni famille révolutionnaire, ni véritable opposition, ni rien qui pouvait annoncer la future république démocratique. Même ceux qui manifestaient par-ci ou par-là avaient chacun son président en tète. La vraie démocratie restait la plus inconnue dans ce décor. Le peuple dormait a volonté, laissant le pays entre les mains de la magouille, non pas par délaissement, mais clairement par manque de maturité politique.
Je pense donc en mon âme et conscience que le président, malgré sa maladie, malgré son entourage, avait bien fait de résister jusqu'à ce que le peuple se décida de se manifester un certain 22 février, pour enfin partir et laisser le pays entre de bonnes mains, c'est a dire entre les mains d'un peuple partiellement en éveil, même si les institutions connaissent encore des lacunes..A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.
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Je pense donc en mon âme et conscience que le président, malgré sa maladie, malgré son entourage, avait bien fait de résister jusqu'à ce que le peuple se décida de se manifester un certain 22 février, pour enfin partir et laisser le pays entre de bonnes mains, c'est a dire entre les mains d'un peuple partiellement en éveil, même si les institutions connaissent encore des lacunes..
dz(0000/1111)dz
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Je pense donc en mon âme et conscience que le président, malgré sa maladie, malgré son entourage, avait bien fait de résister jusqu'à ce que le peuple se décida de se manifester un certain 22 février, pour enfin partir et laisser le pays entre de bonnes mains, c'est a dire entre les mains d'un peuple partiellement en éveil, même si les institutions connaissent encore des lacunes..
Nous nous rappelons tous, de son entretien de 1999 avec une télévision française dans lequel il déclarait : "si je n'ai pas un soutien franc et massif du peuple algérien, je considère qu'il doit heureux dans médiocrité". Il a ajouté: "après tout je ne suis pas chargé de faire son bonheur malgré lui. Je sais rentré chez moi ...".
Voilà la vision qu'avait Bouteflika de l'Algérie et des algériens : l'Algérie n'est pas son chez lui et il méprisait les algériens. C'est un individu revanchard et sans état d'âme. Le journaliste Farid Alilat, qui a édité le livre "Bouteflika, l'histoire secrète" nous dit que Bouteflika avait déclaré à un de ses ministres qu'il avait pris le pouvoir pour se venger et qu'il n'allait pas le laisser de sitôt. Il en a fait de l'Algérie avec sa bande la "Mecque" de la corruption et de la prédation.
Si Bouteflika voulez laisser l'Algérie entre de bonnes mains, il aurait quitté le pouvoir après son 2ème mandat. Mais non, il a choisi de violer la constitution pour s'autoriser un 3ème puis un 4ème mandat.
En 2012, Bouteflika avait prononcé un discours à Sétif qui aurait pu être historique: « Jili, Tab jnanou » (ma génération est arrivée à terme). Un discours dans lequel il envisageait de prendre sa retraite politique et passer le relais à la nouvelle génération. Sept ans après, Bouteflika malade et absent envisage de se présenter à un 5ème mandat. Le mandat de trop qui a été la cause du déclenchement de la révolution populaire du 22 février.
L'Algérie n'est pas entre les mains du peuple algérien. Elle se trouve encore entre les mains d'une nouvelle bande qui était complice dans le désastre politique et économique provoqué par Bouteflika. Rien n'a changé, nous sommes dans un 5ème mandat sans Bouteflika.Dernière modification par shadok, 29 août 2020, 15h28.Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
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