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  • #76
    Sans l'arme atomique, on peut tjs prétendre avoir de grands muscles, mais la réalité sur le terrain c'est qu'aucune armée conventionnelle ne peut confronter une armée nucléaire.
    Combien de fois l’arme nucléaire a été utilisée au courant du dernier siècle ? L’arme nucléaire est une arme de persuasion dans la plus part des cas inutilisable.

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    • #77
      elbieroi

      C'est une arme de dissuasion. Mais ça veut pas dire qu'on la possede pour ne jamais l'utiliser. Il faut pas se tromper. Si nécessaire, une armée peut tjs recourir a cette arme.

      Sans le nucléaire le Pakistan aurait été envahi par les Hindous il y a ds lurettes.

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      • #78
        m1111

        Tu oublies. Sans l'armada de chars Américains et les milliers de bombes, Sadam serait encore président. Meme chose en Lybie, sans l'intervention atlantiste, Kaddaffi aurait écrasé les rebelles de Misrata et Benghazi.

        Et l'Otan et les Américains n'attaquent qu ceux qui n'ont pas le feu nucléaire.

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        • #79
          IMMAGINE une Bombe magnetique déclanché juste dans les poteaux de la G4 et G5 pour détruire le potentiel éléctrique d un pays c est TRES POSSIBLE !et

          EN PLUS DE LA Guerre improbable BIOLOGIQUE etc etc


          Dernière modification par m1111, 31 janvier 2022, 22h28.

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          • #80
            m1111

            Les théories sont intéressantes. Mais en pratique, aucun pays nucléaire n'a été aggréssé ou attaqué.

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            • #81
              NI les pays qui ont un << authentique et persnnel << potentiel nucleaire ! NON PLUS ONT AUSSI DES POSSIBILITés NUCLEAIRES ! ( tout le monde a peur des radioactivité et des radiations ......................)

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              • #82
                BATAILLE S DE L URANIUM EN AFRIQUE !

                EXEMPLES



                L'affaire UraMin


                L'idée ici n'est pas de revenir en détails sur ce fiasco mais de présenter les grandes lignes de l'affaire (qui, en février 2021, est toujours en cours de jugement).

                Avant le début. UraMin est une junior minière créée en 2005 par Stephen Dattels (un habitué des histoires louches et qui tournent mal en matière de géologie minière) et James Mellon.

                Qu'est-ce qu'une junior ? Dans l'industrie minière, les grands groupes n'ont pas forcément la flexibilité des petites structures lorsqu'il s'agit d'exploration. Des petites entreprises indépendantes, généralement composée d'une dizaine de membres dont des géologues, se créent. Elles ont cette flexibilité et peuvent chercher des gisements, en levant des fonds auprès de bourses spécialisées (notamment la bourse de Toronto). Tout un chacun peut investir dans ces entreprises, à condition, bien sûr, de croire dans les compétences de ses membres ! Lorsqu'un gisement est trouvé par une de ces juniors, les grands groupes miniers peuvent racheter l'entreprise. C'est alors un beau retour sur investissement pour les actionnaires ayant cru dans l'aventure. Lorsqu'une junior découvre un ou des gisements de classe mondiale, alors là, c'est le jackpot – et le groupe minier acheteur doit mettre la main au portefeuille.

                UraMin est l'une de ces juniors, créée pour chercher de l'uranium. Quelques mois après sa création, en mai 2005, UraMin achète les droits d'exploration sur Trekkopje, une zone en Namibie, pour 4,4 millions de dollars. En octobre de la même année, UraMin acquiert les droits sur une zone en Afrique du Sud, Ryst Kuil.

                En 2006, UraMin entre en bourse à Londres, et acquiert les droits d'exploration sur trois zones en Centrafrique.

                Le premier début. En 2006, UraMin propose à Anne Lauvergeon, alors présidente du directoire d'Areva d'être rachetée pour 471 millions de dollars. Offre qui n'eut pas de suite. Fin 2006, UraMin entre en bourse à Toronto.

                Le deuxième – et vrai – début. Début 2007, UraMin a 5 propriétés :
                • la zone de Trekkopje, principal “gisement” d'UraMin, en Namibie ;
                • la zone de Bakouma en Centrafrique ;
                • la zone de Ryst Kuil en Afrique du Sud ;
                • la zone de Saraya au Sénégal ;
                • la zone de Kamas au Niger.

                Toutes ces zones avaient auparavant été explorées, mais il avait été décidé d'abandonner chaque projet pour cause de trop faible rentabilité.

                En mars 2007, Areva achète 5,5 % UraMin, le cours explose. Puis Arevb achète la totalité de la junior dans la foulée, pour 2,5 milliards de dollars. Le prix payé par Areva est 10 fois supérieur au prix de l'entreprise 6 mois plus tôt. Le monde se dit : « UraMin est une poule aux œufs d'or ! »

                Le milieu. À part quelques difficultés avec l'état centrafricain qui finira par obtenir 40 millions de dollars de la part d'Areva pour la zone de Bakouma en 2008, une enquête de la direction centrale du renseignement intérieur dès 2009, et un directeur de la sûreté chez Areva qui diligente une enquête interne en 2010, tout va bien.

                Un audit d'état est finalement lancé en 2010. René Ricol a pour mission d'éclaircir les comptes d'Areva. Une première provision de 426 millions d'euros est inscrite sur les comptes d'UraMin.

                Le début de la fin. En 2011, quatre ans après le rachat, pas un gramme d'uranium n'est sorti des mines, ce qui n'est pas anormal lorsqu'on connait les durées de développement de gros projets miniers.

                Malgré cela, la pression monte sur le groupe nucléaire français. Il annonce le gel de ses projets en Afrique, après avoir, quand même, investi un milliard d'euros dans une usine de dessalement d'eau de mer en Namibie qui aurait dû servir à l'exploitation du gisement de Trekkopje.

                La fin. Après étude approfondie, il apparait que les gisements d'UraMin ne contiennent pas beaucoup d'uranium, et ne valent donc pas grand-chose.

                Des informations judiciaires sont ouvertes contre plusieurs protagonistes pour “délit d'initié”, “blanchiment d'argent”, “présentation et publication de comptes inexacts et diffusion de fausses informations”.

                Areva (et donc indirectement le contribuable français) aura déboursé plusieurs milliards d'euros pour des zones à explorer qui ne contiennent que très peu d'uranium.

                Un mot sur le pourquoi du comment. Il est intéressant de se poser la question de savoir pourquoi un groupe comme Areva a plongé tête baissée dans le rachat faramineux d'une junior, à ce moment-là.

                Il faut comprendre le modèle vanté à l'époque par la présidente Anne Lauvergeon. Après avoir, avec succès, intégré quasiment toutes les activités amont de la filière nucléaire dans un groupe unique, Areva, il a été décidé de vendre les centrales nucléaires comme des cafetières Nespresso© : non seulement le groupe vend la centrale et sa construction, mais il vend aussi le combustible, sur la durée de vie de la centrale. Pour pouvoir vendre une centrale dans ce modèle d'affaire, il faut pouvoir prouver au client que le groupe détient dans ses réserves assez d'uranium pour fournir la centrale vendue, pendant 40 à 60 ans ! Pour vendre les centrales, il fallait donc… des réserves d'uranium ! Quitte à prendre tous les risques pour signer des contrats de rachat qui finiront par ne plus rien valoir (ou pas grand-chose) et ce, sur le dos du contribuable… qui finira par recapitaliser Areva quelques années plus tard.

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