Les témoignages médievaux qui évoquent Béjaïa sont nombreux : les notations d’al-Idrîsî (12e s.), les vers du voyageur et poète toscan Fazio Uberti, le mathématicien Leonardo Pisano, qui y étudie, et exprime avec chaleur sa gratitude à l’égard de ses maîtres ; Ibn Khaldûn, enfin, qui y sera chambellan (hâjib) et y enseignera sous les Hafçides, en 1365-1366 ; sans oublier, 160 ans plus tard, l’andalou Léon l’Africain, qui en parlera avec émerveillement dans sa Descrizione dell’Africa.
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