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où trouve t-on des truffes ici à Alger ?

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  • #16
    aloha
    les meileeures truffes se vendent à plus de 2300 da
    si t'es interesses je peux te mettre avec un ami de beni ouanif

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    • #17
      super tuyau wajibli ghouatia maah tayebli le repas si elle est bien je la garde

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      • #18
        oui azul pas de souci j'aimerais en remanger tu es très gentil

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        • #19
          Terfess c'est des truffes blanches en français
          tchek tchek tchek

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          • #20
            C est pas encore la periode du Terfass... les meilleur et nouveau Terfass c est normalement qu au mois de mars.... c eux qu on trouve maintenant c est pas le rest de l annee passee d ou le prix tres cher....

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            • #21
              Abdallah

              On m'a fait savoir qu'on attend plus les pluies, ils utilisent des pivots (systèmes d'irrigation) [à vérifier]
              ce n'est pas seulement une question de pluies , mais aussi de soleil , et de temperature , comme pour la plupart des champignons ca a besoin d'un choque thermique pour qu'il y ait une fruitaison ..

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              • #22
                J'ai tant envie d'en manger ... il a plu beaucoup il doit y en avoir

                on m'a dit qu'ils les vendent pour les pays du golf
                Apparemment tu parles du "Terfas" qui n'existe en grande quantité nul part ailleurs au monde, qu'au Sud/Ouest algérien à partir de Bechar jusqu'à Adrar et au Yemen. Pour les "truffes", tu ne les trouveras que chez le marchand de légumes, parceque toutes les belles forêts du grand Alger, ont été sauvagement détruites et envahies par le béton !

                Mon pere Rabbi yarahmou me racontait que Bab Ezzouar, maintenant bétonnée était autrefois le poumon d'Alger centre !

                Nos "Terfas" font la joie de la cuisine raffinée française, et non des pays du Golf qui s'approvisionnent du Yemen.
                "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                • #23
                  ce n'est pas seulement une question de pluies , mais aussi de soleil , et de temperature , comme pour la plupart des champignons ca a besoin d'un choque thermique pour qu'il y ait une fruitaison ..
                  Ils dépendent surtout les premières pluies du mois de septembre.
                  "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                  • #24
                    où trouve t-on des truffes
                    si tu veux des truffes noirs du Perigord c 1300 Euros/kg, en Dinars ça te fais un bon sac .....
                    أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                    • #25
                      akhir Doc

                      Mais est ce qu'elle existe chez nous ? sachant qu'on fait partie du bassin medeterraneen , et le chêne qu'elle apprecie ce n'est pas ce qui manque chez nous ..

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                      • #26
                        Le terfas n'est pas une truffe au vrai sens du terme, elle n'a rien à voir avec les variétés nobles que sont la truffe noire du Périgord (tuber melanosporum) et la truffe blanche (tuber magnatum).

                        La truffe noire du Périgord a réussi à être acclimaté il y a quelques années par un Marocain, le docteur Laqbaqbi) dans la région de Debdou.

                        La fabuleuse histoire de la truffe noire de Tifzouine

                        Cueillir des truffes noires à Debdou dans l’Oriental au Maroc, c’était le défi que s’est lancé le docteur Laqbaqbi en plantant des chênes truffiers dans la propriété familiale, il y a huit ans. Aujourd’hui,les premières truffes noires, tuber melanosporum se sont acclimatées dans le sol calcaire de la Gaâda. Retour sur une épopée… »La chose est apparue, » a annoncé au docteur, le berger qui surveille et entretient la propriété. Il faut dire qu’il a été longuement briefé parle Docteur Laqbaqbi pour qu’il sache détecter la précieuse truffe. C’était le 22 décembre 2006 et le berger avait repéré la truffe noire, grâce aux craquelures produites à la surface du sol et qui laissait entrevoir la chose, objet de toutes les attentes, de tous les désirs et de tous les espoirs…

                        Le lendemain à l’aube, le nouveau trufficulteur rejoint le domaine de Tifzouine à Debdou, accompagné de son jeune chien Azmoune et de son ami, le photographe Jean Matève. La chose est cavée(déterrée en jargon). Trois autres truffes noires vont être découvertes. Les specimens vont être envoyés au professeur Gérard Chevalier et à Pierre Sourzat pour leur analyse. Le verdict est tombé, un verdict qui comble de joie le docteur Laqbaqbi. Il s’agit bien de la tuber melanosporum, identique à celle qui est récolté dans le Quercy notamment. En Avril 2007, au Salon International de l’Agriculture au Maroc (SIAM) qui se déroule à Meknès, le Roi Mohamed VI a décerné un prix au docteur Laqbaqbi pour la qualité de son stand, dans lequel il avait exposé des truffes noires de Tifzouine.

                        Février 2007 : de nouvelles truffes noires. L’exploit va être réitéré. Ils sont venus, ils sont tous là, dans le domaine de Tifzouine à Debdou. D’abord le maître de cérémonie, le Docteur Laqbaqbi, en compagnie de son chien Azmoune, le jeune labrador, Pierre Sourzat, co-auteur du «Grand livre de la truffe» (Robet Laffont, 1988), la bible des trufficulteurs et de tous ceux qui s’intéressent, de près ou de loin, à ce produit de luxe; ensuite, le Dr. Johann N. Bruhu, mycologu eaméricain de l’université de Columbia, le Dr. Mohamed Abourouh, mycologue et directeur du Centre de recherches forestières de Rabat et Mme Paulette Pedesco, 12 fois championne de France de dressage de chiens truffiers, en duo avec Alf, le chien berger noir qui ne tient pas en place. C’est Alf qui pointe de sa truffe humide un endroit au pied du jeune chêne. Pierre Sourzat se précipite, prend une poignée de terre et l’hume longuement. «Elle est là, c’est sûr», dit-il. Il donne ses indications pour creuser. Trente centimètres en profondeur et “le diamant noir” est exhumé. Ces quelques grammes suffisent à insuffler de l’espoir à l’assemblée et à faire briller tous les yeux. Le miracle a bien eu lieu. Deux autres joyaux vont illuminer cette journée particulière. Le docteur Laqbaqbi est heureux. “Il pense déjà, écrit Ali Tizilkad dans Aujourd’hui le Maroc, au musée de la truffe qu’il va mettre en place pour raconter toute cette épopée, susciter les vocations et diffuser le savoir scientifique. Il s’agit également de créer les conditions adéquates pour développer au Maroc les pépinières de mycorisation des plants de chênes verts truffiers. En attendant que cette truffe noire obtienne le label de truffe de Tifzouine.” Si fin décembre 2008, le docteur Laqbaqbi n’a pu se rendre au domaine de Tifzouine, parce que la route de la Gaâda était coupée à cause de la neige, il espère cueillir cette année une bonne quantité de truffes noires. Gageons que ces dernières figureront sur les cartes des restaurateurs marocains et qu’elles susciteront l’inspiration des chefs pour qu’ils mettent en valeur ces “diamants noirs” dans des recettes inédites et appétissantes.

                        Le terfez la truffe blanche & la truffe noire

                        Le docteur Laqbaqbi tient à préciser les différences entre ces trois champignons.

                        • Le terfez : Il existe deux espèces de ce champignon qui pousse dans les forêts ou dans le désert au Maroc : la variété rouge appelée clavery et la blanche ou Tirmania. Il est assez abondant et se cueille au début du printemps. Ses caractéristiques : le terfez ne dégage pas d’odeur. Si on le laisse dans une pièce et que l’on revient 20 mn plus tard, il n’y a aucun arôme. En revanche, il capte et absorbe les odeurs avec lesquelles on le met en contact. C’est ce qui fait son intérêt dans la cuisine, puisqu’il capte et restitue l’arôme du safran et des épices quand on le cuisine.

                        • La truffe noire : ou tuber melanosporum dite truffe noire du Périgord. Ses caractéristiques : quand on la laisse dans une endroit et que l’on revient au bout de 20 mn, son arôme a envahi toute la pièce.Et elle communique son parfum à tous les mets avec lesquels on la sert.

                        • La truffe blanche : ou tuber magnatum se rencontre en Italie. Ses caractéristiques : comme la truffe noire, elle dégage un arôme caractéristique. On la trouve essentiellement en Italie dans la région de l’Alba. Il est recommandé de ne pas la faire cuire. Il suffit d’en râper une petite quantité au-dessus d’un mets pour qu’elle exhale son arôme et donne du goût au plat. Cette variété coûte très cher (plus que la noire). Sa mycorrhization (processus de formation des filaments du champignon au contact des racines de l’arbre), hors de son terroir, n’a pas réussi jusqu’à présent.

                        Amina Boudraâ
                        debdoufr

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                        • #27
                          Akhir Discus

                          Mais est ce qu'elle existe chez nous ?
                          La truffe noire oui elle existe bel et bien chez nous et est plus chère que la blanche
                          أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                          • #28
                            Plus cher ? sans doute , a l'epoque du franc elle atteignait facile les 7000 francs , pourquoi alors jamais de trace ecrite sur elle ? depuis le temps je compte plus les fois ou j'ai eu posé la question sur son existance ou pas chez nous , une seul personne m'avait dit l'avoir trouvé et meme prise en photo , photo que j'attend de voir , mais en dehors de ce cas walou , rien ...

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                            • #29
                              Ecoute Discus je ne suis pas connaisseur, pour moi celle de couleur noire c'est la truffe noire, celle a peau blanche c la blanche
                              Maintenant si d'autres caractéristiques sont pris en compte pour bien distinguer l'une de l'autre je suis tout aussi ignorant que toi
                              Tout ce que je sais c 'est que ça a un goût sublime

                              PS: Les Ouled Nails de Djelfa maîtrisent bien l'art de le préparer, le top: chakhchoukha au lapin et terfess , une tuerie
                              أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                              • #30
                                Je crois qu'on parle pas de la meme chose , m'en fin pas grave ..

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