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La tragédie algérienne n'est pas une guerre civile
est ce que tu te rappelle l'affaire du fils de chadli parti à l'étranger avec l'argent des Algériens
et comme par hasard il n'a pas été inquiété!!!
bravo nos gouverneurs !!!
ali2005 ;"laigle va trouver une réponse toute simple pour son papa "nezzar""
Espece d enfant de trainée ,je ne te permets pas de parler de la sorte .
Digne fils de harki , tu es le digne résultat de la semance des harkis qui trahirent la Nation.
je suis tout a fait d'accord avec le fait que nazar soit un corompu un voleur ce que vous voulez , mais c'est une personne que je respecte enormement parce que j'aurais pas aimer voir l'algerie aujourd'hui si il n'avait pas été la en 91
et il nous a eviter koi?? je ne dis pas que c'est un homme parfait mais on a vu pire , au moins il s'est ratraper en osant en 91, aprés on ne peut pas tout pardonner mais on peut relativiser un minimum
t'a raison heidi!
sans nezar et son etat major , ce serait l'enfer pour beaucoup d'algeriennes et algeriens comme nous tous.
POUR LA QUESTION
c'ete une guerre civile et non une guerre contre les civils comme l'a proné un certain politicien.
POURQUOI?
AU début l'ais assassinait les civils : les criminels de l'AIS etaient des civils.
IL ONT PASSE a la 2emme vitesse :les policiers et les hold up des banques;
pour le nerf de la guerre.
ET LES CARRIERES POUR les explosifs .
ET les trahisons dans l'armee a fait le reste et il ont osé s'attaquer aux casernes isolés comme celle de guemmar et autres.
ET puis l'armee n'utilisé pas un 5 emme de sa force.
avec l'arrivée de reda malek ;la peur a changer de camp.
et ZEROUAL A FAIT LE reste.
ET LES TRAITRES DE TOUTES SORTES ;harkis ;fils de harkis et autres revanchards
n'ont cesser de jeter de l'huile dans le feu.
IL YA FALLU DES SACRIFICES ET UN COUP D ECLAT ;
et ce fut BENTALHA et RAIS et les infiltrations pour punir les sympathisants du fis.
ET LA GUERRE CIVILE FUT AVORTEE.
ET est devenue une guerre totale contre les terroristes islamistes :
gia gscp etc etc
Dernière modification par jilla, 30 avril 2005, 19h57.
Motif: RAJOUT
je sais je te comprends , mais ce k je te dis c'est qu'a coté il a aviter pire aprés ca depend de ta position par rapport a 91 , on ne juge pas un homme juste en prenant le mal k il a fait , il faut voir le bien aussi
moi je jugerais encore plus boutef avec sa politique de concorde civile
ecoute ali2005 ,
la tu déforme la verité en disant que nezzar est responsable des mrts d'octobre 88.
CAR j'ai participé dans ces evenements et du coté des emeutiers
alors ne vient pas me dire que c'etait nezzar!
Heidi
on aurait pu éviter le pire
nezzar et ses acolytes n'étaient pas obligés de torturer et de liquider des innocents et même des sympathisants du fis
ils n'étaient pas non plus obligés de laisser faire les massacres comme à ben talha
Il y a dans notre armée beaucoup mieux que ces nezzars (ou si tu veux les pinochets d'Algerie)
ce sont des militaires honnêtes qu'ils nous faut
pas ces généraux qui ont pillé l'Algérie et ont obligé beaucoup d'Algériens d'aller vivre loin de chez eux
JE NE D2FEND PERSONNE
MAIS QUAND QQ FAIT UNE ACTION DE SALUT PUBLIC IL NOUS EST REDEVABLE
pour le 5 octobre 1988
voiçi pour ta lecture
Cette révolte apparaît, aujourd’hui, comme un événement à la fois proche et lointain. Même si le sang a séché sur les pavés, les blessures restent indélébiles. Elles le resteront aussi longtemps que dureront le mensonge, le black-out et les barricades qui empêchent la vérité de voir le jour. Pour les familles des 400 victimes décédées pendant les émeutes, la plaie est toujours ouverte.
Elle ne se refermera peut-être jamais. Seize années et rien de véridique et de précis n’a filtré sur les tenants et les aboutissants de cette terrible date. Au lieu d’intégrer cette date charnière dans le panthéon de l’histoire, dont l’Algérien, épris de liberté, devrait en tirer une légitime fierté, les officiels préfèrent tourner, encore une fois, le dos à ce «mauvais souvenir» : ni commémoration, ni déclaration, ni hommage et encore moins un soupçon de regret. Cette date, on ne le sait que trop bien, évoque beaucoup de choses compromettantes pour que le pouvoir daigne l’institutionaliser. Une répression sanglante, doublée de torture, s’était abattue sur les Algériens. Les enfants, à la fleur de l’âge, qui manifestèrent dans la rue furent fauchés, sans ménagement, par des balles assassines ou torturés sauvagement par les services de sécurité de l’époque. Les rares enquêtes menées par des plumes audacieuses n’ont pas permis, hélas, d’aller au-delà des ambiguïtés et des fourberies de certains acteurs et dirigeants qui se sont exprimés sur le sujet. Soulèvement populaire, mouvement spontané d’essence démocratique, «chahut de gamins», complot dressé par un clan du pouvoir pour renverser un autre, telles sont, entre autres, les interprétations données aux événements du 5 Octobre 1988. Au-delà des causes et des hommes qui ont mis le feu aux poudres, une tâche qui, soit dit en passant, relève beaucoup plus du domaine de l’historien, c’est plutôt la sève démocratique libérée par ce «chahut de gamins» qui est d’une importance capitale pour la société algérienne. C’est à ce «chahut de gamins», faut-il le souligner, que la société algérienne doit ce qui est communément convenu d’appeler le «printemps démocratique». Le 5 Octobre a marqué la naissance du multipartisme, de la presse indépendante et des libertés individuelles. Que reste-t-il, à l’heure actuelle, de ce potentiel démocratique chèrement acquis ? Rien ou très peu de chose. En Kabylie, comme en 1988, le pouvoir a fait parler la mitraillette pour mater, dans le sang, des manifestations populaires. La même répression s’est abattue sur les Aurès après une révolte de jeunes. Outre les interpellations et autres arrestations, les services de sécurité, comme en 1988, auraient usé de la torture pour sanctionner les «rabat-joie». Après plus de dix ans d’existence, les partis politiques sont réduits à un rôle de figurants dans un paysage politique verrouillé. Dominé par une majorité acquise au président de la République, le Parlement est transformé en chambre d’enregistrement, sans pouvoir ni compétence. Les députés passent leur temps à applaudir et à encenser l’Exécutif pour ses «exploits». Faute de se ranger du côté des puissants, la presse indépendante continue de subir les coups de boutoir des pouvoirs publics. Emprisonnement des journalistes, interpellation des militants des droits de l’homme, répression des mouvements citoyens et refus d'agréer des partis politiques et des syndicats autonomes, sont, entre autres, les signes de ce recul par rapport aux idéaux démocratiques véhiculés par Octobre 1988. A l’heure où l’Algérie se doit de célébrer cet événement, deux confrères journalistes, Mohamed Benchicou et Hafnaoui Ghoul en l’occurrence, moisissent toujours en prison. L’un pour une fallacieuse affaire de droit commun, et l’autre pour avoir osé dénoncer les agissements de «la franc-maçonnerie» locale de Djelfa. Les députés, qui ont adopté, avant-hier, le projet de révision du code pénal et du code de procédure pénale, ont maintenu les articles ayant trait à l’emprisonnement des journalistes. Les «élus du peuple» ont ainsi contribué a enterrer, peut-être pour toujours, l’espoir suscité par le 5 Octobre 1988
la seule personne que j'ai defond c'est l'homme qui a su prendre une decision au bon moment , il aurait voulu etre egoiste il saurait parti , bien d'autre l'aurais fait a sa place
Et puis ! quoi?
il a changé le fusil d'epaule et cela s'appelle : raison d'etat mon fils et moi je ne te traite pas de fis de harkis
mais je te renvoie a tes billes.
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