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Nouveau massacre en Algérie

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    ne mélange pas les sujets stp , ici on parle des crimes en Algérie.
    D'ailleurs tu ne connais même pas notre, ma position sur la Palestine, les juifs, Tsahal.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Je suis totalement d'accord avec toi Nassim!
    aucun mot pour nommer!

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  • nassim
    a répondu
    Peu importe le nom qu'on leur donne : terroristes islamistes, intégristes musulmans, fanatiques musulmans ou encore terroristes tout court, ce sont des criminels tueurs d'enfants qui ne méritent aucun pardon et aucune circonstance atténuante. Face à ces monstres, l'éradication est la solution la plus humaine.

    Le récit du massacre : http://www.algerie-dz.com/article2058.html

    -
    Ce qui reste des véhicules attaqués.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Chers concitoyens, bonjour.

    Nous pensons alors qu'il est impératif de qualifier ces terroristes comme étant des criminels islamistes pour la raison disons-nous qu'ils les commettent "au nom de" leur croyance, seulement voilà qu'il faut avoir le courage d'assumer son propre raisonnement jusqu'au bout, prenons donc acte que c'est dans le cadre du "au nom de" que la question est placée, c'est à dire dans le cadre de la légitimité et non du motif, et il me semble insensé de vouloir placer le crime sur le champ de la légitimité quand bien même elle relève de l'intentionnalité du criminel.

    Si nous étions sensés nous devrions partir du principe que le crime est essentiellement crime non seulement du fait de l'intentionnalité de l'auteur et non des effets de son acte mais aussi du fait que cette intentionnalité doit être considérée comme n'ayant aucune légitimité. Enfin bref, en vertu de quoi considérons-nous [et affirmons-nous] que c'est au "au nom de" la foi islamique que ces criminels ont commis leurs crimes ? Leur avons-nous effectivement posé la question ? Ou parlons-nous alors à leur place en les faisant dire ce qu'ils n'ont jamais dit et ce qu'ils n'auraient peut être jamais pu dire ?

    Il faut prendre conscience que nous vivons dans une société humaine et civile, humaine dans le sens où ses membres résident dans l'espace social de la parole, et civile dans le sens ou tout fait rapporté dans cet espace social de la parole est représenté c'est-à-dire qu'il ne fait pas l'objet d'un information événementielle [brute] mais d'une signification d'ordre social. Si, tout comme moi, vous jugez impertinent et donc injustifiable l'usage social de la formule « terroriste islamiste » par les médias français et algériens, j'aimerais que nous analysions ensemble les raisons de la qualification du terroriste d'islamiste, pour ce faire trois questions essentielles s'imposent :
    -1] Cette qualification d'islamiste est-elle sans rapport avec la criminalité du fait de terrorisme ou du sujet terroriste ou alors lui est-elle liée ?
    -2] Si cette qualification est sans rapport aucun avec la criminalité du fait de terrorisme ou du sujet terroriste, quelle est donc sa raison d'être ?
    -3] Et si cette qualification est en rapport avec la criminalité du fait de terrorisme ou du sujet terroriste, concerne-t-elle le fait de terrorisme ou bien l'intentionnalité du sujet terroriste ?

    On sait qu'à la suite de chaque attentat la Presse publie la plupart du temps ce qu'elle appelle être la revendication de l'attentat. La question qu'étrangement personne ne se pose est de savoir si cette publication de la revendication de l'attentat est légale ou pas. Comment ose-t-on trouver normal qu'un organe de Presse puisse avoir le droit de faire le relais d'une entreprise criminelle en portant officiellement sa voix sur la place publique ? N'est-ce pas de la criminalité pure et simple de la part de la Presse qui se trouve être une sorte de porte parole d'entreprises criminelles ? Il est aussi étrange que ce genre de publication ne concerne quasiment que les seuls attentats dits islamistes. Je ne sais pas si pour les autres attentats dits non-islamistes il y a revendication ou pas de la part de leurs auteurs, toujours est-il que la Presse ne parle jamais de revendication à leur sujet, ce n'est pas catholique.

    On semble ignorer totalement ce que c'est que la parole, sa valeur anthropologique et sa dimension institutionnelle, à l'image de l'être humain considéré essentiellement comme sujet de parole l'Etat est lui aussi Le Sujet de la Parole dans le champ social. La question qui m'intéresse, celle de savoir si la diffusion publique de revendications de la criminalité terroriste est légale ou pas, je la pose en général, et elle s'impose parce qu'elle occupe actuellement la scène mondiale principalement pour ce terrorisme attribué à l'islamisme. Et en vérité je ne la pose pas par soucis de protéger l'image de l'Islam, je la pose en tant que citoyen laïque soucieux de l'ordre social, c'est l'intrusion de la parole du criminel dans le champ de la communication sociale qui me semble dévastatrice pour la paix et la sérénité civile. Il n'y a plus d'Etat au sens représentatif du terme, ou du moins l'Etat n'est plus ce qu'il était, dans ce phénomène de la socialisation des revendications de la criminalité terroriste je vois non seulement une policisation pure et simple de la fonction et du rôle de l'Etat mais plus grave encore un dévoilement d'une certaine conscience tierce de l'Etat à la conscience individuelle du citoyen, une sorte de dislocation de l'unité de l'Etat.

    Ma question porte sur le principe du fait, un principe que personne ne veut discuter. Pourquoi ? Je ne sais pas. Peut-être que c'est simplement parce qu'on n'a pas conscience de quoi il s'agit au fond. Permettez-moi donc de faire le point sur le fait en question. Il y a donc à la base :
    -1] un crime bel et bien commis
    -2] l'auteur non identifié et soustrait à la justice
    -3] le criminel entend revendiquer son crime pour faire connaître sa cause
    -4] la revendication ne se réfère pas à l'identité mais à l'exigence que porte la cause du crime
    -5] le chantage que signifie la revendication du criminel suppose la perpétration d'autres crimes si ses exigences ne sont pas remplies du point de vue de l'intention du criminel les exigences s'adressent à l'Etat et non à la société, seul l'Etat est maître de ce qui peut ou ne peut pas être social, la socialisation de la revendication du criminel relevant de l'intention et du fait de l'Etat et non du criminel, cette socialisation est une sorte de légitimation sociale disons inconsciente du crime en général.

    Le problème avec ce terme, « terrorisme », est qu'il ne bénéficie d'aucune définition juridique à l'image des crimes et délits que connaît le droit, un peu comme si on était là face à un crime que le droit refuse de reconnaître, un crime attenté principalement à la raison sociale, et c'est bien là la criminalité avérée de la Presse dont le discours rivalisant avec l'esprit du droit crée une notion criminelle hautement médiatisée que le droit lui-même n'est même pas capable de reconnaître en tant que tel. Et c'est exactement cela le but de ceux qui utilisent ce terme, terroriser la conscience sociale du citoyen par l'existentiation d'une sorte de crime imaginaire, imaginaire du fait de son indéfinition juridique, c'est-à-dire du fait de son non sens au regard du droit et par là même au regard de la raison, un crime en passe de devenir le crime par excellence réveillant ainsi l'esprit inquisiteur du moyen âge qui flinguait tout ce qui bougeait de l'inculptaion de trahison ou de blasphème, c'est précisément dans cette indéfinition des choses que l'on commence à cafouiller gravement jusqu'à atteindre l'impensable.

    Partant du principe que l'Islam est au sein de la société de droit une religion au même titre que le Christianisme ou le Judaïsme, que cette religion jouit d'une légalité dont le sens est non seulement son droit de cité mais surtout son droit à son champ de légitimité c'est-à-dire son droit de définir librement les faits qu'elle représente ou ne représente pas. Il est injuste et dangereux de se placer dans la perspective du criminel qui prétend commettre son crime au nom de l'Islam au lieu de se placer raisonnablement dans la perspective du citoyen pour qui l'Islam est une religion comme le Christianisme ou le Judaïsme, une religion socialement et légalement établie et dont aucun criminel n'a normalement le droit de revendiquer son crime en son nom. Servant des politiques d'expansionnisme économique des grandes puissances de la planète et faisant donc partie des moyens de légitimation pour des stratégies programmées et établies en matière de sécurité internationale, la notion de Terrorisme a été ces deux dernières décennies trop accouplée à l'Islam(isme) au point d'en être un synonyme pour l'opinion publique. Je demande donc que nous étudions ensemble le pour et le contre de l'idée de ne plus se servir du terme Terrorisme jusqu'à ce que les occidentaux reviennent à la raison en le découplant de l'Islam(isme). Mais je crois que je rêve avec ces bâtards qui tiennent en joug le peuple algérien.

    Cordialement, Mezghenna.
    Dernière modification par Mezghenna, 10 avril 2005, 16h59.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    salut
    cela prouve que la loi sur la concorde civile n'as peas tenue ces fruits en matiere de retablissemnt de la paix dans un pays dechirer par multiples crises qui meritent bcp plus d'engagement politique et de devoir envers le peuple qui est plus dans les calculs des decideurs .cela prouve encore en plus que cette loi reflete vraiment les interets d'une certain clan ou d'une minorite pour etouffe et blanchir des mains sales dans la tragedie algerienne .
    le peuple certe a besoin de paix et de stabilite politqiue mais aussi bcp de choses doivent etre traiter au mesure de cette lois de point de vu pratiques et engagements le pouvoir sait bien se comporte quand et sait bien faire des concessions quand il s'agit de sa continuite et quand il se sent menace
    mais le peuple a besoin de travails de stabilite economique de cohesion sociale de tas de choses qu'on se soucient jamis de ces preoccupation quotidiennes au mmeme titre que cette lois je penses que le peuple a besooin d'intention et d'ecoute si on continue cette politique de fuite en avant sans consulter le peuple je penses un jour ça va peter sur tout le splans parceque meme si le pouvoir joue sur nos querelles politiciennes et sur la division et que nous dresse (le pouvoir ) les uns contre les autres pour faire passer ces projet macabre .
    je crois maintenant le peuple a compris bcp de chose et commence a prendre conscience de toutes ces conneries que le pouvoir a instrumentaliser et continue a les imposer sous forme de lois et de dispositifs juridiques .et politique
    je penses qu'on auras tot ou tard assiste a reversement de situation et que le peuple prendera son destin en main car le regne de la manipulation ne dure que le temps de son effet .
    en tout cas je l'espere .

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  • jash-57
    a crée une discussion Nouveau massacre en Algérie

    Nouveau massacre en Algérie

    Nouveau massacre en Algérie
    08 avril 2005

    Une quinzaine de personnes ont été assassinées par des islamistes armés qui avaient dressé un faux barrage près de Larbaa, à une trentaine de km au sud d'Alger.

    Cette embuscade meurtrière est survenue au lendemain d'un discours à la nation du président Abdelaziz Bouteflika, au cours duquel il a affirmé que la sécurité avait été "largement rétablie partout à travers le pays" grâce aux "sacrifices" des forces de sécurité, avec à leur tête l'armée. "La paix civile a été restaurée dans notre société grâce aux bienfaits de la concorde civile, aussitôt transformée en réconciliation nationale", avait notamment déclaré le président algérien, à l'occasion du premier anniversaire de sa réélection à la tête de l'Etat, le 8 avril 2004, pour un second quinquennat.
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