@Supernova
Tu as simplement affaire à un phénomène d'acculturation, chose trés courante et qui n'a rien d'éxceptionnel, que ca soit en Algérie ou ailleurs.
Dans la région de Tipaza par exemple, les habitants du Mont Chenoua ont était encore trés largement berbérophones jusqu'aux années 40. Dix ans plus tard, la courbe était encore en déscente alors que c'est les mêmes familles qui habitaient encore la région selon celui qui a fait l'étude : à un moment tout le monde est bilingue parceque l'entourage arabophone de la région l'impose, puis une génération pratique plus la langue véhiculaire (l'arabe) que la vérnaculaire (le chenwi) tout en continuant à le comprendre, puis une génération suivante l'utilise encore moins et le comprends moins bien, puis une autre génération qui le fait tomber en désuétude, avant que l'idiome ne meurt avec les dérniers veillards.
Un shémas classique et trés courant hélas, partout dans le monde.
Tu as simplement affaire à un phénomène d'acculturation, chose trés courante et qui n'a rien d'éxceptionnel, que ca soit en Algérie ou ailleurs.
Dans la région de Tipaza par exemple, les habitants du Mont Chenoua ont était encore trés largement berbérophones jusqu'aux années 40. Dix ans plus tard, la courbe était encore en déscente alors que c'est les mêmes familles qui habitaient encore la région selon celui qui a fait l'étude : à un moment tout le monde est bilingue parceque l'entourage arabophone de la région l'impose, puis une génération pratique plus la langue véhiculaire (l'arabe) que la vérnaculaire (le chenwi) tout en continuant à le comprendre, puis une génération suivante l'utilise encore moins et le comprends moins bien, puis une autre génération qui le fait tomber en désuétude, avant que l'idiome ne meurt avec les dérniers veillards.
Un shémas classique et trés courant hélas, partout dans le monde.
Commentaire