Le marché algérien représente trois fois le Maroc et deux fois l’Égypte

[absent]

Avec près de 113 527 véhicules immatriculés en 2006, le parc automobile algérien comptait, au 31 Décembre 2006, 3 402 294 véhicules, avec la répartition suivante :



2 042 824 véhicules de tourisme
687 391 camionnettes
536 680 véhicules industriels (camions, remorques, autocars, véhicules spéciaux...)
125 892 tracteurs agricoles
9 507 motos

[absent]

Sans compter les vehicules reformes pour cause d'accidents.

En Algérie, un demi-million de véhicules ont été retirés de la circulation routière depuis l’entrée en vigueur du dispositif du contrôle technique automobile en 2003.

27/12/2008




Toutefois, Le DG de l’ENACTA, qui a révélé ces chiffres, avoue l’existence de dérapages commis par certaines agences. Invité de la rédaction de la Chaîne III, ce jeudi, Abdellah Leghrib, directeur général de l’Entreprise nationale du contrôle technique automobile (ENACTA), a donné beaucoup de chiffres révélateurs. Entre autres, l’on citera la multiplication des agences privées chargées du contrôle technique des véhicules, aujourd’hui au total de 210, couvrant plus ou moins convenablement les 48 wilayas du territoire national. L’autre chiffre donné par l’orateur a été le volume global de plus de 7 millions d’actes de contrôle effectué depuis 2003, dont 1,5 million pour la seule année 2008. Chiffres qui sont au-dessus de ceux du parc national cumulant 5 millions de véhicules, toujours selon la même source. Une différence notable, donc, puisque les actes de contrôles sont supérieurs au nombre de véhicules existants.

Faut-il, pour cela, déduire que le dispositif de contrôle est plus qu’efficace et que ses mailles sont de plus en plus étroites ? Ou faut-il, au contraire, voir en cette différence la possibilité d’un manque de contrôle de l’activité de certaines agences qui, en conséquences de certaines pratiques, pourrait faire gonfler, sans réelle contrepartie, leur véritable volume de travail ? La journaliste de chaîne III n’a alors pas hésité à dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas, en évoquant le terme de « complaisance », mot que le DG de l’ENACTA a réfuté, préférant, lui, parler de dérapages consistant dans « le non respect du cahier des charges ». Sans donner de chiffres sur les cas de dérapage ni les suites qui leur sont données, le responsable s’est, tout juste, limité à rappeler que de nombreux contrôles sont effectués par son entreprise sur la qualité des équipements « modernes » dont ces agences disposent.

A la question de savoir pourquoi, malgré toutes les obligations légales et un code de la route de plus en plus strict, de nombreux véhicules, semblables à des épaves, dangereux et émettant des gaz nocifs, continuent d’écumer nos routes, l’invité de la radio a précisé qu’il ne fallait pas oublier que le contrôle technique est le résultat d’une expertise donnée à un moment donné et que le premier responsable de l’état du véhicule reste son propriétaire, alors que le problème du respect de la loi demeurait celui des services de sécurité compétents.

« Il y a une réflexion en cours pour réduire sur nos routes le nombre de véhicules en mauvais état, a-t-il révélé, mais nous devons concilier entre la sécurité des routes et les droits des individus, car on ne peut aller contre la loi et prendre le bien d’autrui sans fondement légal. » Le responsable a donné le chiffre de 500.000 véhicules qui ont été neutralisés en conséquence d’actes de contrôle technique ou lors de contrôles routiers ayant démontré le défaut de ce type de contrôle depuis 2003. Soit l’équivalent de 3 ans d’importation.

On signalera, enfin, qu’il ne reste que quelques jours pour les véhicules immatriculés en 2006 pour passer au contrôle, avec un délai qui s’achèvera ce 31 décembre.

Amine B. — La Voix de L’Oranie

Comme quoi, il va faloir exiger le certificat d'etudes primaires et un minimum d'honnetete intellectuelle si on veut avancer.:22:

Zid !!!
Wach kayen thanit !?

[chicha51]

Le marché algérien représente trois fois le Maroc et deux fois l’Égypte

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Bientôt le cinquantième intervenant et nous ne savons toujours pas comment un pays dépendant à 85% des hydrocarbures peut surpasser ses voisins ,soulignons le ,dépourvus de ce don divin

[auscasa]

merci black pour cette analyse interessante, il y a une explication.

je crois que l'etat algerien achete beacoup de vehucule surtous ces dernieres annes, "la police, l'arme, les voitures de service......"

[Black]

Bidonnage des chiffres

merci black pour cette analyse interessante, il y a une explication.

je crois que l'etat algerien achete beacoup de vehucule surtous ces dernieres annes, "la police, l'arme, les voitures de service......"

Salut auscasa en matiére de chiffre automobile en Algérie tu trouves tout et n'importe quoi. J'ai aussi pensé à cet option mais les écarts sont trop grands voit bien que les chiffres sont bidonnés.

[Be good]

Merci Geass d'essayer de trouver une explication à ma question contrairement à l'autre benêt.
Bennis donc vient nous parler de quelques subventions , de différences de 3000$, pourtant l'article de ce thread traite de BMW. Celui qui a les moyens de s'en payer une n'est pas à 3000 ou 5000$ près !

Sache aussi qu'en Algérie, les BMW sont plus chers qu'en occident !

Et chicha qui se la ramène toujours avec les généraux et les hydrocarbures. Ca se soigne !

[sinan]

beegood

il oublie aussi de relativisé cette somme par rapport au niveau de revenus des deux pays