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Algérie : le général Smain Lamari est mort

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  • #61
    ce n'est pas mohamed lamari hélas, la mauvaise graine ne meurt jamais .

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    • #62
      Il reste toufik

      Disparition de l’un des principaux décideurs de la décennie noire
      Algérie : le général Smaïn Lamari est décédé


      mardi 28 août 2007 - 16h49

      Le directeur de la Sécurité intérieure algérienne et proche collaborateur du chhef du Département de Renseignement et de Sécurité (DRS), autrement appelé la Sécurité Militaire (la redoutable SM), le général-major Smaïn Lamari, est décédé dans la nuit de lundi à l’âge de 67 ans.

      Le général Smaïn Lamari est décédé à l’hôpital militaire de Aïn Naâdja à Alger après y avoir été admis d’urgence dimanche. Il souffrait d’un cancer depuis plusieurs années. Son nom est souvent associé à la gestion de la crise algérienne depuis le début des années 1990, après avoir cautionné l’interruption du processus électoral, en janvier 1992, après la victoire des islamistes du FIS au premier tour des législatives du 26 décembre 1991.

      A la fin des années 1990, il avait négocié la trêve conclue avec l’AIS (Armée Islamique du Salut), bras armé du FIS, une trêve qui est entrée en vigueur fin 1997 avec l’autodissolution de l’AIS. Ce n’est qu’après l’élection de Bouteflika, en 1999, que cette trêve a été entérinée par le référendum organisé à la fin de cette même année. Bouteflika avait alors décrété une grâce amnistiante, en janvier 2000, permettant aux anciens de l’AIS de retrouver une vie quasi normale.

      Après la « mise à l’écart » en juillet 2004 du général Mohammed Laamari, à la suite de la réélection de Bouteflika à la présidence (avril 2004), et après la promotion de plusieurs hauts officiers proches du Président (dont Rachid Laalala, dit « Attafi ») et leur nomination aux postes clés de l’armée et des Services, le décès du général Smaïn Lamari et l’état de santé dégradé du général Mohammed Mediene, dit Taoufik, chef de la DRS, devraient rapidement tourner une page cruciale de l’histoire de l’Algérie.

      Plusieurs généraux sont en effet accusés par les Algériens d’avoir trempé dans la manipulation des islamistes, et surtout dans des actes mafieux afin de pérenniser leur pouvoir et protéger leurs privilèges. Bouteflika avait, à maintes reprises, évoqué les généraux en les désignant par « général sucre », « général fer à béton », ou encore « général ciment »...

      Synthèse de MediArabe.info

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      • #63
        Ce toufik est le pire de tous !
        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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        • #64
          http://www.racinesdoutremed.com/smain.htm

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          • #65
            lah irham boudiaf plutot, victime de ces generaux.

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            • #66
              Bonjour les zamis ...

              Je ne sais pas si vous avez remarqué ... mais ... en montrant bouteflika à la télé ... dans le domicile du défunt Smaïn Lamari, ce dernier était dans un cerceuil ... contrairement à nos habitudes

              Pourquoi l'a-t-on mit dans un cerceuil ???

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