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Yasmina Khadra : écrivain hors pair, ou simple plagia?

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  • #16
    Pourkoi douter du génie algérien?
    Par ce que quand il s'exprime à la télivision on dirait qu'il s'agit d'une autre personne. Mauvaise articulation, manque de rigueur, raisonnement débile, susceptibilité criante, attaques personnelles qui peut laisser plus d'un sans voix pour se demander s'il a vraiment reçu d'éducation....la liste est longue.

    Normalement on devrait être fiers d'avoir un romancier d'aura international. Moi, je suis fier des écrits mais pas de personage. C'est la première fois que je me retrouve avec un tel paradoxe. A croire qu'il exsite deux personnes en lui.

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    • #17
      C'est la première fois que je me retrouve avec un tel paradoxe
      Il y a pire...

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      • #18
        Il y a pire...
        Ca me rassure...

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        • #19
          C'est la première fois que je me retrouve avec un tel paradoxe. A croire qu'il exsite deux personnes en lui.
          - - - - - - - - - - - - - - -

          Juris, le psy parle longuement de ses dédoublements de personnalité, dédoublement dans sa vie et à l'intérieur de son oeuvre aussi, les personnage se dédoublent, changent de prénom
          vous saviez qu'il a publié un roman en 2004 qui s'appelle Frenchy sous le nom Benjamin Cros qui s'est vendu à 460 exemplaires ? je l'apprends
          Avant d'admettre l'absurde, on épuise toute les solutions.

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          • #20
            Juris, le psy parle longuement de ses dédoublements de personnalité, dédoublement dans sa vie et à l'intérieur de son oeuvre aussi, les personnage se dédoublent, changent de prénom
            Il s etait très bien entrainé à ce dédoublement de personnalité ..( lui seul connaît le secret )

            Il marche très bien dans ce dédoublement de personnalité sans effort apparemment , contre sa volonté , cette volonté qu il serait seul à sentir , si bien entrainé à faire face , avancer , ne jamais biaiser , ni reculer devant un obstacle , que cette disposition propre de doublement personnalité avait fini par modeler son esprit pour être distingué parmi les écrivains francophones
            A vrai dire « yasmina Khadra : un jasmin vert » cet homme qui se symbolise par ( une fleur verte rare ) qui vécut simplement , n était pas simple ….puisque toute vie pose une énigme ..
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #21
              une partie de l'article du psy

              "
              Pourquoi toutes ces hésitations et ces revirements de situation qui donnent le vertige ? Je n’avais pas l’ombre d’une explication sur cette non-histoire d’amour sans queue ni tête, jusqu’au moment où j’ai lue l’histoire d’Emilie ailleurs, dans un autre livre. C’est finalement une histoire véridique d’un amour déchirant et impossible entre une pied-noir et un Algérien, une histoire qui a déjà été racontée, photos à l’appui, quatre ans auparavant (en 2004), par l’écrivain algérien Youcef Dris dans un livre de 142 pages : Les amants de Padovani, un excellent récit, bouleversant, magnifiquement dostoïevskien, sans dialogues superficiels ni niaiseries, un récit publié aux éditions Dalimen, et uniquement en Algérie.
              Voici ce qu’en dit un lecteur troublé, Abdallah :
              « Ce roman de Yasmina Khadra (2008) me fait penser étrangement a du déjà vu ou lu. En effet, l’histoire ressemble étrangement à celle d’un autre roman LES AMANTS DE PADOVANI de l’auteur algérien Youcef Dris paru en mars 2004 et présenté au Salon du livre à Paris où je l’ai acheté. Le héros de Khadra débarque à Oran, celui de Dris à Alger. De modeste condition, ils sont tous deux scolarisés ; chose pas aisée en cette période coloniale pour des indigènes. Ils tombent amoureux tous deux d’une européenne, Emilie pour Khadra et Amélie pour Dris. Ils assistent tous deux au départ massif des français d’Algérie et tous deux vont se recueillir sur la tombe de leur dulcinée à Aix en Provence pour Khadra et à Saint-Raphaël pour Dris. Et les coïncidences sont légion dans les deux textes. Qui s’est "inspiré" de l’autre ? »
              Dans le livre de Youcef Dris, le petit Arabe (Dahmane) reste toujours Arabe, jusqu’à la fin. Dans Ce que le jour doit à la nuit, le petit Younes fait comme l’auteur du livre : dès la page 70 il change d’identité et devient Jonas, un français qui vivra en Algérie parmi les Français, isolé des « siens. » Quant à Emilie, dans le récit de Youcef Dris (2004), elle s’appelle Amélie et, comme Emilie, mourra en France après avoir écrit une lettre à Jonas.
              Comme le jeune Younes, Yasmina Khadra a été confié à l’armée algérienne par son père à l’âge de neuf ou dix ans. Comme le jeune Jonas, c’est une nouvelle famille que Yasmina Khadra avait retrouvée au sein de l’armée, une « famille » avec laquelle il vivra plusieurs décennies. Ce n’est pas le plus gênant mais on aurait aimé ne pas y penser, car il est impossible de ne pas faire le parallèle, durant la lecture, entre le personnage du roman principal confié à une famille de pied noir à l’âge de dix ans, et à la vraie vie de l’auteur.
              Bernard Barrault, l’éditeur de Yasmina Khadra (Julliard), a-t-il lu « Les amants de Padovani » ? J’en doute. De même qu’il n’avait jamais lu, du moins avant sa publication, Frenchy, le roman que Yasmina Khadra avait publié aux éditions Fayard en 2004 sous le nom de Benjamin Cros. Un roman vendu à 460 (quatre cent soixante) exemplaires.
              Un important éditeur parisien – si ce n’est le plus important – m’avait dit à propos de Yasmina Khadra : « Chez Julliard, ils disent qu’ils ne font que le corriger. Mais on sait qu’on lui réécrit ses livres. » Sur France Culture, en 2007, l’excellent Tewfik Hakem m’a recommandé dans un éclat de rire de lire au moins un roman de Yasmina Khadra. Eh bien, je n'aurais pas dû."
              Avant d'admettre l'absurde, on épuise toute les solutions.

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              • #22
                L'ecrivain me fascine mais l'homme me fait pitié !
                Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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                • #23
                  Halim93

                  Pour ton info : tous les regards en France sont braqués sur lui , cet homme à la tête du CCA à Paris dérangent énormément les NEO ? ( les esprits travestis ( algeriens et français ) aux mains des politiciens français )
                  Rien à gratter de la fleur ( JASMIN ) verte ( Khadra ) rare dans le monde !!
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                  • #24
                    qui peut m'envoyer le roman Les Amants de Padovani, de Youcef Dris ? Je peux faire un échange avec d'autres romans, merci à vous
                    Avant d'admettre l'absurde, on épuise toute les solutions.

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                    • #25
                      j'ai lu l'article du psy; si ce qu'il raconte est vrai ça sera une grande humiliation pour notre célèbre écrivain; c'est honteux et incroyable que yasmina khadra reprenne une histoire qui a déjà été racontée hier, et de plus une histoire vraie
                      si on oublie le plagiat, j'ai pas lu son roman, et ce qu'on dit karim sarroub ne donne pas envie de le lire du tout
                      quelqu'un l'a lu ? et si oui, que pensez vous de ce qu'en pense karim sarroub par rapport à ce qu'il écrit ?

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                      • #26
                        autre question: le roman de youcef dris est-il en vente en algérie ? en france il est introuvable, et est-ce que quelqu'un l'a lu ?

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                        • #27
                          quelqu'un a t il lu le roman de youcef dris ? est-il encore en vente en algérie ? car en france il est introuvable

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                          • #28
                            Les preuves du plagiat de Yasmina Khadra révélées dans le détail par le psychanalyste

                            Les preuves du plagiat de Yasmina Khadra révélées dans le détail par le psychanalyste Karim Sarroub :

                            • L’époque où commence l’histoire, dans les deux livres, ce sont les années trente.
                            • Le lieu : l’Algérie.
                            • Dans les deux livres, il est question de deux Arabes qui tombent amoureux d’une européenne.
                            • Dans le livre de Youcef Dris, les amoureux s’appellent d’abord Amélie et Dahmane. Dans celui de Yasmina Khadra, Emilie et Younes.
                            • Le héros de Youcef Dris débarque à Alger, celui de Yasmina Khadra à Oran.
                            • Dans les deux livres, les deux Arabes changeront ensuite d’identité, troquant leur prénom arabe contre un prénom chrétien pour l’un, hébraïque pour l’autre. Chez Youcef Dris, Dahmane devient Dédé, chez Yasmina Khadra, Younes devient Jonas.
                            • C’est grâce à l’intervention directe de l’Européen que le petit arabe est scolarisé, dans les deux livres
                            • Dans les deux livres, l’arabe est empêché de vivre son amour avec la jeune Amélie/Emilie.
                            • Dans les deux livres, leur union est empêchée par la volonté des parents de la fille : le père d’Amélie dans le livre de Dris, la mère d’Emilie dans le livre de Khadra.
                            • Après cet interdit, dans les deux livres les deux amoureux sont séparés durant de longues années.
                            • Dans les deux livres, ils assistent au départ des Français d’Algérie.
                            • Et pendant ce temps, les deux Arabes dans les deux livres sont victimes de racisme.
                            • Outre la séparation forcée par l’autorité d’un tiers, dans les deux livres ils sont rejetés parce qu’Arabes : à l’école, par les copains pour l’un, par les filles pour l’autre.
                            • Dans les deux livres, la fin se passe dans le sud de la France : à Aix dans le livre de Yasmina Khadra, où l’auteur a vécu, à Saint-Raphaël dans le livre de Youcef Dris, qui a respecté la vraie histoire de son cousin.
                            • Dans les deux livres, Amélie et Emilie accouchent.
                            • Dans les deux livres, Amélie et Emilie meurent, mais pas l’enfant.
                            • Dans les deux livres, les deux Arabes retrouvent le fils d’Amélie/Emilie à la fin.
                            • Dans les deux livres, l’Arabe ne sera pas le père.
                            • Dans les deux livres, Amélie et Emilie ont écrit une lettre à Dédé et à Jonas.
                            Et les ressemblances ne s’arrêtent pas qu’au texte. A la fin du récit Les amants de Padovani, il y a quatre photos, des daguerréotypes que Youcef Dris avait retrouvés chez sa mère dans une vieille caisse, dont celle de la femme au chapeau. On retrouvera la même photo sur la couverture du roman de Yasmina Khadra.

                            Nous ne nous trouvons là ni dans une espèce de « plagiat psychique » dont sont pourtant copieusement accusés certains auteurs dans les colonnes du Nouvel Obs, ni dans une affaire de « singerie » ou encore de « parasitage », dénoncées par ailleurs dans ce même journal. Avec Yasmina Khadra, on est carrément dans la farce. Rappelons que le livre de Youcef Dris n’a jamais été vendu en France et qu’il est très difficile à trouver aujourd’hui même en Algérie.

                            Dans le récit de Youcef Dris, « Les amants de Padovani », l’histoire vraie est inspirée de faits réels. Il s’agit du cousin de l’auteur lui-même, Dahmane, et d’Amélie Lemoigne.

                            Pourquoi tous ces drames et faits divers que Yasmina Khadra a raconté dans ses autres livres seraient-ils inspirés de faits réels, et pas l’histoire qu’il raconte dans Ce que le jour doit à la nuit ?

                            Quant aux dissemblances, j’en ai relevé une, la plus choquante, elle réside dans la personnalité même des deux héros : dans le livre de Youcef Dris, l’Arabe, bien qu’il change d’identité, est débrouillard, courageux et téméraire, et surtout prêt à affronter le père d’Amélie pour vivre son amour. Un vrai Algérien avec une tête d’arabe comme je les aime. Dans le livre de Khadra, l’Arabe est aussi un faux Arabe, passant de Younes à Jonas, mais blond, des yeux bleus, poli, non violent, cultivé (tellement cultivé d’ailleurs qu’il deviendra pharmacien sans faire d’études, par la grâce de dieu), et surtout effacé, lâche, qui n’ose rien, qui a peur d’aimer, qui laisse tomber Emilie en ne s’autorisant pas à accepter ses avances, bien qu’il soit fou d’elle du début jusqu’à la fin. Tout le contraire d’un Algérien !

                            Pour répondre à ces accusations de plagiat, Yasmina Khadra est intervenu sur le blog de l’écrivain Alain Belle. Hélas, pour affirmer une chose et comme d’habitude aussitôt son contraire : « Les similitudes dont il est question sont parfaitement récurrentes dans l’ensemble de ces histoires d’amour », suivie par « Mon roman n’a rien à voir avec ces histoires d’amour. » Alors que son éditeur et la presse y ont vu d’abord une histoire d’amour. Il y a quelques jours encore Frantz-Olivier Giesbert l’a d’ailleurs rappelé à l’écran, devant l’auteur, qui n’a pas moufté. Avec Yasmina Khadra, on ne peut s’empêcher de penser à la formule de Tomasi di Lampédusa : «Pour que rien ne change, il faut que tout change. »

                            Dernière modification par Laziza9, 30 janvier 2010, 17h50.

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                            • #29
                              En tout cas, en regardant la vidéo je me rends compte que la modestie c'est pas trop son truc.

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                              • #30
                                C'est l'Attentat qui l'a rendu fameux et riche parce qu'il fait le bonheur des sionostes; pourquoi pensez-vous que Hollywood voudrait adapter ce roman?
                                Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                                J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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