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Le Groupe Eriad Sétif en crise

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  • Le Groupe Eriad Sétif en crise

    Azul Fellawen

    Le courant ne passe plus désormais entre le président directeur général du groupe et certains directeurs généraux des filiales ayant été « destitués » de la présidence du Conseil d’administration (CA), pour, nous dit-on, « mauvais résultats ». Le partenaire social qui exige pour sa part, dans sa plate-forme de revendications, le départ du PDG du groupe, s’est mis de la partie. Le bras de fer prend ainsi des proportions sérieuses, dépassant désormais le cadre de cette entreprise cotée en bourse.

    Pour diverses raisons, la SGP (ex-holding) CEGRO, un huissier et l’appareil judiciaire ont été sollicités par les parties en conflit. Le déficit de 1,6 milliard de dinars et le non recouvrement des 3 milliards de dinars de créances, l’absence d’une stratégie commerciale et l’abandon du projet de la comptabilité analytique sont les principaux griefs brandis par la coordination syndicale. Il s’agit d’une part de l’inscription sans étude sérieuse des besoins du marché, d’une nouvelle unité de pâtes à Sidi Aïch, l’annulation de délibérations des conseils d’administration des filiales.

    D’autre part, l’immixtion dans le travail de la commission des marchés (achat du blé). Le silence radio vis-à-vis du manque de la matière première (blé) ayant entraîné un arrêt de travail de trois mois à certains moulins, ceux d’El Kentra (Les Zibans) notamment, sont les autres reproches faits au premier responsable du groupe qui réfute. Contacté, M. Baba Aïssa, le PDG, renvoie l’ascenseur aux dirigeants des filiales : « En quoi suis-je responsable dans ces histoires de créances impayées ? En vendant à terme, ces gestionnaires n’ont pas demandé l’avis de la direction générale », nous confie notre interlocuteur qui enchaîne : « Les filiales ont le droit d’acheter directement du blé. Elles ne l’ont pas fait parce qu’elles ne savent pas le faire. »

    Pour étayer ses propos, le numéro un d’ERIAD Sétif revient sur les 50 000 tonnes que devaient acquérir les moulins des Hauts-Plateaux (Sétif), Zibans (Biskra) et Soummam (Sidi Aïch), auprès d’un fournisseur privé : « L’implication de la direction générale, et en dernière minute, s’est soldée par un gain de 3,2 milliards. La non concrétisation de la comptabilité analytique, pour laquelle un argent fou a été dépensé, incombe, dit-il, à ces gestionnaires qui ont tout fait pour que cet ambitieux projet tombe à l’eau. » « La réalisation d’une unité de pâtes alimentaires de 1000 qx/jour à Sidi Aïch sera maintenue. Sa rentabilité a été démontrée par une étude des plus fiables. La concrétisation de ce projet et la rénovation des équipements du complexe Lahmar Cherif de Sétif rentre dans le cadre d’un partenariat chapeauté par l’Etat. » La situation financière du groupe aux 5000 actionnaires, qui a enregistré, pour rappel en 1998, 1,6 milliard DA de bénéfices et plus de 2,3 milliards DA une année après et autant en 2000, n’est pas bonne. Au 31 décembre 2002, le déficit a atteint, nous dit-on, 2,74 milliards DA.
    La suite Eriad Sétif dans le pétrin

    A noter qu'Eriad Sétif a été la première entreprise Algérienne a être coté en bourse et que si la situation s'agrave ce seront encore des actionnaires de lesés sans compter les 2000 personnes employés et là ce serait catastrophique. Quand je vois les Moulins des Hauts Plateaux , Les Moulins de la Soumman, l'emploi est déja si rare.

    Le holding enfin SGP Gecro détenait 80% et les actionnaires et personnes morales et physiques 20%.

  • #2
    Salut Morjane
    a lire ton article je suis conforté dans l'idée que le salue de l'Algérie ne peut venir que de la comptabilité et surtout de la vérification comptable rigoureuse; je pense que beaucoup de gestionnaires de filiales de l'ERIAD et d’autres Cie nationales n’aime pas les traces, mais pour une société cotée en bourse c une aberration de ne pas avoir une politique de coûts de reviens, le privé aussi a le même problème souviens toi de KHALIFA la première bank privée en Algérie qui n’a pas fait de Bilan depuis sa création, une période de 5 ans sans Bilan, c de la science fiction économique!!!! Une banque détentrice de dépôts doit obligatoirement faire un bilan chaque année vérifié et certifié par un expert comptable pour une lisibilité des finances, la banque d’Algérie doit l’exiger de toutes les banques. :?

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    • #3
      le numéro un d’ERIAD Sétif revient sur les 50 000 tonnes que devaient acquérir les moulins des Hauts-Plateaux (Sétif), Zibans (Biskra) et Soummam (Sidi Aïch), auprès d’un fournisseur privé :
      Drole de pays ou un homme peut avoir 50000 tonnes de blé alors que le 1er groupe de l'industrie céréaliére ne peut faire de meme.
      “If you think education is expensive, try ignorance”
      Derek Bok

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      • #4
        dégradation de groupe eriad setif

        le groupe eriad setif est en crise car les responsables sont incompetants,seul les victimes de cette situation.
        Bonjour tout le monde,
        Je suis la pour echanger des idées avec dess internautes en point de vue economique,social et culture.

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        • #5
          C'est le genre d'affaires où j'attends une intervention ministérielle, pour remettre de l'ordre dans tout ça.

          Mais je pense que certains ministres pratique le non-interventionsme et qui laisse la situation pourir et qui vont bientôt nous annoncer la privatisation comme une formule miracle. On va brader les moulins et accroître la facture alimentaire. On dira merci aux étranger d'avoir sû profiter de notre braderie nationale.

          A qui le tour?

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          • #6
            eriad setif en degradation

            Informations Financières
            Exercice : 2001 2002 2003
            Chiffre d'affaires : 13.390.790.363 8.181.748.655 6.443.996.999
            Valeur ajoutée : 2.051.408.930 1.381.459.386 327.285.219
            Cash Flow : 1.146.782.644 951.658.589 -823.923.239
            Résultat net de l'exercice : 178.193.899 - 812.872.738 -1.394.556.002
            Dividende par action : 138 DA 115 * 80,5
            Rendement Dividende / Action : 12,23 % ** 11.76% *** 8,05% ***
            Bénéfice Net par Action : 217 DA - -
            PER (Cours/ Bénéfice) : 5 ** - -
            Bonjour tout le monde,
            Je suis la pour echanger des idées avec dess internautes en point de vue economique,social et culture.

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            • #7
              Envoyé par zek
              Les élus ont abrogé l’article 59 du projet de loi de finances autorisant les personnes de nationalité étrangère d’exercer la profession d’expert comptable ou de commissaire aux comptes en Algérie.
              http://www.algerie-dz.com/article1251.html
              Bonjour, si l’APN avait accepté cet article de loi de Benhachenhou les choses auraient été bien plus faciles, la concurrence dans ce secteur aurait fait bouger les choses dans le sens positif, nettoyé le secteur de l'expertise comptable, créer de l’emploi et de la compétence afin de favoriser la confiance des banques, des actionnaires et des entreprises

              Ces boîtes d’audit et d’expert comptable accompagnent les entreprises dans leur développement et leurs croissances, c’est ce qui manque en Algérie, à qui la faute mais là on connaît les responsables.
              Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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              • #8
                oui c est sur la gestion de nos entreprises est catastrophique... il faut ouvrir leurs capitaux a des etrangers, et ameliorer leurs gestion

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                • #9
                  je suis victime d'eriad setif

                  Eriad-Sétif
                  La « nationalisation » puis la « cession »

                  La première entreprise algérienne cotée en bourse, fait, sept ans après marche arrière. Pour pouvoir " vendre " ce groupe, l’actionnaire majoritaire à hauteur de 80%, et, par le biais du conseil des participations de l’Etat, (CPE) décide de racheter le million d’actions, mis sur le marché en 1998.

                  ERIAD- Sétif, ce géant de l’agroalimentaire ayant dans un passé récent engrangé des centaines de milliards de bénéfices, s’est pour divers motifs, retrouvé sous le coup des dispositions de l’article 715 bis 20 (ne stipulant ni plus ni moins que la dissolution anticipée).Pour rappel, ERIAD- Sétif, créée en janvier 1983, suite à la restructuration de la société mère la SN- Sempac, a, à titre d’illustration, réalisé en 1998, un bénéficié net de 1,615 milliards de dinars. L’année suivante, le gain avait dépassé les deux milliards de dinars. Ces résultats ont boosté, la valeur ajoutée qui a atteint les 27% ainsi que le ratio frais du personnel sur valeur ajoutée, est passé, de 22,16% à 18%. L’instabilité des managers et l’ouverture d’un secteur, désormais pléthorique en matière de minoterie et semoulerie, produisant actuellement plus deux fois, la demande nationale, ont porté un sacré coup à une entreprise, n’ayant pour différentes autres raisons pas pu, maintenir le cap et sauvegarder une image de marque façonnée par des agents qualifiés et des managers de premier plan. Le retour dans le giron des entreprises publiques détenues à 100% par l’Etat, est, bel et bien, déclenché. La dernière assemblée générale extraordinaire des actionnaires, tenue, le mercredi 26 avril 2006, au siège de l’entreprise, en présence de Mr Ramdane Sokhal, président du SGP (société de Gestion des participations Céréales), CEGRO, a le moins qu’on puisse dire, entériné le processus, de l’offre publique de retrait, et ce, conformément au règlement général de la bourse. Le rachat des actions à un prix fixe, (1500 DA, plus les 793,50 DA de dividendes perçues) se répercutera inévitablement sur le capital social de la société. Une fois le million d’actions annulé, le capital de la société qui est actuellement, de l’ordre de 5.000.000.000 DA, descendra à 4.000.000.000 DA, l’entreprise perdra donc 1.000.000.000,00 DA. Les fonds propres de la société mère devant prendre en charge l’opération (financièrement s’entend) diminueraient quant à eux de 1.500.000.000 DA, (coût du rachat) : " Les faibles liquidités du titre ERIAD- Sétif et des niveaux de résultats, en nette décroissance, et qui ont atteint un seuil alarmant puisque toutes les filiales la société mère et comptes consolidés affichent des pertes considérables, le conseil d’administration de l’entreprise, réuni le 25 mars 2006, a jugé opportun de convoquer l’assemblée générale extraordinaire des actionnaires pour soumettre à son approbation une offre publique de retrait conformément aux dispositifs de la section 5 (articles 69 à 75) du règlement de la COSOB..." souligne M. Fodil, DG du groupe qui a tenu à rendre hommage aux actionnaires "qui ont dit-il, compris et accepté avec fair-play, la démarche de l’Entreprise ne pouvant dans pareilles circonstances, appliquer la politique de la fuite en avant ". Considérant la privatisation comme une bonne opportunité pour son groupe transformant quotidiennement 32.200 q/j de blé dur et 11.800 q/j de blé tendre notre interlocuteur enchaîne : " La privatisation du groupe ne pouvant faire face à une concurrence le plus souvent déloyale est un processus incontournable et inévitable à la fois. Cette démarche qui n’implique ni le bradage ni la compression des postes de travail est salutaire pour la branche ayant plus que jamais besoin d’approche et de vision nouvelles. Cela dit, les acquis et droits des travailleurs qui vont en sus bénéficier de 10% du prix de la cession, sont garantis par les textes ". Précise ce gestionnaires ayant pris les commandes au début de l’année en cours estimant en outre que l’offre publique de rachat des actions a poussé de nombreux repreneurs nationaux et étrangers, à postuler pour différents sites de production : " Après les moulins Oasis, cédés à un opérateur économique de la région, de nombreux moulins sont convoités par d’autres industriels, spécialistes en la matière. Les pouvoirs publics mettent par le biais du CPE et de la SGP qui ne ménagent aucun effort, les bouchées doubles pour traiter et dans les meilleurs délais les différents dossiers... ", précise, le numéro un d’ERIAD- Sétif qui tourne définitivement la page d’une ouverture du capital qui a finalement tourné, court...
                  c'est trés grave pour le actionnaires?????????????????????
                  Bonjour tout le monde,
                  Je suis la pour echanger des idées avec dess internautes en point de vue economique,social et culture.

                  Commentaire


                  • #10
                    CPE arnaque les actionnaires d'eriad setif

                    La première entreprise algérienne cotée en bourse, fait, sept ans après marche arrière. Pour pouvoir " vendre " ce groupe, l’actionnaire majoritaire à hauteur de 80%, et, par le biais du conseil des participations de l’Etat, (CPE) décide de racheter le million d’actions, mis sur le marché

                    Aprés 8 ans??????
                    ERIAD- Sétif, ce géant de l’agroalimentaire ayant dans un passé récent engrangé des centaines de milliards de bénéfices, s’est pour divers motifs, retrouvé sous le coup des dispositions de l’article 715 bis 20 (ne stipulant ni plus ni moins que la dissolution anticipée).Pour rappel, ERIAD- Sétif, créée en janvier 1983, suite à la restructuration de la société mère la SN- Sempac, a, à titre d’illustration, réalisé en 1998, un bénéficié net de 1,615 milliards de dinars. L’année suivante, le gain avait dépassé les deux milliards de dinars. Ces résultats ont boosté, la valeur ajoutée qui a atteint les 27% ainsi que le ratio frais du personnel sur valeur ajoutée, est passé, de 22,16% à 18%. L’instabilité des managers et l’ouverture d’un secteur, désormais pléthorique en matière de minoterie et semoulerie, produisant actuellement plus deux fois, la demande nationale, ont porté un sacré coup à une entreprise, n’ayant pour différentes autres raisons pas pu, maintenir le cap et sauvegarder une image de marque façonnée par des agents qualifiés et des managers de premier plan. Le retour dans le giron des entreprises publiques détenues à 100% par l’Etat, est, bel et bien, déclenché. La dernière assemblée générale extraordinaire des actionnaires, tenue, le mercredi 26 avril 2006, au siège de l’entreprise, en présence de Mr Ramdane Sokhal, président du SGP (société de Gestion des participations Céréales), CEGRO, a le moins qu’on puisse dire, entériné le processus, de l’offre publique de retrait, et ce, conformément au règlement général de la bourse. Le rachat des actions à un prix fixe, (1500 DA, plus les 793,50 DA de dividendes perçues) se répercutera inévitablement sur le capital social de la société. Une fois le million d’actions annulé, le capital de la société qui est actuellement, de l’ordre de 5.000.000.000 DA, descendra à 4.000.000.000 DA, l’entreprise perdra donc 1.000.000.000,00 DA. Les fonds propres de la société mère devant prendre en charge l’opération (financièrement s’entend) diminueraient quant à eux de 1.500.000.000 DA, (coût du rachat) : " Les faibles liquidités du titre ERIAD- Sétif et des niveaux de résultats, en nette décroissance, et qui ont atteint un seuil alarmant puisque toutes les filiales la société mère et comptes consolidés affichent des pertes considérables, le conseil d’administration de l’entreprise, réuni le 25 mars 2006, a jugé opportun de convoquer l’assemblée générale extraordinaire des actionnaires pour soumettre à son approbation une offre publique de retrait conformément aux dispositifs de la section 5 (articles 69 à 75) du règlement de la COSOB..." souligne M. Fodil, DG du groupe qui a tenu à rendre hommage aux actionnaires "qui ont dit-il, compris et accepté avec fair-play, la démarche de l’Entreprise ne pouvant dans pareilles circonstances, appliquer la politique de la fuite en avant ". Considérant la privatisation comme une bonne opportunité pour son groupe transformant quotidiennement 32.200 q/j de blé dur et 11.800 q/j de blé tendre notre interlocuteur enchaîne : " La privatisation du groupe ne pouvant faire face à une concurrence le plus souvent déloyale est un processus incontournable et inévitable à la fois. Cette démarche qui n’implique ni le bradage ni la compression des postes de travail est salutaire pour la branche ayant plus que jamais besoin d’approche et de vision nouvelles. Cela dit, les acquis et droits des travailleurs qui vont en sus bénéficier de 10% du prix de la cession, sont garantis par les textes ". Précise ce gestionnaires ayant pris les commandes au début de l’année en cours estimant en outre que l’offre publique de rachat des actions a poussé de nombreux repreneurs nationaux et étrangers, à postuler pour différents sites de production : " Après les moulins Oasis, cédés à un opérateur économique de la région, de nombreux moulins sont convoités par d’autres industriels, spécialistes en la matière. Les pouvoirs publics mettent par le biais du CPE et de la SGP qui ne ménagent aucun effort, les bouchées doubles pour traiter et dans les meilleurs délais les différents dossiers... ", précise, le numéro un d’ERIAD- Sétif qui tourne définitivement la page d’une ouverture du capital qui a finalement tourné, court...

                    c'est une escrocrei du siecle les victimes sont les actionnaires privés..........
                    Bonjour tout le monde,
                    Je suis la pour echanger des idées avec dess internautes en point de vue economique,social et culture.

                    Commentaire


                    • #11
                      tous les résponsables d'eriad setif doivent passer par la justice

                      Bonjour,
                      Je viens par cette reclammation sur un grand
                      problème se passe en algérie pour la privatisation
                      des entreprises.
                      En effet je vous informe que je suis actionnaire dans
                      une entreprise eriad setif .
                      (achat des actions par leur prix réelles 2300 d a)
                      Je suis actionnaire dans cet organisme depuis 1998
                      (85 actions).
                      maintenant les gestionnaires de CPE veulent racheter
                      nos
                      actions pour ventre le groupe, mais le prix était fixé
                      par un prix 1500 da par action qui est trés flou?????(2300da
                      da 1998 aprés 08ans 1500 d a (2006 c'est une anrnaque? ).
                      En 1998, l’action est vendue à 2300 DA ; 08 ans
                      après, l’on rachète à 1500 DA. Ne pensez-vous pas que
                      l’actionnaire a été quelque peu floué ??
                      Pour quoi les actionnaires sont des victimes d'une arnaque comme celle du khalifa banque???????
                      touts les pésbonsables qui ont gérés ce groupe doivent payer trop cher et passer par le justices.

                      Dans l'attente de prendre votre responsbilité pour le
                      rembourssement le plus tot possible nos actions à 2300
                      da veuillez accepter mes
                      Profondes Salutations.

                      Monsieur Boukerrat Salim
                      Bonjour tout le monde,
                      Je suis la pour echanger des idées avec dess internautes en point de vue economique,social et culture.

                      Commentaire


                      • #12
                        l'Economie en algerie est en danger car les gestionnaires sont icompétants

                        Sokhal Ramdane. Président de Cegro
                        « La privatisation des Eriad est inéluctable »

                        Sokhal Ramdane, président de la société de gestion des participations céréales, évoque dans cet entretien le rachat des actions d’Eriad Sétif ainsi que le processus de privatisation.


                        Le remboursement des ayants droit des actionnaires décédés ne constitue-t-il pas un frein au rachat du million de titres ?

                        Tous les aspects juridiques sont pris en charge par des intervenants, spécialistes en la matière. Eriad Sétif, qui sera aidée par la SGP, la Cosob, des consultants juridiques et la BADR en charge du remboursement, bouclera l’opération à la fin mai, comme décidé par le CPE.

                        Au plan du droit, que préconisez-vous pour les actionnaires qui n’adhérent pas à une telle démarche ?

                        La résolution a été arrêtée à la majorité. La minorité ne peut donc bloquer cet inévitable processus. L’Etat par le biais du Conseil des participations de l’Etat (CPE) veut par une telle démarche conforter la crédibilité de l’entreprise. Et c’est dans l’intérêt des petits porteurs que l’Etat a autorisé le rachat des actions à un prix négocié.

                        L’opération, qui a un coût financier, se fera-t-elle sans incidence sur les équilibres de la trésorerie de l’entreprise ?

                        Eriad Sétif a par le biais de ses dépôts à terme (DAT) les moyens de sa politique financière, consistant à rembourser les petits porteurs et les institutions financières dans les mêmes conditions. Que les partenaires de l’entreprise se rassurent de ce côté-là. L’Etat tiendra comme à l’accoutumée ses engagements.

                        En 1998, l’action est vendue à 2300 DA ; sept ans après, l’on rachète à 1500 DA. Ne pensez-vous pas que l’actionnaire a été quelque peu floué ?

                        C’est possible du point de vue légitimité. Du point vue économique, la réponse est tout autre. On doit savoir que huit filiales sur les dix que compte Eriad Sétif présentent un actif net négatif, sont donc au bord de la faillite. Se trouvant par la même sous les dispositions de l’article 715 bis 20 du code de commerce. Laissez-moi vous dire que le plus lésé dans l’affaire c’est l’Etat.

                        Avec le retrait d’Eriad Sétif, peut-on encore parler ou rêver de marché de capitaux et de Bourse en Algérie ?

                        La Bourse en Algérie n’a jamais existé. Il ne s’agissait ni plus ni moins que d’une cotation administrative. On a ces derniers temps constaté une baisse des transactions boursières sur les titres d’Eriad Sétif. Cette faiblesse résulte des mauvais résultats obtenus par les filiales. C’est cette situation qui est à l’origine du gel de la cotation du titre.

                        La privation du secteur de la transformation des céréales est donc inéluctable ?

                        Le bilan de la SGP est globalement positif. Sur les 54 moulins en activité, 15 ont été cédés. Six filiales du groupe Eriad Sétif sont d’ores et déjà convoitées par des repreneurs nationaux. Les leuveries de Oued Smar (Alger) et Bouchegouf, à l’arrêt depuis des années, ont été vendues à Lesaffre, implanté dans 135 pays. La privatisation de la filière est inévitable et bénéfique à la fois. Pour preuve, la firme française Lesaffre, qui vient de reprendre les travailleurs ayant bénéficié du volet social, compte former son personnel devant fabriquer localement un produit pour lequel l’Etat débourse annuellement 80 millions d’euros. La biscuiterie de Cherchell est l’autre exemple de la privatisation réussie. La filiale de Corso sera cédée à un Tunisien connu dans le monde de l’agroalimentaire. La privatisation ne pouvait se mettre sur rails que grâce aux efforts du CPE mettant les bouchées doubles pour traiter rapidement et efficacement les différents dossiers.


                        c'est un discour qui vient en retard, c'est les actionnairés privés qui sont victime dans cette drame.
                        Bonjour tout le monde,
                        Je suis la pour echanger des idées avec dess internautes en point de vue economique,social et culture.

                        Commentaire


                        • #13
                          Les actionnaires sont victime des lois floues

                          المردود السيئ لبورصة الجزائر سببه إستراتيجية الخوصصة المعتمدة
                          انتقد المدير العام لبورصة الجزائر مخلوف رهني ,أمس الثلاثاء , إستراتيجية خوصصة المؤسسات العمومية المعتمد من قبل السلطات المكلفة بالملف و اعتبر أن هده الأخيرة كانت السبب في عدم تحقيق بورصة الجزائر للأهداف المنتظرة منها , فالسلطات في البداية أسست هده البورصة لتكون الوسيلة لخوصصة المؤسسات العمومية ذات الصحة الاقتصادية الجيدة لكن السلطات فيما بعد تراجعت عن هده الإستراتيجية و تسببت في تأخر هده الهيئة المالية عن تحقيق أهدافها . وكالات 24/05/2006
                          Bonjour tout le monde,
                          Je suis la pour echanger des idées avec dess internautes en point de vue economique,social et culture.

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                          • #14
                            les gestionnaire d'ariad setif sont des voleurs

                            Le groupe ERIAD Sétif dans le pétrin

                            Le groupe ERIAD Sétif, qui était dans un passé récent un des fleurons de l’industrie agroalimentaire du pays, est actuellement en proie à de nombreux et graves problèmes.
                            courant ne passe plus désormais entre le président directeur général du groupe et certains directeurs généraux des filiales ayant été « destitués » de la présidence du Conseil d’administration (CA), pour, nous dit-on, « mauvais résultats ». Le partenaire social qui exige pour sa part, dans sa plate-forme de revendications, le départ du PDG du groupe, s’est mis de la partie. Le bras de fer prend ainsi des proportions sérieuses, dépassant désormais le cadre de cette entreprise cotée en bourse.

                            Pour diverses raisons, la SGP (ex-holding) CEGRO, un huissier et l’appareil judiciaire ont été sollicités par les parties en conflit. Le déficit de 1,6 milliard de dinars et le non recouvrement des 3 milliards de dinars de créances, l’absence d’une stratégie commerciale et l’abandon du projet de la comptabilité analytique sont les principaux griefs brandis par la coordination syndicale. Il s’agit d’une part de l’inscription sans étude sérieuse des besoins du marché, d’une nouvelle unité de pâtes à Sidi Aïch, l’annulation de délibérations des conseils d’administration des filiales.

                            D’autre part, l’immixtion dans le travail de la commission des marchés (achat du blé). Le silence radio vis-à-vis du manque de la matière première (blé) ayant entraîné un arrêt de travail de trois mois à certains moulins, ceux d’El Kentra (Les Zibans) notamment, sont les autres reproches faits au premier responsable du groupe qui réfute. Contacté, M. Baba Aïssa, le PDG, renvoie l’ascenseur aux dirigeants des filiales : « En quoi suis-je responsable dans ces histoires de créances impayées ? En vendant à terme, ces gestionnaires n’ont pas demandé l’avis de la direction générale », nous confie notre interlocuteur qui enchaîne : « Les filiales ont le droit d’acheter directement du blé. Elles ne l’ont pas fait parce qu’elles ne savent pas le faire. »

                            Pour étayer ses propos, le numéro un d’ERIAD Sétif revient sur les 50 000 tonnes que devaient acquérir les moulins des Hauts-Plateaux (Sétif), Zibans (Biskra) et Soummam (Sidi Aïch), auprès d’un fournisseur privé : « L’implication de la direction générale, et en dernière minute, s’est soldée par un gain de 3,2 milliards. La non concrétisation de la comptabilité analytique, pour laquelle un argent fou a été dépensé, incombe, dit-il, à ces gestionnaires qui ont tout fait pour que cet ambitieux projet tombe à l’eau. » « La réalisation d’une unité de pâtes alimentaires de 1000 qx/jour à Sidi Aïch sera maintenue. Sa rentabilité a été démontrée par une étude des plus fiables. La concrétisation de ce projet et la rénovation des équipements du complexe Lahmar Cherif de Sétif rentre dans le cadre d’un partenariat chapeauté par l’Etat. » La situation financière du groupe aux 5000 actionnaires, qui a enregistré, pour rappel en 1998, 1,6 milliard DA de bénéfices et plus de 2,3 milliards DA une année après et autant en 2000, n’est pas bonne. Au 31 décembre 2002, le déficit a atteint, nous dit-on, 2,74 milliards DA.

                            Pour certains moulins, les clignotants sont au rouge. Ceux de Sidi Aïssa et Touggourt, dont l’actif net est inférieur au quart du capital social, sont passibles de l’article 715 bis 20 du code de commerce qui stipule : « Si du fait des pertes constatées dans les documents comptables, l’actif net de la société devient inférieur au quart du capital social, le conseil d’administration ou le directeur, selon le cas, est tenu dans les quatre (04) mois qui suivent l’approbation des comptes ayant fait apparaître cette perte de convoquer l’assemblée générale extraordinaire à l’effet de décider, s’il y a lieu, la dissolution anticipée de la société. Si la dissolution n’est pas prononcée, la société est tenue, au plus tard à la clôture du deuxième exercice, celui au cours duquel la constatation des pertes est intervenue, et sous réserve des dispositions de l’article 594 ci-dessus, de réduire son capital d’un montant au moins égal à celui des pertes qui n’ont pu être amputées sur les réserves, si dans ce délai, l’actif net n’a pas été reconstitué à concurrence d’une valeur au moins égal au quart du capital.

                            Dans les deux cas la résolution adoptée par l’assemblée générale est publiée selon les modalités prévues par voie réglementaire. A défaut de réunion de l’assemblée générale, comme dans le cas où cette assemblée n’a pu délibérer valablement sur dernière convocation, tout intéressé peut demander en justice la dissolution de la société. »

                            Cette situation risque, si elle perdurait, de mettre non seulement en péril l’outil de travail de 2000 personnes, mais aussi les économies de toute une vie de milliers d’actionnaires nargués par les parties en conflit...

                            Par Kamel Beniaiche, El Watan
                            Bonjour tout le monde,
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                            • #15
                              les gestionnaires d'eriad setif sont corompus

                              مجمّع الرياض بسطيف
                              21 مليار سنتيم في مهب الريح

                              الاربعاء 31 أيار (مايو) 2006. المصدر الخبر

                              أثبت التحقيق الأمني أن الرئيس المدير العام السابق المدعو (ب ·ع) رفقة ثلاثة مدراء عامين تداولوا على تسيير فرعي البيبان والزيبان بكل من ولاتي البرج وبسكرة، متهمون بتبديد أموال بقيمة 21 مليار و277 مليون سنتيم، حيث قام المدير العام لفرع البيبان بمنح أربعة تجار خواص من المتعاملين مع المجمّع سلعا بقيمة ستة ملايير سنتيم، مع علمه بأنهم مدانون من قبل ’’الرياض’’ بمبلغ يصل إلى تسعة ملايير سنتيم، أما المدير العام لفرع الزيبان فقد قام بدوره برفع الحجز عن قطعة أرضية ملك لأحد التجار المدانين بمبلغ يصل إلى خمسة ملايير و200 مليون سنتيم، الذي تمت متابعته قضائيا وصدر في حقه قرار من العدالة بالحجز على قطعة الأرض التي يملكها، غير أن ذات المسؤول أوقف التنفيذ، ووضع مقابل ذلك رزنامة تمكن التاجر المدان، من تسديد ديونه تجاه الفرع على أساس 25 مليون سنتيم للشهر الواحد وعلى مدى 17 سنة· ووصلت التحقيقات الأمنية إلى تأكد تورط الرئيس المدير العام السابق المدعو (ب·ع) بتبديد أموال فاقت قيمتها 165 مليون سنتيم، تمثلت في الإقامة بفندق الأوراسي بالجزائر، من دون أمر بمهمة، وتكاليف الإطعام بسطيف دون مبرر، كما أمر نفس المسؤول بإقالة شقيقه الذي كان يشغل منصب مدير عام مساعد بفرع البيبان، دون سبب وتعويضه بمبلغ 44 مليون سنتيم على حساب ما حمله عقد التوظيف، ووظف الرئيس المدير العام حارسا خاصا على منزله بسكيكدة وعلى حساب مجمع الرياض· ويتهم التحقيق الأمني الرئيس المدير العام المعني باختلاس مبلغ 10 ملايين سنتيم أخذها كـ’’علاوة متغيرة’’ تمنح للمسؤول عن متابعته لأشغال المؤسسة للسداسي الأول من سنة 2004، في حين عيّن ذات المسؤول على رأس المجمع خلال نهاية شهر جويلية من نفس السنة، قبل أن يتم توقيفه من قبل رئيس الحكومة بتاريخ 4 سبتمبر 2005، ورفض بعدها تسليم المسكن وكذا السيارة التابعة للمجمع إلى حد الساعة· ونشير إلى أن الرئيس المدير العام السابق والذي قام خلال فترة رئاسته للمجمع بتعيين إطار سام في أحد الفروع بسطيف، تمت إدانته قبل أيام فقط بسنة و6 أشهر حبس نافذ بعد أن ثبت تورطه في سرقة مبلغ 50 ألف دينار من إحدى زميلاته، كما قامت الإدارة برفع دعوى قضائية ضده تتهمه بتزوير ملفه الإداري بعد أن ثبت أنه لا يملك أية شهادة جامعية·
                              ليليا
                              Bonjour tout le monde,
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