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Quelque chose en nous du Hirak !

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  • #31
    shadok

    ... Pour saisir l'ampleur de l'opportunité manquée qu'a représentée le Hirak, il est nécessaire d'y avoir pris part ...

    Non, non. Pour saisir ces choses, il suffit d'être Algérien, adulte et doté d'un minimum de conscience politique. Autrement, si il faille jouer encore une fois cette partition (tu ne t'en lasses jamais à l'evidence), on rappellera à notre tour qu'un citoyen résident en Algérie est nettement mieux placé pour "saisir" les choses qui s'y passent, là juste en bas de sa rue, qu'un citoyen dont la vie et les intérêts quotidiens sont désormais ailleurs.

    ...Certaines personnes, qui n'ont jamais participé à une seule marche, s'érigent en moralisateurs du Hirak ...

    Oui, tout comme d'autres, les pieds bien au chaud en terres étrangères, le boulot en sécurité et les petits bien à l'abri, se permettent de sermonner les Algériens du pays parceque pas assez suivi leurs envies d'aventures par contumace. Trouves autre chose SHADOK, ce truc n'a pas marché hier et ne marchera pas aujourd'hui.

    ... Dès le début, ils ont affirmé que ce mouvement était archaïque et destiné à l'échec ...

    Mieux encore : je n'ai jamais vu ni reconnu l'existence de ce que tu nommes "Hirāk". J'ai vu un ras-le-bol, ponctuel et spontanné, envers une situation globale devenue inacceptables par le commun des Algériens ... puis c'est tout. Par la suite, certains ont effectivement essayé de faire un "Hirak" de cette réaction, mais au lieu d'aller dans le bon chemin (consensus, raison, modération, action concrète) ils l'ont plutôt dirigé vers un marais de discours gna-gna et de slogans creux, jusqu'à ce que le mouvement se vida de toute substance qui qu'il s'évanouit dans les airs comme un pet.

    ... Ils critiquent le Hirak pour apaiser leur propre conscience ...

    Non, et au-delà du caractère mesquin de la diatribe, c'est absurde comme raisonnement SHADOK : il n'y a aucune conscience à apaiser pour qui la vue était dès le départ ouvertement, publiquement et clairement sceptique sur la viabilité d'une démarche ou sur l'utilité d'une action. Par-contre, ta description s'appliquerait parfaitement à celui qui, après avoir consommé l'échec cuisant de la démarche qu'il pronait contre vents et marées, se retrouve maintenant à insulter le commun des Algériens au lieu de se dire humblement : ma démarche était foireuse, et ça n'a pas donné moyen de saisir la chance que le peuple avait offert.

    ... En 1954, de nombreux Algériens doutaient également que la révolution algérienne puisse réussir. Ce n'est qu'au fil du temps que la guérilla a pris de l'ampleur et a gagné en force, notamment grâce au soutien populaire ...

    Encore le pot à l'envers : en 1954, seule une cinquataine de personnes croyaient que la Révolution avant une chance d'aboutir, mais tous les Algériens avaient le même "souhait". Ce sont cette poignée qui ont lancé la machine qui transforma le souhait en projet, et ensuite le projet en réalité : ils ont élaboré un manifeste publique, mis en place une organisation politique, conçu un programme et un plan d'action, constitué des cadres et des chefs... etc. : du concret, du crédible et de l'éfficacité. C'est donc eux qui menaient la masse là où ils voulaient qu'elle va, et non pas la masse qui les menaient partout et nulle part à la fois, à coup de creux slogans et de marches sans fin.

    ... C'est pourquoi il était difficile d'organiser le Hirak et de désigner des représentants ...

    Et c'est pourquoi je voyais et je disais depuis le commencent que tout ça allait se terminer par un immense gâchis. Ce fut le cas.

    ... Il est facile de blâmer l'opposition qui a soutenu le mouvement dès le début sans tenir compte de l'environnement hostile dans lequel ils évoluaient ...

    Rien qui ne saurait être pire en terme d'hostilité, de danger et de difficulté que l'environnement dans lequel ont évolué les indicateurs, les meneurs et les exécutants du FLN en leur temps. Ils n'en ont pas moins réussi leur coup, prèsque par miracle. Pourquoi ? Parceque intelligents, résolus, organisés et efficaces ; soit tout ce que n'est pas la ratatouille d'hommes et de femmes que tu oses appeller "opposition". C'est un problème politique SHADOK, et c'est aux POLITIQUES d'y assumer leurs responsabilités puisque c'est sensé être leur job et que personne ne les a un jour forcés à s'y mettre ...
    Dernière modification par Harrachi78, 26 février 2023, 21h52.
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #32
      Harrachi78

      Vivre en Algérie ne vous confère pas de supériorité sur les Algériens vivant à l'étranger. Tout comme vous, nos familles vivent en Algérie et la sécurité et la stabilité de notre pays nous préoccupent autant que vous.

      Il convient de préciser que, tout comme lors de la révolution de 1954, les Algériens vivant à l'étranger avaient un rôle important à jouer dans la révolution populaire de 2019. Néanmoins, ils ont toujours soutenu la devise d'Abane Ramdane: "La primauté de l'intérieur sur l'extérieur !".

      Il est important de souligner que les Algériens de l’étranger qui ont pris part au Hirak ont bravé d'importants dangers. De nombreux militants ont été arrêtés en Algérie et leurs proches ont été intimidés, pendant que certains Algériens résidant dans le pays étaient installés confortablement chez eux.

      Vivre en Algérie ne signifie pas que l'on est plus informé de la vie politique que ceux qui sont à l'étranger. Pour ma part, j'avais la chance de me trouver en Algérie en février 2019, j'ai participé aux premières marches du Hirak et à plusieurs autres manifestations après, ce qui m'a permis de voir de près la naissance et l'évolution de ce mouvement.

      Nous n'avons pas vu la même chose. Dès le début, les manifestants ont exigé le départ de Bouteflika, la fin du régime autoritaire et des élections libres et justes, ainsi que la fin de la corruption. Dès les premières semaines, le Hirak a continué à se mobiliser pour maintenir la pression sur le pouvoir et pour exiger des réformes plus larges, y compris une véritable transition vers la démocratie.

      Cependant, votre comparaison entre la révolution de 1954 et le Hirak de 2019 est inexacte. Les contextes historiques et politiques sont différents, ce qui a conduit à des méthodes de lutte différentes. Le seul point commun entre ces deux révolutions est le désir de changement et de justice pour le peuple algérien.

      La révolution algérienne de 1954 a été menée dans la clandestinité par des groupes armés, qui ont mené une guérilla contre les forces coloniales françaises. Le mouvement du Hirak était un mouvement populaire pacifique qui ne visait pas à perturber la stabilité du pays.

      Bien que les responsables du FLN étaient intelligents, organisés et efficaces dans la lutte armée, ils ont échoué à construire un État démocratique après l’indépendance qui reflétait les idéaux de la révolution.

      Enfin, il est facile de blâmer les partis d'opposition pour l'échec du Hirak. Ces partis ont dû faire face seule, sans soutien populaire, à la machine répressive du pouvoir. Ce qui a conduit à l'emprisonnement de nombreux leaders politiques.

      De plus, il faut rappeler que ceux qui ont soutenu les élections du 12/12 ont eux-mêmes contribué à l'échec du Hirak, tout en se plaignant aujourd'hui de l'incompétence du président Tebboune.

      En somme, l'échec du Hirak est une responsabilité collective, chacun doit assumer sa part !
      Dernière modification par shadok, 27 février 2023, 13h42.
      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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      • #33
        Vivre en Algérie ne signifie pas que l'on est plus informé de la vie politique que ceux qui sont à l'étranger.
        Si on suit ce raisonnement, donc quelqu'un qui vit en Algerie peut etre mieux informe que quelqu'un qui vit en France/Canada(exemple) sur la vie politique dans ces pays. Desole, mais cela n'a aucun sens. Le recit de l' Harrachi78 est, a mon avis, le plus proche de la realite.

        C'est une illusion de croire qu'on peut changer un pays a distance. Si les recits, les analyses ne sont pas grounded in reality, ils ne valent pas grand chose.
        Dernière modification par Someday, 26 février 2023, 21h19.
        We are what we pay attention to.

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        • #34
          Il convient de préciser que, tout comme lors de la révolution de 1954, les Algériens vivant à l'étranger avaient un rôle important à jouer dans la révolution populaire de 2019. Néanmoins, ils ont toujours soutenu la devise d'Abane Ramdane: "La primauté de l'intérieur sur l'extérieur !".

          je ne comprends pas pourquoi certains font ce parallèle, la guerre de libération était contre un ennemi extérieur commun ,le peuple était unanime pour le chasser, le hirak opposait une partie du peuple contre une autre et nul n'est censé quitter le pays.

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          • #35
            cozy

            Si on suit ce raisonnement, donc quelqu'un qui vit en Algerie peut etre mieux informe que quelqu'un qui vit en France/Canada(exemple) sur la vie politique dans ces pays. Desole, mais cela n'a aucun sens. Le recit de l' Harrachi78 est, a mon avis, le plus proche de la realite.
            Je sais de quoi je parle, j'ai beaucoup discuté avec Harrachi78 que j'estime bien

            Avec les moyens d'information disponibles aujourd'hui, une personne vivant à l’étranger qui s'intéresse à la situation politique de son pays peut être mieux informée qu'une personne qui y vit mais qui ne s'intéresse pas à la politique.

            Je me souviens que le 02 février 2019, quelques jours avant le Hirak. Harrchi78 ne connaissait pas Zoubida Assoul. Je lui ai alors fait remarquer qu'il était déconnecté de l'actualité politique.

            https://www.algerie-dz.com/forums/algerie/445407-présidentielle-ali-ghediri-publie-les-8-grandes-lignes-de-son-programme?p=7249550#post7249550

            Il m'a répondu : « En effet, ça fait presque une décennie que je n'ai pas suivi la scène politique chez nous... »

            https://www.algerie-dz.com/forums/algerie/445407-présidentielle-ali-ghediri-publie-les-8-grandes-lignes-de-son-programme?p=7249694#post7249694

            Comment est-il possible, pour quelqu'un qui vit en Algérie, ne pas connaître le porte-parole du mouvement Mouwatana, qui était l'un des acteurs clés du déclenchement du Hirak ? Ensuite, on vient blâmer les politiciens pour leur inaction !
            Dernière modification par shadok, 26 février 2023, 21h52.
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #36
              shadok

              Comment est-il possible, pour quelqu'un qui vit en Algérie, ne pas connaître le porte-parole du mouvement Mouwatana, qui était l'un des acteurs clés du déclenchement du Hirak ?
              1) Personne n'a declenche le Hirak.
              2) Il n'y a pas de vrai parti politique en Algerie. Il y a des associations a caractere politique, le pouvoir a bien calcule son coup. Le but d'un parti politique est de prendre le pouvoir ni plus ni moins. Aucun de ces partis n'ose penser prendre le pouvoir. Pour moi, ce sont comme des clubs qui partagent des ideologies commun pas plus.

              Il faut que le pouvoir les autorise a prendre le pouvoir !!!
              Dernière modification par Someday, 26 février 2023, 22h24.
              We are what we pay attention to.

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              • #37
                shadok

                ... Vivre en Algérie ne vous confère pas de supériorité sur les Algériens vivant à l'étranger ...

                Soit, dans lequel cas ton argument sur qui n'est pas "dans" ton Hirāk n'aurait pas droit, légitimité ou capacité à en juger la teneur ou d'en évaluer le contenu se neutralise de fait, et autant donc ne plus le galvauder à chaque fois que quelqu'un de "non-hieakiste" exprime ses opinions sur la chose. Participant ou non, actif ou pas, pour ou contre, chaque algérien est concerné par ce truc que tu nomme "Hirāk" et chacun a DROIT de le juger librement.

                ... Le seul point commun entre ces deux révolutions est le désir de changement et de justice pour le peuple algérien ...

                Et il se trouve que c'est le seul point invoqué ici : pour que le "désir" devienne un acquis concret, il a fallu de l'organisation, de l'action et des alternatives viables, et le tout s'est finalement achevé autour d'une table de négociations. Si les circonstances peuvent permettre de faire l'économie d'une guerre cela va de soit, par-contre rien au monde ne saura faire passer la réussite dans un bras de fer avec un régime en place par autre chose qu'une action politique solide, un plan clair et une alternative viable. Sans ces choses, mieux vaut remettre son pyjama et aller faire sa sieste, parceque gueuler à tue-tête yetnahāw gā3, sans même être capable de nous dire qui est gā3 au juste, et comment et par qui yetremplaçāw gā3 c'est de la foutaise et non pas un projet politique.

                ... il est facile de blâmer les partis d'opposition pour l'échec du Hirak. Ces partis ont dû faire face seule, sans soutien populaire ...

                L'adhésion de la population et sa mobilisation, ça se gagne mon ami. Comment faire ? Ca, c'est sensé être le job des politiques : trouver les méthodes et les discours qu'il faut pour rassembler la masse autour de leur projet. Donc, il faudrait déjà avoir un projet concret et convaincant pour qu'on sache vers où on veux nous mener et par quel chemin, ensuite il faudra que les initiateurs exposent leurs tronches pour que les gens savent à qui ils ont affaire. Il n'y eut rien de tel déjà, mais même avec, si ça ne suit pas en bas, c'est toujours l'échec des politiques incapables et non pas celui du peuple qui, encore une fois, leur avait ouvert la voie comme pas possible.
                Dernière modification par Harrachi78, 27 février 2023, 13h18.
                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                • #38
                  Leš résidu du régimes Bouteflika save bien que le Hirak ne peut pas mourir . c'est une question de temps pour qu'il sort vainqueur sur terrain.
                  beaucoup de choses on change depuis le 22 février 2019
                  dz(0000/1111)dz

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                  • #39
                    Dans les pays democratiques, il n'y a pas quelque chose qui s'appel le pouvoir. Il y a que des partis politiques et quand l'un d'eux gagne l'election, il devient le pouvoir. Cette notion du pouvoir est propre a l'Algerie. Il y a un pouvoir et des partis politiques, cela n'a aucun sens.
                    We are what we pay attention to.

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                    • #40
                      Mouwatana, qui était l'un des acteurs clés du déclenchement du Hirak
                      Non "Jaich cha3b khawa khawa" voila ce que scandaient les algériens au début du hirak et c'etait le moment le plus fort

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                      • #41
                        cozy

                        Personne n'a declenche le Hirak.
                        Il se peut que le terme utilisé ne soit pas tout à fait approprié. Pour être plus précis, le mouvement Mouwatana a été le précurseur à manifester contre le cinquième mandat de Bouteflika dès 2018.

                        Le but d'un parti politique est de prendre le pouvoir ni plus ni moins. Aucun de ces partis n'ose penser prendre le pouvoir.
                        Il faut que le pouvoir les autorise a prendre le pouvoir !!!
                        Il ne faut pas être naïf, ce régime autoritaire ne laissera aucun parti d’opposition prendre le pouvoir. Nous avons vu comment le FIS, avec toute l’adhésion populaire qu’il avait a été neutralisé. Ce régime est capable de créer une autre guerre pour rester au pouvoir.
                        Dernière modification par shadok, 27 février 2023, 16h38.
                        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                        • #42
                          El-Magico

                          Non "Jaich cha3b khawa khawa" voila ce que scandaient les algériens au début du hirak et c'etait le moment le plus fort
                          Pendant les premières semaines du Hirak, nous avons tous scandé le slogan "Djeich, Chaâb, Khawa khawa". Les Algériens étaient convaincus que Gaid Salah satisferait les revendications du Hirak, étant donné qu'il avait déclaré : « Nous soutiendrons le peuple jusqu’à ce que ses revendications soient entièrement et totalement satisfaites ». Il avait promis d'appliquer les articles 7 et 8 de la Constitution, mais il a trahi le peuple en imposant un président illégitime avec des élections fantoches.

                          L'article 7 stipule que le peuple est la source de tout pouvoir et que la souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple. L'article 8 énonce que le pouvoir constituant appartient au peuple et que ce dernier exerce sa souveraineté par l'intermédiaire des institutions qu'il se donne.

                          Gaid Salah avait la possibilité de rentrer dans l'histoire par la grande porte en accompagnant le peuple dans la voie du changement. Il pouvait lancé un dialogue avec des personnalités historiques et patriotiques. Malheureusement, il n'avait ni les compétences ni la sagesse nécessaire pour accomplir cette mission, il a choisi la manière forte.

                          Il ne faut pas chercher loin, le premier responsable de l’échec du Hirak est Gaid Salah. Il a fait perdre une chance historique à l'Algérie. Le général Benhadid a adressé une lettre ouverte à Gaid Salah pour trouver une solution politique à la crise et capitaliser le mouvement du Hirak pour le bien de l’Algérie. La réponse de Gaid Salah a été de le mettre en prison.

                          Djeich, Chaâb, Khawa khawa : Slogan ou Réalité ?

                          Monsieur Gaïd Salah, à travers l’institution militaire respectable et respectueuse du peuple, vous êtes aujourd’hui le seul rempart qui peut empêcher ces forces extraconstitutionnelles d’agir et ce faisant, vous rentrerez dans l’histoire par la grande porte comme étant celui qui a sauvé l’Algérie des forces du mal.

                          Faites en sorte que ce magnifique élan salvateur qui est en train de libérer l’Algérie ne soit pas vain et aboutisse sur des solutions qui mettront définitivement l’Algérie sur les rails du développement durable et surtout qui feront renaître l’espoir dans le cœur des Algériens.

                          Nous vivons aujourd’hui un processus révolutionnaire historique et unique de par son pacifisme exceptionnel et il vous appartient, Monsieur Gaïd Salah, de le capitaliser pour le bien-être de nos enfants et pour l’avenir de notre pays.
                          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                          • #43
                            shadok


                            Ce qui a provoqué la révolte de 2019 c’est la chute du prix du pétrole. C’était le cas en 1989, et ca sera le cas plus tard.

                            Voice les données :

                            Prix du pétrole en 1986 : $13.53
                            Prix du pétrole en 2016: $40.76 ( equivalent de $14 de l’année 1986)

                            Source: Statista.
                            We are what we pay attention to.

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