Preuve si besoin est qu'une armée peut être utile voire même intelligente.
- L’Algérie relance son mégaprojet du Barrage vert
El Maalba, petite localité rurale perdue dans les vastes steppes de Djelfa, à 1170 mètres d’altitude. C’est ici que le président Tebboune, est venu planter un arbre le 29 octobre, relançant ainsi symboliquement le projet du Barrage vert.
Décrit comme un mégaprojet écologique et agro-économique, le Barrage vert a été lancé en juin 1970, sous le règne du président Houari Boumediene qui a mis à contribution les soldats de l’armée pour reboiser des kilomètres de steppe et de désert. L’idée était de reboiser un couloir d’une largeur de 20 kilomètres sur une longueur de 1 500 kilomètres pour servir d’obstacle à l’avancée du désert. Pendant des années, des millions d’arbres ont été plantés, mais devant l’ampleur et la difficulté de la tâche, le projet a été peu à peu abandonné et relégué aux oubliettes.
(...).
« Ce projet à cheval sur deux siècles est porté par plusieurs générations. Il a commencé par les efforts de ses premiers initiateurs et des soldats de l’Armée nationale populaire et il se poursuit, aujourd’hui, avec les scientifiques au moment ou les changements climatiques nous posent de nouveaux défis », conclut, avec un certain sens de la formule, le chef de projet.
Jeune Afrique (extraits)
- L’Algérie relance son mégaprojet du Barrage vert
El Maalba, petite localité rurale perdue dans les vastes steppes de Djelfa, à 1170 mètres d’altitude. C’est ici que le président Tebboune, est venu planter un arbre le 29 octobre, relançant ainsi symboliquement le projet du Barrage vert.
Décrit comme un mégaprojet écologique et agro-économique, le Barrage vert a été lancé en juin 1970, sous le règne du président Houari Boumediene qui a mis à contribution les soldats de l’armée pour reboiser des kilomètres de steppe et de désert. L’idée était de reboiser un couloir d’une largeur de 20 kilomètres sur une longueur de 1 500 kilomètres pour servir d’obstacle à l’avancée du désert. Pendant des années, des millions d’arbres ont été plantés, mais devant l’ampleur et la difficulté de la tâche, le projet a été peu à peu abandonné et relégué aux oubliettes.
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« Ce projet à cheval sur deux siècles est porté par plusieurs générations. Il a commencé par les efforts de ses premiers initiateurs et des soldats de l’Armée nationale populaire et il se poursuit, aujourd’hui, avec les scientifiques au moment ou les changements climatiques nous posent de nouveaux défis », conclut, avec un certain sens de la formule, le chef de projet.
Jeune Afrique (extraits)
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