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Les tribus de la Saoura et leur organisations ancestrales

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  • #16
    Les beni Guil sont de Ait-Atta!
    N'IMPORTE QUOI !!!!!!!!

    T'y connais pas grand chose en fait.

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    • #17
      il est inutile de le dire, car je sais que tu allais y contribuer, mais de grace, khelina men les archives royales!
      C'est pas moi qui ecrit le texte je suis pas doui meni3i moi.
      C'est un doui meni3i qui a fait ce blog pour expliquer son histoire.

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      • #18
        LES BENI GUIL


        LA CONFEDERATION DES BNIGUIL


        En 1906 les Bni-Guil (partie importante de Bni Maakil) comptaient 3500 tentes 1 . les Bni–Guil sont une société de bon voisinage. Ils établissaient des relations avec les tribus voisines et fréquentaient les marchés lointains au Maroc et d'autres pays voisins. Ils sont connus par leur courage leur hospitalité et offraient la protection aux personnes menacées ou cherchant la notoriété ce qui a permis l’adhésion de plusieurs familles Berbères, Arabes respectant les valeurs de la tribu donnant ainsi la confédération des Bni-Guil. Les travaux de recherches sur les tatouages et de signes des Bni-Guil faites par l’artiste montrent bien le brassage de la culture Arabo-Berbère. Afin de protéger leur immense territoire les BniGuil se subdivisent en deux grands groupes: "Bni-Guil chragua" protégeaient la partie Est du territoire contre les invasions des tribus étrangères et "Bni-Guil lghraba" protégeaient la partie Ouest. Le mariage entre les familles des différentes fractions des Bni-Guil est un facteur principal qui a toujours assuré le maintient des liens familiaux au sein de la Tribu. Il est de coutume chez deux Bni-Guil de parcourir l'arbre généalogique de leur familles respectives pour trouver un parent commun. Ainsi les Bni–Guils se disent toujours cousins.
        Fractionnement des tribus Bni-Guil en 1906 d’après Lt Bauger3

        Avec la tribu Laamour les Oulad Nasser, les Bni-Guil représentent la population nomade de la province de Figuig et maintiennent des liens étroit entre elles . Leur principale source de revenu est l’élevage d’un cheptel varié ( ovins, bovins, caprins et chameaux) avec une dominance des ovins distingués par la race dite Bni-Guil, une des meilleures au monde et qui est adaptée aux conditions des hauts plateaux.


        Cette activité est favorisée par l’ existence d’une vaste étendue de terrain qui est réduite actuellement à ( 1 522 523 ha ),couverte en majeur partie par l’alfa et l’armoise .


        Cet élevage obéit à la transhumance des éleveurs a l intérieur de la province ou d’autres régions riches en pâturage, vers le sud de la province en hiver et vers le nord en été .


        Quant à l’abreuvement du cheptel, il dépend de la saison :


        - 2 fois par semaine de novembre à mars .


        -3 fois par semaine en mars et avril .


        -Chaque jour en été .


        Certaines fractions , les Ouled Brahim et les Ouled Farès possédaient des jardins dans l’oasis de Figuig, d’ autres à Ain chair , Néssissa, Bouarfa et les points d’eau à l’est et au sud de la région.


        La tribu de l’Aamour , possède des liens familiaux avec les Bni–Guil et qui comme eux ont le même mode de vie. Ils sont très attachés à la terre et à leur culture, nomadisent souvent dans leur commune, Abou Lakhal . Certains possèdent encore des jardins près des sources et pratiquent une agriculture, sur des petites parcelles, destinée à l’autoconsommation .


        L’agriculture chez les Bni-Guil est limitée aux céréales et tributaire des pluies. Le couvert végétal a subi une dégradation très poussée ces dernières années suite aux effets de la sécheresse qui a sévi dans la région .Cette situation a entraînée la réduction du nombre du cheptel réduisant ainsi le revenu des individus , facteur provocateur de l’exode vers les villes du pays ou vers l’Europe .

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        • #19
          Citation:
          Les beni Guil sont de Ait-Atta!
          N'IMPORTE QUOI !!!!!!!!

          T'y connais pas grand chose en fait.
          Les beni Guil sont des Chleuh appartenant á Ait Atta! vas demander aux vieux de ta région pour vérifier!!

          En tous les cas chez ns, à Lahmar, Boukaiess et Mougheul, Wakda se sont des Chleuh qui appartiennent dans leur grande majorité aux Beni Guil!
          Dernière modification par TAGHITI, 10 décembre 2009, 16h07.

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          • #20
            les Filala c'est une petite tribu, de cherif, qui sont aussi chez toi dans la Saoura et dans la Saguia El Hamra !
            les Filalas sont de Tafilalet, au Maroc! Ce sont d'ailleurs les tribus de Tafilalet qui ont accéléré et donné le prétexte pour l'intervention et l'installation des troupes francaises vers 1903 dans le Sud-Ouest algérien, aprés que ces Tribus marocaines avaient troublé la résistance de Bouamama sur les confins algéro-marocains!


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            • #21
              Béchar et sa région entre histoire et légendes

              Dans son livre Abdelkader HANI nous décrit les périodes principales qu'a traversées la région de Béchar , allant de son origine préhistorique jusqu'à nos jours , en passant par le Sultan noir (1331-1351), le cheikh El Maghili, la création de la zaouïa de Kénadsa, la légende des tribus de: Doui Menai , Ouled djerir , Beni Guil et ouled sid cheikh, l'occupation française et Béchar entre les deux guerres, les juifs ,la découverte des houillères de Kénadsa, déclenchement des premières attaques contre les français, les différentes batailles menées à travers toute la région , la mort du colonel Lotfi, les accords d'Evian , l'indépendance et enfin a terminé son ouvrage par un constat pessimiste sur la région qui dit dans l'un de ces passages " les Ksours de l'arrière-pays restent enlisés dans le sous-développement flagrant : dans une réunion tenue à Oran en Octobre 1962 et ayant pour objet l'opération labours, le préfet de la Saoura attira l'attention des hautes autorités sur la situation difficile des Oasiens de la Saoura.......""...En milieu urbain les choses ne sont pas très différentes à l'exception de la ville de Béchar . Tous les centres urbains connaissent un sous-emploi inquiet. A Kénadsa , la production de la houille désormais concurrencée par le pétrole continue de baisser et le chômage de s'aggraver dangereusement ." Seule la ville de Béchar connaît un essor relativement meilleur grâce à la présence des garnisons militaires en place et surtout grâce à....la base militaire française qui abrite le centre Inter-armée d'essais d'engins spéciaux ............Mais avec le début de l'indépendance du pays Béchar et sa région vont connaître une nouvelle destinée."conclu t-il

              Béchar et sa région, entre histoire et légendes ne prétend pas écrire l’histoire de la région de la Saoura, avertit Abdelkader Hani, son auteur.

              L’ouvrage s’est voulu une modeste contribution à la connaissance d’une région dont nombre de compatriotes du Nord n’ont entendu parler que par quelques réducteurs clichés étiquetant indifféremment toutes les régions sahariennes, malgré leur grande diversité. Mais il n’en reste pas moins que son intérêt dépasse cet objectif dans la mesure où, en dressant une première esquisse de l’histoire de sa région natale, Hani a réussi à mettre en perspective un passé parcellisé par ce qu’en rapportent contradictoirement les mémoires collectives des différentes populations de la région. Par ailleurs, il a fait un sort à une histoire sciemment tronquée par des manipulateurs d’archives décontextualisées, des experts ès-machinations, qui ont su susciter les dissensions entre ces mêmes populations locales pour mieux les asservir politiquement depuis l’indépendance. Ainsi, l’auteur met-il en exergue, d’une part, la communauté de destin de populations qui ont su faire front face à l’ennemi commun, que ce fût les forces coloniales ou la monarchie chérifienne, d’autre part, il remet dans leur exacte dimension les querelles anciennes entre tribus, ou confédérations de tribus, en les imputant non pas à l’existence d’animosités tribales mais à la nature de l’économie de la région en ces «âges farouches», une nature qui faisait que les rezzous étaient dans l’ordre des choses. C’est en conséquence dire l’intérêt de ce travail qui évite, d’une part, l’écueil d’une histoire «tribaliste» et, d’autre part, celui de réduire l’histoire à une chronologie de batailles et de noms. Et cette histoire sociale et économique, sans laquelle rien n’est intelligible, révèle comment Béchar est devenue la ville garnison d’aujourd’hui, une ville qui puise toujours sa richesse de cette situation et du fait d’être devenue le principal carrefour de la région au détriment de tous les autres. Il montre comment toute la région s’appauvrissait au cours du siècle dernier au moment où la petite oasis de Béchar devenait capitale régionale. Pour mémoire, la région dont il est question, et qui recouvre actuellement trois wilayas (Béchar, Adrar et Tindouf), constituait à l’indépendance l’ex-wilaya de la Saoura. Dans son «récit», l’auteur explique que la configuration géographique de la Saoura avait épousé les besoins des échanges commerciaux entre l’Algérie du Nord, le Maroc et l’Afrique subsaharienne. Elle s’était ainsi structurée en un chaplet de plusieurs dizaines d’oasis implantées le long des rives des oueds Zouzfana, Guir et Saoura, et s’enfonçant du nord au sud sur plus d’un millier de kilomètres. Elle a été ainsi la voie naturelle qu’empruntaient les caravanes commerciales, leur offrant autant d’indispensables haltes dans leur progression. Mais avec la colonisation et les moyens de transport modernes, le train et le camion, qui eux n’avaient plus besoin d’autant de haltes, toute l’économie oasienne, avec en corollaire, la transhumance des agrospastoraux, a périclité. Le coup de grâce lui a été asséne durant la guerre de Libération nationale lorsque les forces d’occupation ont regroupé les populations et interdit le nomadisme. Béchar et sa région entre histoire et légendes est une saga qui mérite d’être lue. Préfacée par Rabeh Sebaâ, elle a été publiée aux éditions Dar El Gharb avec le concours de Djazaïr 2003.

              Par M. Kali d'après le quotidien El-Watan du jeudi 08 janvier 2004.

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              • #22
                Les beni Guil sont des Chleuh appartenant á Ait Atta! vas demander aux vieux de ta région pour vérifier!!

                En tous les cas chez ns, à Lahmar, Boukaiess et Mougheul, Wakda se sont des Chleuh qui appartiennent dans leur grande majorité aux Beni Guil!
                Tu ment je le jure tu te trompe !!!

                Je parle depuis quelques temps avec un homme de Mougheul que j'ai rencontré sur youtube, et je lui ai fait un interrogatoire quand il m'a dit qu'il est chleuh, deja on dit chleuh a tort, il parle le berbere mais dans un language qui est seulement proche du chleuh mais c'est pas du chleuh.
                Et je lui ai naturellement demandé sa tribu, il m'a repondu "ait mghagha" ce qui n'a absolument rien a voir avec les Beni Guil qui sont de pur arabes !

                Par contre il est vrai que les habitants de Wakda, Mougheul, Igli, une partie de Beni Ounif sont des berberes mais ils parlent une sorte de berbere intermediaire entre le berbere de figuig et le berbere chleuh.


                Sinon les Ait 3atta c'est une grande tribu mais uniquement marocaine elle ne se prolonge pas en Algerie contrairement aux Doui Meni3 !




                Voila les Beni Guil:





                C'est vachment des berberes
                Dernière modification par Invité, 10 décembre 2009, 21h01.

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                • #23
                  les Filalas sont de Tafilalet, au Maroc! Ce sont d'ailleurs les tribus de Tafilalet qui ont accéléré et donné le prétexte pour l'intervention et l'installation des troupes francaises vers 1903 dans le Sud-Ouest algérien, aprés que ces Tribus marocaines avaient troublé la résistance de Bouamama sur les confins algéro-marocains!
                  OK donc là ou il y a des Filala c'est le Maroc ?

                  N'oublie pas que Bouamama est marocain né a Figuig de la tribu marocaine des Ouled Sidi Cheikh....GHERRABA

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                  • #24
                    Argane la danse de La3laoui appartient au Beni Guil? T'en es sure?

                    Chez ns, les gens de lahmar, de Boukayess et de Mougheul dansent et chantent le Hidouss, c'est connu, ils sont les champions!

                    Igli, c'est autre chose mon ami: ce sont des Glaouis!


                    la3laoui c'est wlad nhar, ca n'a rien á voir avec les beni Guil:



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                    • #25
                      Argane la danse de La3laoui appartient au Beni Guil? T'en es sure?
                      Quand m'as tu vu dire sa ?
                      La3laoui n'appartien pas a une seul tribu, tout comme Ahidouss non plus.
                      De nombreuses tribu marocaines de l'oriental dansent la3laoui et la reggada est un style de music marocain qui vient de la3laoui.
                      T'entend pas le mec dans la video, parler toutes les minutes des Beni Guil, je l'ai pas inventé !!!!!!

                      Chez ns, les gens de lahmar, de Boukayess et de Mougheul dansent et chantent le Hidouss, c'est connu, ils sont les champions!
                      Sa c'est vrai, vous dites hidouss chez vous alors qu'en berbere c'est AHIDOUSS comme disent les Ait 3atta et Ait Todgha, qui eux sont les vrais champion, les derniers berberes de la Saoura sont arabisés a mort.




                      Igli, c'est autre chose mon ami: ce sont des Glaouis!
                      D'accord avec toi mais y sont aussi des berbers, je vais pas te montrer d'ou viennent les Glaoui...

                      la3laoui c'est wlad nhar, ca n'a rien á voir avec les beni Guil:
                      Ahwach est une danse chleuh et doit etre dansé par au moins 100 grandes tribus différentes...

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                      • #26
                        Un habitant de Igli qui confirme que la Saoura était sous autoritée alaouite donc marocaine

                        Voir a partir de 2min50s !



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                        • #27
                          Les Zénètes du Gourara

                          Les Zénètes du Gourara d’hier à aujourd’hui

                          Rachid Bellil, maître de conférences à l’Inalco, Paris.

                          [Article publié dans le numéro 24 de la revue Passerelles, 2002.
                          Les Zénètes du Gourara constituent un groupe humain vivant dans une centaine d’oasis situées au sud de l’Atlas saharien et au nord du Twat (sud-ouest de l’Algérie). Ces oasis étaient protégées au nord par les dunes de l’erg occidental et à l’est par le plateau du Meguiden et du Tadmaït. Vers l’ouest, les oasis du Gourara étaient liées à celles qui s’étaient implantées le long de l’oued Saoura et qui étaient peuplées de Zénètes berbérophones. Les ksour de l’oued Saoura étaient quant à eux liés, au nord, avec les ksour de l’Atlas saharien (Aïn Sefra) et au-delà avec la cité de Tlemcen, et à l’ouest avec les ksour berbérophones de Figuig et du Tafilalt qui se trouvent au Maroc.


                          La région du Gourara, qui durant longtemps n’a pas été différenciée du Twat, a sus*cité peu de recherches et reste par conséquent largement méconnue. Pourtant, les informations contenues dans certains ouvrages de géographes et historiens arabes du Moyen-âge montrent que le passé du Gourara remonte à un lointain passé. Ces sources nous permettent d’avancer un certain nombre d’éléments sur le peuple*ment de cette région ainsi que sur les relations qu’elle entretenait avec des cités situées au nord du Sahara et dont certaines étaient le siège de pouvoirs dont l’in*fluence s’exerçait de manière intermittente sur ces oasis sahariennes ; la motivation essentielle étant le contrôle du commerce caravanier entre les pays du Nord de l’Afrique et ceux du bilad al-Sudan, le pays des Noirs.

                          Le peuplement
                          Concernant le peuplement, nous savons que plusieurs groupes humains ont occupé ces oasis.
                          Les Haratin d’abord, qui seraient les descendants d’une ethnie mentionnée déjà par Hérodote et appelée par la suite Aethiopes, très probablement issue des populations noires qui peuplaient le Sahara jusqu’à l’Atlas saharien et qui se sont progressive*ment retirées vers le sud en raison du processus de désertification. Certains de ces groupes seraient restés, occupant les endroits de plus en plus rares dans lesquels la présence de l’eau permettait une agriculture d’oasis. Ces Haratin, dont les ancêtres seraient donc les autochtones des oasis sahariennes, ont vu par la suite les arrivées de plusieurs autres groupes qui se sont imposés.
                          Les Gétules d’abord, qui étaient connus à l’époque romaine comme nomadisant dans le centre de l’Afrique du Nord, ont probablement visité le Twat et le Gourara, tout comme les Garamantes, plus à l’est, avaient depuis le Fezzan reconnu le Tassili n Ajjer, l’Ahaggar et certainement des lieux situés plus au sud. Cette présence des Gétules dans le Sahara remonterait aux débuts de l’ère chrétienne. À partir du IIIe siècle après J.-C, seraient arrivés, venant du nord-est de l’Afrique du Nord (sud de la Tunisie actuelle et de la Cyrénaïque) de petites communautés de Juifs vraisemblablement accompagnés ou suivis de Berbères judaïsés. Les sources écrites permettent de localiser cette migration dans plusieurs localités du Twat, la plus importante étant Tamentit qui fut considérée comme la capitale d’une « Palestine twatienne », mais nous savons que les chroniques locales et la tradition orale nous autorisent à repérer les lieux dans lesquels cette ancienne présence juive est mentionnée dans certains ksour du Gourara.
                          Du VIIe au XIe siècles, il apparaît que ce sont les Zénètes du Maghreb central qui arrivent par petits groupes dans les oasis. Quatre éléments au moins permettent d’expliquer ces migrations : d’abord, la poursuite d’un processus de reconnaissance de lieux situés au sud de l’Atlas saharien dans lequel nomadisaient les Zénètes ; en*suite, la fuite vers le Sahara, consécutive aux premiers contacts avec les islamisateurs, de communautés Zénètes judaïsées ; troisièmement, le développement du commerce caravanier avec le bilad al-Sudan après la fondation de l’imamat ibadite à Tahert, qui a entraîné les Zénètes à travers le Sahara, et enfin la probable migration de Zénètes ibadites, de l’Atlas saharien vers le Twat-Gourara, après la chute de Tahert.
                          À partir du XIe siècle, le Gourara verra les arrivées de deux autres groupes : des Berbères de l’Ouest et surtout du Tafîlalt, mais aussi de régions situées plus au sud, qui traverseront la Saoura pour parvenir à ces oasis ; un peu plus tard, parviennent les premiers groupes de nomades arabes qui se contentent au début de faire des va-et-vient entre l’Atlas saharien et le Gourara avant de s’installer dans le Meguiden. Ces groupes de nomades arabes étendront progressivement leur domination sur les ksour situés sur la bordure orientale du Gourara et du Twat. C’est à partir de ce mo*ment que les premières indications sur ces deux régions sont fournies par les géographes et historiens arabes dans leur description du Sahara.


                          la suite







                          Dernière modification par TAGHITI, 11 décembre 2009, 21h18.

                          Commentaire


                          • #28
                            Argane tu postes n'importe quoi! Dommage qu'au lieu de contribuer, tu continues à poluer les topics avec ta mentalité de Makhzene!

                            Ton Glaoui sur la vidéo n'est pas algérien, il est marocain, le lieu où il est filmé n'est pas Igli!

                            C'est une tête de Ztayli, il a l'air d'avoir bien rempli sa tête avec un bon Sebsi avant de venir chnater le makhzene!

                            Commentaire


                            • #29
                              Ton Glaoui sur la vidéo n'est pas algérien, il est marocain, le lieu où il est filmé n'est pas Igli!

                              C'est une tête de Ztayli, il a l'air d'avoir bien rempli sa tête avec un bon Sebsi avant de venir chnater le makhzene!
                              Na3latou lah 3ala lkadibine !!!!



                              La musique dans la video est d'Ala (pére filali et mere saoura...ou le contraire), le titre de la video en arabe ecrit "ksar Igli", les gens parlent du ksar d'Igli, le ksar est facilement reconnaissable, cerné de dunes et trés ancien.


                              Je connai la Saoura mieux que de nombreux algeriens, tu ne peux pas mentir avec moi.


                              Tu es desendu bien bas !

                              Tu va jusqu'a renier un Saouri parce qu'il a reconnu la vérité, a savoir qu'avant l'arrivée de la France la Saoura faisait parti de l'empire Alaouite alias le Maroc !!

                              Je fais appel aux gens sinceres et leur demande d'etre témoin de la vérité, et de ce que dit la video que j'ai posté sur Igli aujourd'hui en Algerie !


                              Chehdou ya 3ibad Lah !!!!!

                              Commentaire


                              • #30
                                A lire comment le Maroc a perdu une bonne partie des ksours de Bechar.

                                Les francais juste avant l'indépendance du jour au lendemain décident de ne plus tenir compte de la ligne Trinquet (frontiere franco-marocaine) qu'ils jugent trop avantageuse pour le Maroc pourtant en usage depuis des dizaines d'années et créent une autre ligne dans laquel de nombreux ksour (tel igli, mougheul, lahmar, kenadsa...) repassent sous autorité francaise !!!!!!

                                C'est trés instructif et sa change des auteurs algeriens que poste Taghiti !

                                Aux vents des puissances

                                Par Jean-Marc Delaunay

                                Page 131: La Question des frontieres

                                Commentaire

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