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La littérature Algérienne et critique intelligible.

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  • #16
    C'est toi qui me parle de caractère illisible alors qu'on comprend kedal à ton sujet rhoya?
    Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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    • #17
      Dans la littérature algérienne, tout comme dans toutes les autres littératures, on trouve les deux genres d'écriture: écriture artistique (signifié) et écriture motrice (signifiant). Souvent les deux genres se trouvent entre-mêlés dans un dosage disparate...

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      • #18
        Ne me remercie pas. J'ai rien fait l'ami.

        On manque beaucoup de sujets qui nécessitent des débats constructifs et enrichissants...Néanmoins, je rejoins aussi l'avis d'un certain forumsite qui t'as reproché un manque de clarté notamment le lien entre tes différents messages.

        J'aimerai bien débattre avec toi cette question de la littérature algérienne à la lumière de certains exemples si tu le veuilles bien.

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        • #19
          J'ai relu les autres messages (définitions) et je ne vois pas l'apport par rapport à la problématique posée dans le premier message.
          Je pense que la majorité des formumistes savent distinguer entre le signifié et le signifiant...Les materner de la sorte ne fera qu'engendrer des réactions indésirables.

          Au plaisir de te lire...

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          • #20
            le sujet est: A t-on de grands écrivains algériens en langue arabe?
            Intéressant comme sujet. Ca n'a jamais été traité ici sur FA.
            Personnellement, je ne maitrise pas assez la langue arabe pour la lire, je connais donc pas les auteurs algériens arabophones pour pouvoir répondre à ta question.

            Je suivrais donc le sujet avec intérêt et s'il y a des bons auteurs traduits, qu'on nous les indique. Ca m'intéresserai de les lire
            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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            • #21
              Envoyé par Bachi
              s'il y a des bons auteurs traduits, qu'on nous les indique. Ca m'intéresserai de les lire
              Chez les anciens, je suggérerais Tahar Ouettar et Abdelhamid Benhadouga (avec une excellente traduction de ses oeuvres par Marcel Blois). Chez les nouveaux, je suivrais volontiers l'itinéraire de Amara Lakhous qui vit en Italie. Son roman "Comment téter une louve sans se faire mordre", très vite devenu best-seller, écrit d'abord en arabe puis en italien par lui-même, a été ensuite traduit dans plusieurs langues.

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              • #22
                Merci Passant...

                J'ai lu un titre de Benhaddouga traduit au français...

                Je vais essayer de trouver Lakhouss
                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                • #23
                  A Brakni El-Mouldi

                  J'ai une question concrète concernant la publication d'une oeuvre littéraire en Algérie.
                  Admettons que j'écrive un livre, comment je pourrais le publier en Algérie. Quel circuit (ou circuits) mon livre va-t-il emprunter pour atteindre le lecteur final ?
                  "un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique" Ibn Khaldoun

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                  • #24
                    Je consens un grand effort pour tenter de comprendre la problématique débattue dans ce topic.

                    Il me semble que notre ami tente de qualifier la critique de la littérature algérienne à la lumière de l'évolution de celle-ci qu'elle soit de langue française, arabe ou autre.

                    Pour cela, il est judicieux de retracer le parcours évolutive de la littérature algérienne suivant les grands étapes de son émergence.

                    Époque romaine, musulmane et turque: la littérature algérienne évoluait dans un espace plus large que l'espace géographique, on ne peut donc parler de littérature algérienne.

                    Époque coloniale: cette littérature en majorité de langue française empruntée à la puissance coloniale s'articulait autour de la problématique de la condition humaine et la volonté de s'émanciper de toutes les formes d'oppressions.

                    Époque post-indépendance : utopie et la désillusion
                    Décennie noire : intégrisme idéologique
                    Années 2000: déperdition des valeurs

                    BELM,
                    A mon avis, votre angle d'analyse est très restreint et ne vous permet pas d'avoir un résultat objectif de cette question.

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                    • #25
                      De rien l'ami. Malgré la stagnation du débat, je suis toujours curieux de voir comment il évoluera.
                      Je suis très attentif à ce qu'il se dit dans cette rubrique. Je ne serai pas trop loin.

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