Ceux qui avaient proclamé que «la France a un siècle de retard sur I’Histoire» n’ont pas tort.
L'extrême droite et la droite française pensent avoir trouvé dans l'écrivain Boualem Sansal leur meilleure flèche pour atteindre l'Algérie. L'homme, qui vit dans l'Hexagone, a été annoncé en partance vers Alger. Sans nouvelles de lui, sa famille a sonné l'alerte. Il n'en fallait pas plus pour que la «bête» s'acharne et réclame sa «libération», avant même qu'on ne connaisse son sort.
En attendant que son interpellation soit confirmée ou non, la «cavalerie» de la cinquième colonne sonne la charge pour venir chasser en meute contre l'Algérie. La liste de ces «va-t-en guerre» en mal de perdition comprend des noms connus pour leur hostilité légendaire contre notre peuple. De vieilles reliques de l'Histoire composées de rejetons de pieds-noirs et de sionistes connus pour leur haine de I'Arabe. Certains parmi eux ont osé employer un terme impropre aux circonstances et à l'Histoire de ces soixante dernières années, pour tout dire celui d'«exiger de l'Algérie»! Les champions de ce cirque ont pour nom: Éric Zemmour, Mohamed Sifaoui, Marine Le Pen, Xavier Driencourt, Valérie Pécresse, Jack Lang, Nicolas Dupont-Aignan et évidemment Tahar Bendjelloun et Kamel Daoud. Cette nouvelle engeance veut croiser le fer avec une nation citée comme une référence dans le monde pour sa Révolution. Cela ne les dissuade pas de chauffer le bendir, ont commenté les Algériens sur les réseaux sociaux.
À croire que tout le troupeau avait le doigt sur le clavier et n'attendait que le moindre signal pour lancer ses accusations insensées. Dirigés vraisemblablement par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), ces personnages réputés pour leur haine traditionnelle à l'endroit de l'Algérie, ont usé d'un vocabulaire tristement colonialiste, en allant jusqu'à «exiger la libération immédiate» de leur acolyte et auteur préféré. À lire leurs messages sur le réseau social «X», on se serait cru au tout début du siècle dernier où leurs grands-parents se prévalaient d'un droit tutélaire sur leurs territoires au sud de la Méditerranée. Ils «défendent» leur «harki» qui a fait allégeance à tous les régimes colonialistes du moment, à savoir l'entité sioniste, la France colonialiste et le Maroc. Sansal est en fait un faire-valoir et une sorte de trophée qu'ils exhibent à qui veut entendre une Histoire tronquée de l'Algérie et de son peuple. Cet écrivain a de tout temps été l'alibi des nostalgiques de l'Algérie française. L'alliance que ces derniers ont contracté avec le sionisme, est objective, au sens où les deux détestent l'Algérie. Et Sansal, qui ne cache pas son admiration pour l'entité sioniste, reste «un élément précieux» pour eux. Tant qu'il peut encore servir leur cause avec beaucoup de zèle. Et le développement récent le concernant est vu comme une aubaine pour s'en prendre à l'Algérie. Savent-ils que leur pays a une limite géographique où son autorité, s'il en a encore, s'y arrête? L'Algérie ne fait plus partie de la France depuis plus de 62 ans.
Ni eux ni le pouvoir parisien à qui ils intiment l'ordre de contraindre l'Algérie, ne sont en mesure de faire quoi que ce soit. Ce qu'il se passe sur «X» autour de cette ridicule histoire de «grand écrivain» renseigne bien sur leur prétendue force de frappe. En face, il y a un vrai État souverain, un grand pays qui n'a de compte à rendre à personne. Il a sa justice. Elle traitera le dossier Sansal dans le respect des lois de la République. Il ne restera à l'extrême droite sioniste que le dépit d'avoir, encore une fois, échoué à ébranler l'Algérie.
Voilà comment certaines personnalités se perdent dans leur prétention en voulant dicter sa conduite à l'Algérie soixante-deux ans après son indépendance. Décidément, ceux qui avaient proclamé que «la France a un siècle de retard sur I'Histoire» n'ont pas tort..
l'expression
L'extrême droite et la droite française pensent avoir trouvé dans l'écrivain Boualem Sansal leur meilleure flèche pour atteindre l'Algérie. L'homme, qui vit dans l'Hexagone, a été annoncé en partance vers Alger. Sans nouvelles de lui, sa famille a sonné l'alerte. Il n'en fallait pas plus pour que la «bête» s'acharne et réclame sa «libération», avant même qu'on ne connaisse son sort.
En attendant que son interpellation soit confirmée ou non, la «cavalerie» de la cinquième colonne sonne la charge pour venir chasser en meute contre l'Algérie. La liste de ces «va-t-en guerre» en mal de perdition comprend des noms connus pour leur hostilité légendaire contre notre peuple. De vieilles reliques de l'Histoire composées de rejetons de pieds-noirs et de sionistes connus pour leur haine de I'Arabe. Certains parmi eux ont osé employer un terme impropre aux circonstances et à l'Histoire de ces soixante dernières années, pour tout dire celui d'«exiger de l'Algérie»! Les champions de ce cirque ont pour nom: Éric Zemmour, Mohamed Sifaoui, Marine Le Pen, Xavier Driencourt, Valérie Pécresse, Jack Lang, Nicolas Dupont-Aignan et évidemment Tahar Bendjelloun et Kamel Daoud. Cette nouvelle engeance veut croiser le fer avec une nation citée comme une référence dans le monde pour sa Révolution. Cela ne les dissuade pas de chauffer le bendir, ont commenté les Algériens sur les réseaux sociaux.
À croire que tout le troupeau avait le doigt sur le clavier et n'attendait que le moindre signal pour lancer ses accusations insensées. Dirigés vraisemblablement par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), ces personnages réputés pour leur haine traditionnelle à l'endroit de l'Algérie, ont usé d'un vocabulaire tristement colonialiste, en allant jusqu'à «exiger la libération immédiate» de leur acolyte et auteur préféré. À lire leurs messages sur le réseau social «X», on se serait cru au tout début du siècle dernier où leurs grands-parents se prévalaient d'un droit tutélaire sur leurs territoires au sud de la Méditerranée. Ils «défendent» leur «harki» qui a fait allégeance à tous les régimes colonialistes du moment, à savoir l'entité sioniste, la France colonialiste et le Maroc. Sansal est en fait un faire-valoir et une sorte de trophée qu'ils exhibent à qui veut entendre une Histoire tronquée de l'Algérie et de son peuple. Cet écrivain a de tout temps été l'alibi des nostalgiques de l'Algérie française. L'alliance que ces derniers ont contracté avec le sionisme, est objective, au sens où les deux détestent l'Algérie. Et Sansal, qui ne cache pas son admiration pour l'entité sioniste, reste «un élément précieux» pour eux. Tant qu'il peut encore servir leur cause avec beaucoup de zèle. Et le développement récent le concernant est vu comme une aubaine pour s'en prendre à l'Algérie. Savent-ils que leur pays a une limite géographique où son autorité, s'il en a encore, s'y arrête? L'Algérie ne fait plus partie de la France depuis plus de 62 ans.
Ni eux ni le pouvoir parisien à qui ils intiment l'ordre de contraindre l'Algérie, ne sont en mesure de faire quoi que ce soit. Ce qu'il se passe sur «X» autour de cette ridicule histoire de «grand écrivain» renseigne bien sur leur prétendue force de frappe. En face, il y a un vrai État souverain, un grand pays qui n'a de compte à rendre à personne. Il a sa justice. Elle traitera le dossier Sansal dans le respect des lois de la République. Il ne restera à l'extrême droite sioniste que le dépit d'avoir, encore une fois, échoué à ébranler l'Algérie.
Voilà comment certaines personnalités se perdent dans leur prétention en voulant dicter sa conduite à l'Algérie soixante-deux ans après son indépendance. Décidément, ceux qui avaient proclamé que «la France a un siècle de retard sur I'Histoire» n'ont pas tort..
l'expression
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