AlgériePart 4 novembre 2021
Un important syndicat de policiers français a lancé de graves accusations contre les harragas algériens qui déferlent ces dernières semaines sur le territoire français en traversant l’Espagne. Au micro de la chaîne de télévision française CNEWS, Franck Rovira, du syndicat de police Alliance, a fait savoir que selon les données dont disposent la Police française, « d’anciens prisonniers algériens font partie de cette vague de migrants illégaux » qui déferle sur la France. « Avec un casier judiciaire bien rempli (…), les retenus ne cherchent pas forcément l’asile », a-t-il expliqué encore sur CNEWS.
Ces déclarations ont suscité une vive polémique en France. Le syndicat Alliance Police nationale est l’un des plus influents et puissants syndicats au sein de la Police française. Ce syndicat est né à la suite de l’union de trois anciennes importantes organisations de policiers en France qui remontent jusqu’aux années 50. Il est appuyé, d’autre part, par de nombreuses personnalités politiques de bords différents.
Le haut responsable du syndicat de police Alliance n’a pas étayé ses graves accusations par des chiffres ou des faits avérés. Il n’a dévoilé aucune enquête rigoureuse qui permet d’affirmer avec certitude que de nombreux repris de justice se retrouvent parmi les harragas algériens qui tentent de s’établir illégalement sur le territoire français après avoir réussi leur traversée périlleuse de la Méditerranée jusqu’aux côtes espagnoles.
L’affluence massive des Harragas algériens vers la France suscite ces dernières semaines un débat passionnel sur la question de l’immigration. Des élus locaux des villes frontalières avec l’Espagne ont commencé à tirer la sonnette d’alarme face aux arrivées de plus en plus massives des migrants illégaux algériens. « La situation s’aggrave, il n’y a a pas vraiment de recours possible et cela devient très compliqué », explique ainsi le maire de la ville Perthus (Pyrénées-Orientales) à CNEWS.
Preuve de cette situation qui inquiète et empire, la police française aux frontières a indiqué qu’elle a intercepté 39 passeurs au cours du seul mois d’octobre près des frontières franco-espagnoles, soit quatre fois plus que d’habitude.
Un important syndicat de policiers français a lancé de graves accusations contre les harragas algériens qui déferlent ces dernières semaines sur le territoire français en traversant l’Espagne. Au micro de la chaîne de télévision française CNEWS, Franck Rovira, du syndicat de police Alliance, a fait savoir que selon les données dont disposent la Police française, « d’anciens prisonniers algériens font partie de cette vague de migrants illégaux » qui déferle sur la France. « Avec un casier judiciaire bien rempli (…), les retenus ne cherchent pas forcément l’asile », a-t-il expliqué encore sur CNEWS.
Ces déclarations ont suscité une vive polémique en France. Le syndicat Alliance Police nationale est l’un des plus influents et puissants syndicats au sein de la Police française. Ce syndicat est né à la suite de l’union de trois anciennes importantes organisations de policiers en France qui remontent jusqu’aux années 50. Il est appuyé, d’autre part, par de nombreuses personnalités politiques de bords différents.
Le haut responsable du syndicat de police Alliance n’a pas étayé ses graves accusations par des chiffres ou des faits avérés. Il n’a dévoilé aucune enquête rigoureuse qui permet d’affirmer avec certitude que de nombreux repris de justice se retrouvent parmi les harragas algériens qui tentent de s’établir illégalement sur le territoire français après avoir réussi leur traversée périlleuse de la Méditerranée jusqu’aux côtes espagnoles.
L’affluence massive des Harragas algériens vers la France suscite ces dernières semaines un débat passionnel sur la question de l’immigration. Des élus locaux des villes frontalières avec l’Espagne ont commencé à tirer la sonnette d’alarme face aux arrivées de plus en plus massives des migrants illégaux algériens. « La situation s’aggrave, il n’y a a pas vraiment de recours possible et cela devient très compliqué », explique ainsi le maire de la ville Perthus (Pyrénées-Orientales) à CNEWS.
Preuve de cette situation qui inquiète et empire, la police française aux frontières a indiqué qu’elle a intercepté 39 passeurs au cours du seul mois d’octobre près des frontières franco-espagnoles, soit quatre fois plus que d’habitude.
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