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Le jeu dangereux de la France avec l’Algérie : l’escalade continue

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  • Le jeu dangereux de la France avec l’Algérie : l’escalade continue

    Le torchon brûle entre Paris et Alger. Depuis la reconnaissance par la France de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, un incident diplomatique chasse l’autre, interdisant tout retour au calme et entraînant une surenchère permanente. Le ton ne cesse de monter, d’autant plus qu’aucun des deux États ne semble chercher de terrain d’entente. De quoi raviver pour une décennie supplémentaire leur éternelle brouille.

    Par Paul Fernandez-Mateo

    es relations entre la France et l’Algérie n’ont jamais été simples, pour des raisons évidentes. La décolonisation du territoire algérien, colonie de peuplement juridiquement intégrée à la métropole, s’est spectaculairement mal passée, prenant la forme d’un conflit meurtrier qui demeure encore aujourd’hui un sujet de contentieux mémoriel pour la France, et l’objet d’un véritable roman national pour le pouvoir algérien.

    Les deux États, toutefois, semblent condamnés à continuer à interagir. Le FLN, au pouvoir en Algérie presque sans interruption depuis l’indépendance, réclame régulièrement des excuses à la France pour les atrocités commises pendant la guerre, pour obtenir des concessions de la part du pouvoir français. Quant à la France, non seulement elle fait preuve, comme tous les États criminels de guerre, d’une exceptionnelle mauvaise foi lorsqu’il s’agit de reconnaître ses torts en la matière, mais l’important nombre de ressortissants algériens ou d’origine algérienne sur son sol, ainsi que les ressources qu’offre le territoire algérien, devrait inciter la France à maintenir une relation au moins cordiale avec l’Algérie.

    Toujours tendue, la relation franco-algérienne a traversé un certain nombre de hauts et de bas, au fil des décennies. Mais la situation était rarement parvenue, par le passé, jusqu’au degré actuel de crispation. Depuis juillet 2024, la crise s’envenime sans discontinuer ; et il semble cette fois difficile d’envisager un quelconque scénario qui pourrait conduire à une désescalade.

    Un engrenage enclenché par un caprice de Washington


    Le 30 juillet 2024, la publication d’une lettre du président français, Emmanuel Macron, adressée au roi du Maroc, a modifié la position de la France concernant le problème du Sahara occidental, une ancienne colonie espagnole. L’Espagne, après la mort de Franco, s’était unilatéralement retirée du territoire, sans achever son processus d’accession à l’indépendance. Depuis lors, le territoire est déchiré entre les revendications opposées du Maroc et de la République arabe sahraouie démocratique, contrôlée par le Front Polisario. Le Maroc revendique l’annexion pure et simple du territoire, tandis que le Front Polisario, soutenu par l’Algérie et par la majorité de la population sahraouie, exige l’indépendance du Sahara occidental en tant qu’État. Une république sahraouie indépendante représenterait pour l’Algérie un allié disposant d’une façade atlantique, et priverait le Maroc de son quasi-monopole sur les exportations de phosphate dans la région, affaiblissant cet État rival de l'Algérie.

    À l’heure actuelle, le Maroc occupe environ 80 % du territoire, les 20 % restants étant contrôlés par le Front Polisario, relégué derrière un ensemble de murs bâtis par le Maroc pour asseoir ses revendications territoriales. Historiquement, le territoire a appartenu à certaines anciennes dynasties musulmanes implantées au Maroc, comme les Almohades, et l’Espagne entendait bien, suivant les accords de Madrid, abandonner la majeure partie du territoire à la souveraineté marocaine (l’extrême sud devant revenir à la Mauritanie). Mais si la Cour internationale de justice a reconnu l’existence de liens historiques entre le Sahara occidental et le Maroc, elle a toutefois conclu que ces revendications d’ordre historique ne suffisaient à démontrer l’existence d’une souveraineté marocaine sur le territoire.

    Officiellement, donc, pour les Nations unies, le Sahara occidental demeure un territoire dont la décolonisation n’a pas été achevée, et qui ne peut pas être annexé par un autre État, soulignant notamment que l’Espagne ne disposait pas du pouvoir de le céder au Maroc. Juridiquement parlant, un référendum d’autodétermination reste nécessaire pour trancher concernant l’avenir du Sahara occidental.

    Mais en 2020, les États-Unis, durant la première présidence de Donald Trump, ont lancé un coup de pied dans la fourmilière. En échange de la normalisation des relations du Maroc avec Israël, ils ont reconnu la souveraineté marocaine sur le territoire. Ce revirement a provoqué un torrent de discrètes déclarations diplomatiques. De très nombreux États qui n’avaient jusqu’ici jamais reconnu les prétentions marocaines sur le Sahara occidental ont soudain décidé de retourner leurs vestes. En à peine quelques années, la souveraineté marocaine sur le territoire est passée de presque universellement rejetée à assez largement acceptée, surtout par l’Occident et ses États clients. D’autant plus que l’administration Biden n’est pas revenue sur le choix du président Trump en la matière.



    Dans ce contexte, la modification de la position française ne surprendra personne : comme toutes les autres marionnettes de Washington, la France n’a eu d’autre choix que d’obéir à ses maîtres et de s’aligner sur la position américaine. L’Algérie ne l’ignore pas. Si la perte de légitimité de la République arabe sahraouie démocratique n’est évidemment pas une bonne nouvelle pour l’Algérie, qui poursuit une lutte acharnée d’influence contre le Maroc, le revirement français n’a certainement pas constitué une surprise.

    Deux diplomaties sautant à pieds joints dans le piège de l’escalade


    Devant l’importance de ce revirement, il n’est guère surprenant que l’Algérie ait immédiatement sauté sur l’occasion pour mettre la France dans l’embarras, en rappelant son ambassadeur à Paris. La France a réagi à ce signal d’alarme avec une remarquable bêtise, assurant benoîtement souhaiter maintenir sa « relation bilatérale » avec l’Algérie – qui avait pourtant maintes fois averti qu’un abandon de la neutralité française sur la question du Sahara occidental serait inacceptable – tout en réaffirmant sans modification sa nouvelle position sur le Sahara occidental lors de la visite d’Emmanuel Macron à Rabat le 29 octobre. L’équivalent diplomatique de vouloir le beurre et l’argent du beurre…

    Depuis lors, les insultes s’enchaînent. L’arrestation à Alger, le 16 novembre, puis l’incarcération de l’écrivain Boualem Sansal a constitué le prétexte parfait à un second round dans l’escalade. Récemment naturalisé français – justement en 2024, ce qui n’est sans doute pas une coïncidence – Boualem Sansal est très critique envers le pouvoir algérien, et tient un discours considéré comme favorable au Maroc. Il est également vieux et malade. Tout cela le désignait très clairement, à la fois comme une cible facile et sans défense pour Alger et, plus cyniquement, comme un potentiel martyr qui ne coûte pas grand-chose à sacrifier pour la France. Chacun des deux États se retranche depuis dans une rhétorique dépourvue de la moindre concession dans cette affaire, multipliant les prises de position fermes et les discours martiaux, recherchant tout sauf un compromis réaliste, l’unique résultat concret étant que Boualem Sansal continue de croupir dans sa geôle.

    En parallèle de sa triste situation, les deux États continuent à faire feu de tout bois. D’une part, depuis le revirement de la position française concernant le Sahara occidental, un certain nombre d’influenceurs issus de la communauté algérienne en France ont considérablement radicalisé leur discours anti-français, et il est difficile de ne pas y voir l’influence plus ou moins directe d’Alger. D’autre part, la réaction française n’a rien arrangé, organisant l’expulsion vers l’Algérie d’un des fauteurs de troubles. Au-delà de la question de savoir si l’individu concerné méritait ou non d’être expulsé, les autorités françaises ne peuvent pas ignorer que toute expulsion est impossible sans l’accord de l’État de destination, et il était évident que l’Algérie n’avait aucun intérêt à se soumettre aux desideratas de Paris en la matière.



    Dans cet affrontement diplomatique, l’Algérie ne se prive pas non plus de ressortir de derrière les fagots les vieilles recettes de famille. Le président Tebboune, courant décembre 2024, a lancé de nouvelles accusations de « génocide » commis par la France en Algérie pendant la guerre, remettant également sur le tapis la question épineuse des résidus radioactifs que les essais nucléaires français dans le désert algérien ont laissés derrière eux. De telles accusations ne sont évidemment pas dépourvues de fondement, et c’est bien pour cela que l’Algérie les utilise : elles constituent un moyen efficace pour le pouvoir algérien de raffermir quelque peu le soutien de la population algérienne (qui lui fait de plus en plus défaut, en proclamant sa supériorité morale sur la France.

    Dans ce contexte, les déclarations de politiciens français, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau en tête, visant à enclencher un processus de révision ou de dénonciation de l’accord franco-algérien de 1968 sur la circulation, l’emploi et le séjour des ressortissants algériens et de leurs familles, constituent le dernier épisode de date de cette montée des tensions. L’accord en question met en place un régime juridique spécifique pour les ressortissants algériens vivant sur le territoire français. Pour le gouvernement français, exprimer sa volonté de se débarrasser de ce régime d’exception permet de faire d’une pierre deux coups, d’une part en tendant encore un peu plus les relations avec l’Algérie, et d’autre part en mobilisant le vieux ressort de l’immigration pour tenter de se légitimer comme il peut – et qui sait, retarder un peu plus l’inévitable censure… Reste à voir si cette idée se concrétisera en actes, si l’apaisement finira par l’emporter… ou si un autre, meilleur prétexte de continuer l’escalade des tensions se présentera.
    وألعن من لم يماشي الزمان ،و يقنع بالعيش عيش الحجر

  • #2

    Une crise apparemment sans issue


    Ne nous y trompons pas, cela dit. Les tensions actuelles ont toutes pour source l’alignement de la position française sur la position américaine concernant le Sahara occidental. Quant au changement de la position américaine sur le sujet, il est sans doute à mettre en parallèle avec l’alignement de la position marocaine sur la position américaine sur une variété de sujets depuis quelques années, et notamment sur le soutien à Israël.

    Le Maroc et l’Algérie sont des rivaux géopolitiques de longue date, et il n’y a aucune raison pour que cette rivalité disparaisse. Là où le Maroc dispose d’une position plus stratégique, avec un accès direct à la fois à l’Atlantique et à la Méditerranée, l’Algérie dispose de ressources naturelles bien plus abondantes, en particulier en ce qui concerne les hydrocarbures.

    Fatalement, du fait des relations exécrables entre les deux pays, l’alignement du Maroc sur les États-Unis ne peut qu’amener l’Algérie à prendre ses distances vis-à-vis de l’Occident. Cela s’est traduit par un certain isolement diplomatique assez soudain vis-à-vis de certains de ses clients habituels. L’Algérie a longtemps été un partenaire commercial important de l’Europe occidentale, et le demeure encore aujourd’hui, exportant énormément d’hydrocarbures en Italie, en Espagne et en France.

    Mais l’Algérie explore désormais d’autres options, et semble vouloir s’affranchir peu à peu de sa dépendance vis-à-vis de l’Occident, notamment en termes d’importations. La Chine est désormais le premier fournisseur du pays, loin devant la France. L’Algérie a également manifesté son intention d’intégrer la Nouvelle Banque de développement, mise sur pied par les BRICS ; et elle peut toujours compter, en ce qui concerne le différend au Sahara occidental, sur un soutien tacite de la Russie et de la Chine. Les deux grandes puissances, notamment membres du Conseil de sécurité des Nations unies, continuent à réaffirmer que l’autodétermination du peuple sahraoui constitue la seule issue possible dans ce dossier. Elles disposent du droit de veto au Conseil de sécurité, leur permettant de bloquer toute initiative occidentale sur la question.

    À l’inverse, la France, comme le reste de l’Europe occidentale, se retrouve dans une situation géopolitique quelque peu inconfortable, relativement à l’Algérie. Le conflit en Ukraine force le continent européen à se sevrer du gaz russe bon marché qui l’inondait jusque-là ; et les fournisseurs alternatifs sont rares. La Norvège, l’Azerbaïdjan et l’Algérie profitent de l’aubaine : leurs exportations d’hydrocarbures à destination de l’Europe ont augmenté. Et tout comme l’Azerbaïdjan, l’Algérie est consciente de la dépendance de l’Europe à ses exportations, et n’a plus de raison de craindre de s’ériger dans une posture ouvertement antagoniste pour faire pression sur ses clients.

    C’est avant tout ce bouleversement du terrain géopolitique qui laisse songer que la crise franco-algérienne actuelle pourrait s’inscrire sur le long terme. Pour dire les choses simplement, l’Algérie n’hésite plus à contester la position française, et la France dispose de moins de moyens de pression réels sur son voisin d’outre-Méditerranée. Certes, la France demeure un fournisseur relativement important de l’Algérie ; mais souhaite-t-elle prendre le risque de pousser encore davantage l’Algérie dans les bras de la Chine, qui est déjà son premier fournisseur, quitte à perdre le peu de marge de manœuvre dont elle dispose encore ? Aucune sanction ne semble réaliste.

    À l’inverse, l’Algérie, par le biais de sa diaspora en France, ainsi que grâce à sa position actuelle de fournisseur inévitable d’hydrocarbures pour une Europe en pleine crise énergétique, dispose de plusieurs cordes à son arc. En prime, la France est en ce moment encore plus affaiblie que d’habitude, avec un président impuissant, extrêmement impopulaire et désavoué jusque dans son propre camp, et un gouvernement sur un siège éjectable.

    À l’heure actuelle, et compte tenu de cette faiblesse française face aux États-Unis, la France en est réduite à espérer la chute du pouvoir algérien, et le remplacement de celui-ci par une autre entité à Alger, plus susceptible de s’aligner sur les intérêts occidentaux. C’est pour cela que la France n’a plus forcément intérêt à ce que s’opère une désescalade ; et de toute façon, sa soumission aux intérêts américains lui interdit de revenir sur sa reconnaissance de la souveraineté marocaine au Sahara occidental. Continuer à tenter de déstabiliser Alger implique toutefois de prendre le risque de maintenir une relation exécrable sur le long terme, ce qui est particulièrement irresponsable diplomatiquement – mais une telle irresponsabilité constitue à ce stade une caractéristique tristement courante de la diplomatie française sous Emmanuel Macron.

    Cependant, il est vrai que l’emprise du pouvoir algérien sur sa population est désormais bien plus fragile qu’elle ne l’a été par le passé. Le Printemps arabe, puis l’épisode du Hirak, entre 2019 et 2021, conclusion de la gérontocratie du mort-vivant Bouteflika, ont laissé des traces. Le pouvoir en place, coalition du FLN et du RND, semble incapable de se réinventer, demeurant enfermé dans l’exaltation d’un passé aussi glorieux que dépourvu de toute pertinence pour le citoyen algérien moyen, qui est jeune et que le mythe de la guerre d’indépendance laisse froid. La coalition au pouvoir a perdu la majorité absolue durant les élections législatives de 2021. Les dernières élections présidentielles, en 2024, se sont quant à elles soldées par une tentative ridicule du pouvoir algérien de truquer le scrutin, notamment en gonflant artificiellement un taux de participation vraisemblablement très faible, peut-être inférieur à 25 %.

    Les troubles issus du Printemps arabe ont déjà démontré l’extrême rapidité avec laquelle un château de cartes tel que celui que constitue aujourd’hui le pouvoir algérien peut s’effondrer du jour au lendemain. Il n’en reste toutefois pas moins qu’il est franchement piteux, pour la France, de n’avoir aucun autre espoir auquel se raccrocher pour sortir de cette crise, une crise qu’elle a elle-même provoquée, que de croiser les doigts pour que son adversaire disparaisse tout seul, surtout quand on ignore qui émergera pour le remplacer. D’ici là, s’attaquer aveuglément à l’Algérie peut encore causer des dégâts, et poursuivre l’escalade reste un jeu dangereux.

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    • #3
      L’Algerie doit commencer à monnayer ses aides : plus aucune aide à la Tunisie et aux pays voisins si ils ne reconnaissent pas le Sahara-Occidental. Et revoir aussi ses partenariats stratégiques avec la Turquie et le Qatar si ils persistent à contrarier la vision algérienne pour ne pas se mettre en froid avec le PJD marocain , malgré le fait qu’ils aient plus d’intérêts avec nous qu’avec le Maroc. L’Algérie doit confronter les pays musulmans et africains qui jouent sur les deux tableaux comme elle l’a fait avec l’Espagne et la France.

      La France est un partenaire plus stratégique pour nous que la Turquie et le Qatar ou la Tunisie. Si il fallait commencer à mettre des coups de pression il aurait fallu commencer par ces pays au lieu de la France, qu’il fallait ménager au contraire et peut être aurait elle conserver sa position en voyant d’autres pays arabes et africains faire bloc derrière l’Algérie.

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      • #4
        L’Algérie peut se vendre en entier pour corrompre les états, rien ne pourra sortir le Marocain de ses terres.

        Cest une perte de temps, d’argent et d’énergie, et ça nous va parfaitement à l’ouest, car on est en train de tout rafler…

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        • #5
          L’Algerie doit commencer à monnayer ses aides : plus aucune aide à la Tunisie et aux pays voisins si ils ne reconnaissent pas le Sahara-Occidental
          le sahara occidental ne constitue pas un intérêt stratégique pour l'Algérie au point de se brouiller avec tout le monde .
          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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          • #6
            le sahara occidental ne constitue pas un intérêt stratégique pour l'Algérie au point de se brouiller avec tout le monde .
            Ca c’est ton point de vue. Le Maroc est un ennemi mortel pour nous. Le but de ce pays est de nous découper et de nous mettre à terre.

            Si on aide pas les sahraouis à recouvrer leur indépendance alors le Maroc va annexer la zone tampon du Sahara occidental dans un second temps, et dans un troisième temps il attaquera l’ouest algérien.

            Un bon joueur d’échec doit toujours avoir deux coups d’avance et non pas se contenter de suivre naïvement les règles de l’ONU qui ont étés créés uniquement pour le plus fort

            Est ce que des pays comme la Russie ou la Chine ont des relations stratégiques avec des pays qui entretiennent des relations étroites avec leurs ennemis américains comme nous le faisons avec la Turquie et le Qatar qui eux profitent de nous et s’alignent sur le Maroc par derrière ?
            Dernière modification par Kutami93, 31 janvier 2025, 17h16.

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            • #7
              Le Sahara Marocain n'est pas qu'un interet strategique pour l'Algerie, c'est d'un intérêt vital dans la gue-guerre ideologique et de leadership régional.

              Êtant donné que l'Algérie ne peut concurrencer le Maroc dans aucun autre domaine, et que ses dirigeants ne savent pas travailler et ne veulent pas travailler. il ne leur reste comme seule politique d'affirmation régionale que d'essayer de détruire lmarrouk...

              Malheuresement pour eux, dans le Maroc, il y a les Marocains et avec cette politique, ils vont se casser la gueule lamentable in finé....

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