Le célèbre écrivain arabophone et ancien directeur de la Bibliothèque nationale, Amine Zaoui, a déjà arrêté sa position concernant la transcription de tamazight. Pour lui, cela ne peut se faire qu’en caractères latins.
Amine Zaoui n’y va pas par trente six chemins pour affirmer que la graphie latine est celle qui convient le mieux à tamazight. Pour lui, c’est la seule capable de propulser cette langue dans la modernité et le progrès.
L’ancien directeur de la Bibliothèque nationale a affirmé, dans un entretien accordé au quotidien El Hiwar, que « la langue arabe est encore faible et que peu de chercheurs en Tamazight sont arabophones. »
Il a également tenu à lever la confusion, entretenue à dessein par les cercles islamo-baâthistes, entre l’alphabet latin et la langue française. « L’alphabet latin c’est aussi l’anglais, l’allemand », a-t-il précisé, tout en appelant de ses voeux une large concertation avec les spécialistes et linguistes amazighophones.
R.I.
Algeriemonde
Amine Zaoui n’y va pas par trente six chemins pour affirmer que la graphie latine est celle qui convient le mieux à tamazight. Pour lui, c’est la seule capable de propulser cette langue dans la modernité et le progrès.
L’ancien directeur de la Bibliothèque nationale a affirmé, dans un entretien accordé au quotidien El Hiwar, que « la langue arabe est encore faible et que peu de chercheurs en Tamazight sont arabophones. »
Il a également tenu à lever la confusion, entretenue à dessein par les cercles islamo-baâthistes, entre l’alphabet latin et la langue française. « L’alphabet latin c’est aussi l’anglais, l’allemand », a-t-il précisé, tout en appelant de ses voeux une large concertation avec les spécialistes et linguistes amazighophones.
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