La prolifération de la délinquance bas son plein, tandis que les services de sécurité sont occupées à traquer les contestataires au pouvoir, et faire du bizness sur la vente d'alcool prohibé ...
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Kidnappée ... Violée ... Puis... Brûlée. C’est la triste histoire de la jeune Chaima Sadou 19 ans,
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Affaire du meurtre de la jeune Chaïma : Les aveux du suspect poursuivi pour "viol,homicide volontaire avec préméditation
Affaire du meurtre de la jeune Chaïma : Les aveux du suspect poursuivi pour "viol,homicide volontaire avec préméditation et guet-apens"
a.lgerie1.com
Par Kaci Haider| 05 Octobre 2020 | 20:08
[IMG]https://www.*************/medias-2020/source/chai%CC%88ma-affaire.jpg[/IMG]
Le suspect dans l’affaire du meurtre de la jeune Chaïma a avoué avoir battu la victime, avant de l’asperger d’essence puis de mettre le feu à son corps, dans un endroit désert de la sortie ouest de la commune de Thenia (10 km à l’est de Boumerdès), a affirmé, lundi le procureur de la République prés le tribunal de Boumerdes.
Cette déclaration fait partie du communiqué sur l’affaire du meurtre de la jeune Chaïma, originaire de la commune de Reghaia (Alger), extrait de l’enquête préliminaire lu à la presse, par Hamache Khaled, procureur de la République prés le tribunal de Boumerdes, qui était accompagné du chef du groupement territorial de la gendarmerie nationale de la wilaya.
Toujours selon le même communiqué, cette affaire remonte au 2 octobre 2020, quand le suspect Dh.A (19 ans) s’est présenté aux services judiciaires de la gendarmerie nationale à Thenia, pour signaler que son amie Chaïma (19 ans) a été victime de brûlures au niveau d’une station d’essence désertée.
Le suspect a, aussi, déclaré dans cette même plainte, qu’il était sur les lieux, avec la victime le 1 octobre courant, et être resté avec elle sept minutes, avant d’aller chercher de la nourriture.
Après avoir parcouru prés de cinq mètres, il a vu de la fumée monter du lieu où se trouvait son amie,et il s’est enfui, a-t-il dit, avant de se présenter le lendemain pour signaler ces faits aux gendarmes.
Selon le procureur de la République, le suspect est revenu sur ses dires, suite à l’exploitation de différentes informations relatives à l’affaire. Ainsi le suspect a avoué que la victime, qu’il connaît depuis 2017, l’a contacté le 1 octobre courant, et ils se sont mis d’accord pour se rencontrer.
Suite à quoi il a loué une moto, a-t-il dit, et il est allé la chercher depuis la ville de Reghaia.
Le communiqué ajoute que les deux concernés sont arrivés vers 15h00 à la station d’essence désertée de l’entrée ouest de la ville de Thenia.
Apres avoir eu un rapport intime avec elle, le suspect a battu la victime, qui a perdu connaissance. C’est alors qu’il se rendit à une station d’essence mitoyenne, d’où il a ramené une bouteille de plastique remplie d’essence, aspergea le corps de la fille, avant d’y mettre le feu, puis de quitter les lieux.
L’examen du cadavre de la victime découverte brûlée et allongée face à la terre, a permis de faire le constat, selon la même source, de "la présence de coups et blessures à l’arrière de la tête, outre une importante plaie en haut de sa cuisse gauche".
Après investigations, les parties en cause dans cette affaire ont été transférées, lundi, devant le parquet de Boumerdes, a indiqué le procureur de la République, signalant l’interrogatoire du suspect, avant sa présentation devant le juge d’instruction, comme stipulé par l’article 67 du code de procédure pénal concernant la demande d’ouverture d’enquête.
Selon le même communiqué, le juge d’instruction a retenu contre le suspect les charges suivantes "viol, et homicide volontaire avec préméditation et guet-apens, en utilisant la torture", et "actes sauvages".
Le juge d’instruction a ordonné sa mise en détention à l’établissement pénitentiaire, jusqu’au parachèvement de l’enquête, puis son jugement.
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Ainsi le suspect a avoué que la victime, qu’il connaît depuis 2017, l’a contacté le 1 octobre courant, et ils se sont mis d’accord pour se rencontrer.
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Suite à quoi il a loué une moto, a-t-il dit, et il est allé la chercher depuis la ville de Reghaia.
Le communiqué ajoute que les deux concernés sont arrivés vers 15h00 à la station d’essence désertée de l’entrée ouest de la ville de Thenia.
Beeennn !!! si cela s'avère vrai ça change beaucoup les données ....
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Les aveux d'un violeur sont toujours à prendre avec précautions puisque aucun ne reconnaît jamais le viol et font croire qu'il y avait consentement de la victime. Son récit ne tient pas vu ses antécédents, il avait déjà tenté de la violer et elle avait porté plainte...
Beeennn !!! si cela s'avère vrai ça change beaucoup les données ....Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent
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Vraiment le destin des trois pays du Maghreb semble converger dans le drame et la douleur.
Il y quelques jours une fille tunisienne a subi le même sort, violée tuée et jeté au bord de la route,deux semaines plutôt un enfant marocain de 11 ans a été volé et tué par un monstre de 24 ans.
Dans les trois pays,des voix s'élèvent pour appliquer la peine capitale sur les coupables .
oeilfermé
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Les grands tabous poussent certains à justifier le crime, à diffamer, et à donner crédibilité à la version des barbares. Des jeunes filles tous profils sont violées chaque jour, sans compter les harcèlements sexuels et incestes. C'est très rare d'oser témoigner ou porter plainte, un grand tabou. La victime est montrée du doigt comme une honte pour avoir osé en parler.
C'est comme justifier tous les crimes des années 90 où des barbares allaient jusque dans les foyer enlever des jeunes filles à leur goût pour les violer et les assassiner si elles résistent.
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Oeil pour oeil ,dent pour dent, je suis favorable à faire appliquer à cet animal les mêmes sévices qu'il a fait à cette pauvre fille rebbi yerhamha.
s'ils n'ont pas les couile.s , qu'ils laissent le peuple s'en charger ..il arrive qu'un détenu s'évade.ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)
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Pour clarifier vos propos, le fait que la victime ait des relations justifie-t-il qu’elle ait été assassinée ?
Pas du tout ! Loin de là. Ça c’est un comportement violent, je l’ai dit en début d’interview. C’est un comportement qui est anormal. Il faut voir l’assassin et lui faire une expertise psychiatrique, voir s’il est normal. Pour faire ce qu’il a fait, ça dénote l’absence d’humanité, c’est clair. Ça ne justifie rien du tout, loin de là. Je mets ça sur le côté d’une anomalie, d’un trouble psychiatrique.
c'est un professeur ou un avocat de l'accusé?
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