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fer GaraDjbilet concurences et complementarités

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  • fer GaraDjbilet concurences et complementarités

    ici j ai tiré un apérçu de de publications sur le minerai de fer le plus proche de Garajbilet et qui possède aussi des similitudes et des atouts et qui appartient a MIFERMA société française en Mauritanie



    Code HTML:
    « Les chemins de fer de pénétration sont les plus directement liés au mouvement pionnier
    (…). Partant du littoral atlantique sud-américain ou africain, ils s’enfoncent comme des
    vrilles dans la masse continentale mais peu d’entre eux en atteignent le cœur. Leur rôle est
    moins d’acheminer hommes et produits vers l’intérieur des terres que d’assurer le drainage
    des matières premières vers l’extérieur. » (Monbeig, 1966, pp. 981-982).
    La construction de la ligne ferroviaire reliant la Kédiya d’Idjil à Nouadhibou fut motivée par
    la présence dans la Kédiya d’un gisement d’au moins 200 millions de tonnes, avec une forte
    teneur en fer (65% Fe), extraordinaire pour l’époque. Cette montagne isolée dans les plaines
    2
    du Tiris Zemmour, dont le nom en langue berbère est Adrar In Ouzzal, la « montagne de fer »,
    s’élève jusqu’à plus de 900 mètres.
    Carte 1. Localisation du complexe minier de Mauritanie
    D'après un fond de la CIA diffusé par l'Université de Pennsylvania (États-Unis).
    Ouverte en 1963, la ligne permit d’extraire 5 millions de tonnes de minerai de fer la première
    année, pour atteindre 7 millions de tonnes en 1966. Depuis 1995, le train transporte de 10 à 11
    millions de tonnes de minerai par an. Il emprunte une voie de près de 700 km de long, avec
    neuf voies de croisement ; elle fut prolongée au fur et à mesure du déplacement de
    l’exploitation. Le train, longtemps l’un des plus longs du monde, peut mesurer 2,5 kilomètres
    et pèse en moyenne 22 000 tonnes. Il se compose d’au moins 210 wagons de minerai et d’une
    douzaine de wagons variés dont une voiture de passagers, tirés par trois ou quatre
    locomotives. Trois trains par jour circulent dans chaque sens ; une fois par semaine, un train
    spécial ravitaille les bases le long de la ligne et quotidiennement, un train d’eau rejoint la ville
    de Zouérate au départ de Boulanouar.
    La ville de Nouadhibou, point d’arrivée des trains de minerai et de départ des cargos (au port
    de Point Central), est située sur le Cap Blanc qui abrite la baie du Lévrier (Dakhlet
    Nouadhibou). Après avoir traversé les regs de l’Inchiri puis les massifs dunaires du Tijirit, la
    ligne contourne les falaises de l’Adrar pour desservir au nord les centres urbains de F’Dérik et
    Zouérate.
    3
    Carte 2. Le système minier dans son environnement régional
    D'après un fond de carte MIFERMA (Rapport de 1963).
    Le milieu désertique du Nord de la Mauritanie est peu adapté à une occupation humaine
    sédentaire. Sur la période 1950-1991, les précipitations annuelles des espaces traversés par la
    ligne de chemin de fer ont été inférieures à 100 mm, réparties sur moins de 10 jours de pluie
    par an. La région de Nouadhibou est particulièrement aride, la pluviosité moyenne depuis
    1922 est inférieure à 20 mm par an avec des effets de vent quasi permanents entraînant des
    phénomènes de chasse-sable. La visibilité y est réduite plus de 200 jours par an (CAMPUS,
    LERG, LEDRA, env. 1995).
    Le besoin en eau à Zouérate est d’autant plus important que l’utilisation en eau pour la
    première transformation du minerai de fer est estimée entre 5 et 25 tonnes pour une tonne de
    minerai traité (Scott et Bragg, 1975, in Ripley, Redman, Crowder, 1996). Si la société minière
    a réglé le problème d’eau pour l’exploitation du minerai en utilisant une réserve souterraine
    d’eau salée éloignée du site de Zouérate, l’alimentation en eau de la cité minière se fait grâce
    à la ligne de chemin de fer à partir de l’importante nappe souterraine de Boulanouar qui
    alimente également Nouadhibou.
    Transport nécessitant une surveillance constante mais résistant dans des conditions extrêmes,
    le chemin de fer constitue le moyen de transport privilégié des fronts pionniers, il est utilisé
    aussi bien dans la zone intertropicale que dans les climats rudes de la Sibérie ou dans les
    plaines de l’Amérique des pionniers (Salesse, 1989, in De Sa, 1990). Il répond aux exigences
    du transport de la main d’œuvre, des vivres et du matériel nécessaire à la mise en exploitation
    des gisements.
    1.1.2. Le chemin de fer, composant d’un système minier intégré
    Dans cette région désertique, une exploitation moderne est complètement dépendante de
    l’extérieur : la mise en valeur du gisement nécessite l’importation de matériel, de véhicules,
    de pièces détachées, de rails, mais aussi de combustibles comme le pétrole, la Mauritanie ne
    produisant pas ces biens industriels. Le train amène aussi à la ville minière les produits
    nécessaires à la vie humaine (eau, produits de la pêche, produits manufacturés…).
    4
    Associée au port minéralier de Nouadhibou, la ligne ferroviaire forme un complexe minier
    performant. À Nouadhibou, les wagons de minerai sont déchargés du train à un rythme de 70
    wagons par heure, le minerai est stocké puis embarqué sur les minéraliers, ou traité par l’unité
    de criblage. La capacité de chargement des cargos (poids utile : 150 000 t) est de 7 500 tonnes
    par heure (brochure de la SNIM, 2003).
    Le complexe minier du nord de la Mauritanie est un système intégré : la mine, la ligne
    ferroviaire et le port minéralier appartiennent à la société extractrice. La société contrôle toute
    la filière d’extraction, de transport et d’exportation du minerai. Mais ce complexe appartient
    aussi à un système économique à l’échelle mondiale, dépendant des industries sidérurgiques.
    Le gisement minier est resté une périphérie, certes intégrée et exploitée, de centres dominants
    ou hypercentres, aux rôles de coordination, d’impulsion et de commandement (Reynaud,
    1981, p. 67). « Les pays industrialisés projettent des fractions d’eux-mêmes sur des territoires
    extérieurs chaque fois qu’ils doivent se fournir de matières premières rares. » (Claval, in
    Reynaud, 1981, p. 74). L’exploitation de Mauritanie, du temps de la MIFERMA, est une
    forme d’« associat » par rapport à la France, elle en possède les caractéristiques : la petite
    taille : «"l’associat)type)est)un)port,)une)mine)»"(Reynaud , 1981, p. 75), l’intensité des liens avec
    son centre lointain et une situation d’enclave dans sa région : les" capitaux," la" tech nologie," la"
    main"d’oeuvre"qualifiée,"proviennent"du"centre,"ta ndis"que"les"produits"et"les"bénéfices"repartent"
    vers"le"centre."
    Intégrée par nature aux échanges mondiaux, liée aux flux économiques internationaux, dans
    un espace sous-peuplé aux conditions difficiles, la ligne de chemin de fer ne devait être qu’un
    couloir d’exportation, drainant le minerai de fer hors du continent. La société minière a le
    droit d’utilisation des sols et sous-sols, et par l’ampleur des aménagements, elle imposa un
    modèle minier d’occupation de l’espace.
    1.2. D’un modèle minier à un développement local ?
    1.2.1. La construction d’un espace régional
    Peuplées de nomades, les terres du Nord avaient été intégrées à un système économique
    prospère durant la période glorieuse du commerce caravanier, mais « des changements
    politiques, des transformations sociales, des déplacements de courants de circulation les
    avaient comme écartées de l’œkoumène. Des circonstances politiques nouvelles, des
    révolutions sociales, des renouveaux économiques et le progrès technique les réintègrent. »
    (Monbeig, 1966, p. 990).
    Si le port de Nouadhibou existait depuis la colonisation, « porte d’entrée en Mauritanie »
    (Bonte, 2001, p. 83), l’intérieur des terres était peu colonisé. Le Tiris abritait des tribus
    nomades organisées vivant de l’élevage et du commerce du sel de la sebkha d’Idjil, à une
    vingtaine de kilomètres de la Kédiya.
    Pour évaluer l’impact de l’aménagement dans la région, nous comparons la carte de 1961 au
    1/100 000 du nord de la Mauritanie, avant la mise en exploitation de la mine, et des cartes de
    l’IGN, Institut Géographique National, datant de 1969 à 1975 au 1/200 000, que nous
    complétons avec les cartes de l’Atlas de Mauritanie (CAMPUS, LERG, LEDRA, env. 1995
    IL faudrait 5 a 25 tonnes d eau pour traiter1 tonne de minerai de fer ............................POUR transpoter plus de 10 millions de tonnes par 700 km de chemin de fer avec des trains de 2,5 km de long


  • #2
    Le citoyen Algérien espère que le prix du fer baissera considerablement, ce qui va lui permettre de construire sa petite maison à l'aise financièrement

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    • #3
      Un excellent exemple de mines de fer en Australie transport par rail du minerai au port à travers le désert et 103 milliards de dollars de recette d'exportation pour 900 millions de tonnes de minerais.

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      • #4
        Australie possede et exploite des resérves de plus de 100 milliards de tonnes avec plus de 300 millions exploités
        Bresil 2° presuqe kif kif

        Canada environ 10 milliards de tonnes exploite env plus ou moins 30/60 millions de tonnes et benef de 3 milliards de dollards ( ????? §!!!!!!!!!!)

        Algérie POURRAIT se classer 11 du monde si exploirterai 50 millions de tonnes === LE RENDEMENT dependrai de la qualité du minerai en premier !
        et aussi de l environnement social et economique . L Algérie possede l énérgie a bas prix ce qui est un atout immense .
        L EAU INDISPENSABLE necessaire 5:/25 tonnes d eau pour 1 tonne de minerai de fer pourrait venir des gigantesques reserves sous terraines
        LE TRANSPORT CHEMIN DE FER en viron 1000 km ou plus AVEC DES DOUBLES VOIES DE SECURITE ET ECONOMIES par trains éléctriques

        ===============================
        LE MIEUX ET L IDEAL SERAIT DE TRAVAILLER UNE PARTIE DU FER SUR PLACE COMME A BECHAR ( haut fourneau a BECHAR )
        EL RENDEMENT SERAIT AU MAXIMUM
        IL YA DU CHARBON A KENADSSA region de Bechar

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        • #5
          La construction de la ligne ferroviaire reliant la Kédiya d’Idjil à Nouadhibou (Mauritanie) fut motivée par la présence dans la Kédiya d’un gisement d’au moins 200 millions de tonnes, avec une forte teneur en fer (65% Fe), extraordinaire pour l’époque.






          Gara Djebilet : un gisement évalué à 3,5 milliards de tonnes, avec une teneur en fer de près de 57%, selon d'anciennes etudes.





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          • #6
            Le problème d'acheminement de ce minerais qui date des années 70 est quelque part bénéfique pour le peuple algérien, sans ça l'apport des dividendes du fer seraient déjà dilapidés comme les milliards du gaz et du pétrole...placés dans les comptes osfores et dans l’immobilier à l'étranger.
            Dernière modification par infinite1, 01 août 2022, 18h01.

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            • #7
              je pense que ces gisements sont sous évaluéEs A LA SIMPLE VUE DES IMAGES et peuvent etres plus 35 milliards de tonnes SINON PLUS

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              • #8
                GARA DJBILET = moyen de développement REGIONAL ( ouest dz ) +LOCAL ( region de Tindouf a Bechar ) +NATIONAL ( apport de Millions de tonnes de minerai de fer avendre l EXPORT , et GAIN de plus de 1 MILLIARD DE DOLLARDS DE FER IMPORTé en billetes pour TOYALI ET BELLARA et autres sites ??? comme si LE FER ET L ACIER SONT SEULEMENT EN EQUILIBRE MAINTENANT mais GARA DJBULET FERA DES GAINSREELS EN MILLIARDS DE DOLLARS si ......................................SI


                CE MINERAI CONTIENT PLUS DE 1 :/5 % de phosphore qui sera une PLUS VALUE ACIDE PHOSPHORIQUE facilement récupérable et facillement vendable pour la chimmie et l agriculture

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                • #9
                  La MIFERMA n'existe plus depuis 1974 date de sa nationalisation pour des clopinettes par l'état mauritanien

                  Commentaire


                  • #10
                    Je suis convaincu que l'exploitation de cette nouvelle mine de fer ne servira qu'à engraisser les aparatchiks du système politique mis en place en 1962. Des miettes pour le peuple

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                    • #11
                      Oui on raconte que << dans ces régions les boussoles ne marchent pas bien et s affolent et LES AVIONS RISQUENT DE PERDRE LEUR BOUSSOLES <<

                      Avec plus de 50 000 tonnes :jour sur les trains il y aurait de quoi faire travailler des milliers d autochtones s ils veulent travailler !

                      un pole a TINDOUF + UN POLE A BECHAR + UN POLE BETHIOUA pour la fabrication du fer et acier en billes bilettes lingots etc etc

                      en plus Les installations energetiques éléctricté gaz photovoltaiques et autres

                      en plus intallations hydrauliques et des eaux

                      transport éléctriques rails
                      transpôrt routes
                      transports aérien


                      il plus que l installation des HOTELS 5 ETOILES
                      LES PARCS DE LOISIRS
                      DES LOGEMENTS

                      ET PROBABLEMENT UN GRAND AEROPORT

                      D AUTRES BONNES SURPRISES

                      ;................................................. .......

                      assez d argent pour reprendre l elevage des chameaux des gazelles planter des arbres et et et

                      Dernière modification par m1111, 01 août 2022, 21h02.

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                      • #12
                        Il faut ajouter aussi que les Chinois sont un bon partenaire commercial. Après la Grande Mosquée d'Alger (construite par les Chinois), place à la sourate al-hadid (le fer) !
                        « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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                        • #13
                          OUI Tindouf serait l endroit parfait pour installer nos centrales nucleaires ,qui fourniraient le courant au projet minier et siderurgique de Garadjbilet !

                          le plus grand pole africain Tindoufopole !siderurgique avec des souterrains strategiques

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                          • #14
                            Non Tindouf rest trop loin de la mer (pour le refroidissement des réacteurs nucléaires)

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                            • #15
                              au long terme on fera transferer l'eau du fleuve du niger vers tindouf?

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