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Algérie, avant 1830, coté instruction?

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  • #16
    Envoyé par Bachi Voir le message

    49000 donc, ca fait pas 40%, On est très loin
    explique.

    autrement, le document que j'ai posté réponds à tes questions.
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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    • #17
      ce sont les chiffres que tu donnes, Bledard

      40 000 + 9000, ca fait 49000
      et ca parle de 40%

      ya quelque chose qui cloche

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      • #18
        Envoyé par Bachi Voir le message
        ce sont les chiffres que tu donnes, Bledard

        40 000 + 9000, ca fait 49000
        et ca parle de 40%

        ya quelque chose qui cloche
        ce n'est pas moi qui les donnes, c'est le chercheur

        je pense que Harrachi a répondu a ta question ci-avant
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #19
          Ok merci...
          Je n'ai pas vu le post de Harrachi.

          S'il y avait 40% de lettrés ( ca me parait beaucoup sachant qu'il y avait plus de ruraux que de citadins) en 62, il y avait autant d'alphabétisés.
          On ne peut dire que la France a analphabétisé sa colonie. Le grief qu'on peut faire en revanche, c'est qu'elle n'ait pas instruit beaucoup plus, au moins autant que la population européenne. Il y avait ségrégation. Dans les lycées et universités, très peu étaient des musulmans.

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          • #20
            Au fait, même les ruraux savaient lire et écrire lorsqu'il y avait une mosquée ou une zaouia.

            ce qu'on peut en tirer du document, c'est qu'au moment de la colonisation le niveau d'instruction en France et en Algérie était similaire. A la différence prés que la France avait commencé à moderniser son enseignement alors qu'en algérie il restait encore basique et était assuré par les religieux.

            La France a empêché cet enseignement de se développer/se moderniser par méfiance car c'était la colonisation, et n'a pas forcément embraqué les algériens dans l'enseignement laaquec. le document explique très bien cela.
            « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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            • #21
              Il faut aussi dire les algériens, lorsqu'il y avait de rares opportunités de se faire enrôler dans l'enseignement français ou qu'on essayait de les y convier, se montraient très méfiants car ils avaient peur pour l'identité et la foi de leurs enfants ... et ce n'était pas sans raison lol
              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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              • #22

                tabbat yadā abī Lahabin wa tabb ...

                Le mot "Ab" faisant partie de ce qui est appelé les "cinq pronoms" (al-asmā' al-khamsa) et se situant dans la phrase à la fonction d'additif (mudhāf ilayh), la règle veux pour ce cas de figure qu'il se decline systématiquement sur le mode du madjrūr et se prononce donc abī -

                Harrachi,

                C'est plutot à toi d'éclairer notre lanterne avec les triturations que tu fais subir aux versets soit disant immuables...

                Comme généralement tous les"par-cœuristes" du coran (qui lisent sans comprendre le sens de ce qu'ils psalmodies).

                Quel est donc l'apport relatif à l'alphabétisation à une instruction, le fait que l'épouse à Abou L'Hab "Oum-m'araat Ouhou Hmalatt el Hatabi" la femme à Abou L'Hab transporte des fagots, de bois ? ...
                Dernière modification par infinite1, 20 avril 2021, 19h33.

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