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Ouyahia sème la tempête en Algérie

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  • apparemment c'est ce qu'il imagine

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    • plz explique nous comment on ouvre un champs de petrole quand on veut comme ça .. je suis sur que tu imagine une grande vanne que deux hommes tournent et le petrole jailli
      What I mean is that their are very large new oil fields been discoverd in North Russia and Indonesia and are keept secret.
      They will be used if the oil price will increase in the comming years..

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      • What I mean is that their are very large new oil fields been discoverd in North Russia and Indonesia and are keept secret



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        • apparemment c'est ce qu'il imagine
          Lindsey Williams was many times right. In 2008 he said that the oil price will fall down to 50 dollars and everybody thought he was grazy.
          He said the same begin eighties that the oil price will fall down from 30 dollar to 5 dollar.

          The OPEC is getting to powerfull that is why they want to bankrupt it.

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          • @jamaloup
            Salut !

            Je réponds à Tolkien, j'ai le droit ?

            Bon sérieusement, n'oublie pas que les jeunes générations n'ont pas connu cette période. De plus les 3 paramètres : 1/ contrôle de la circulation des biens, 2/ contrôle des mouvements des capitaux, 3/ contrôle des changes sont primordiaux en économie. On peut ajouter aussi le contrôle de la circulation des personnes. Pointer ces paramètres ne fait pas de mal.

            C'est au centre du problème algérien : pourquoi cette transition ne se fait-elle pas ? L'URSS a été confronté à des problèmes d'une toute autre envergure (dont le démantèlement de l'empire soviétique, excusez du peu). Comme les autres pays de l'Europe de l'Est qui étaient dans un triste état, notamment la Roumanie, ravagé par l'ère Ceausescu. Là aussi, la transition est en cours. A ma connaissance, les pays de l'ex Yougoslavie remontent bien la pente.

            Donc l'Algérie a quoi de spécifique ? Qu'est ce qui la différencie de tous ces pays somme toute assez hétérogènes ?

            Les décideurs algériens sont depuis 62 engoncés dans la "politique politicienne", ce pays s'épuise d'un excès de politisation interne, de gestion des pouvoirs et sous-pouvoirs, qui a été encouragé par la présence de la rente.

            Des évolutions en zigzag, un coup vers là, un coup ailleurs. Ca s'appelle une transition ?

            Un article de El Watan (www. algeria-watch. org/fr/article/analyse/transition.htm) "L’interminable transition vers l’économie de marché" reproduit sur algéria watch, de février 2008, a propos d'un colloque en Algérie sur ce sujet de la transition comparée.

            [...]

            L’opportunité de comparer ce qui se passe dans notre pays depuis le lancement en 1988 des réformes économiques et sociales avec ce qu’ont vécu les Russes, qui ont entamé leur transition à l’économie de marché à peu près à la même période, peut effectivement aider à expliquer pourquoi les Russes, pourtant confrontés à un faisceau de problèmes autrement plus importants que les nôtres, ont beaucoup mieux avancé dans la mise en place du système de marché.

            Pour de nombreux intervenants, la tendance des gouvernants algériens à ne pas mener à terme les projets de transition qu’ils annoncent n’est pas nouvelle puisque la transition au socialisme engagée dans les années 1960 et 1970 a été abandonnée dès le début des années 1980, avant même qu’elle n’ait abouti.

            Il n’y a aucune raison pour que la transition à l’économie de marché ne subisse pas le même sort. Le professeur Abdelmadjid Bouzidi a relevé dans son intervention de troublants signes d’abandon de l’option libérale pourtant fièrement affichée en 1999 par l’équipe au pouvoir qui objectait de faire table rase des archaïsmes hérités du système socialiste pour édifier une société résolument libérale.

            Sur le terrain, constate le Pr Bouzidi, la réalité est tout autre. Le pouvoir fort des excédents de recettes pétrolières n’a jamais été aussi présent dans l’économie à laquelle il a impulsé à coups de gros budgets une dynamique keynésienne beaucoup plus forte que celle mise en œuvre durant l’époque socialiste.

            A contrario, un exemple, la Bulgarie(*), petit pays pauvre à la "chute du mur", qui a depuis les années 90 suivi une transition +- rationelle. Voici un exposé de l'état des lieux actuels :

            La transition économique et les réformes entreprises ont facilité l’assainissement de l’économie et des finances publiques, permettant au pays d’enregistrer des taux de croissance importants (6,2 % en 2007, soit l’un des taux les plus élevés d’Europe).

            Cette croissance est tirée d’une part par les investissements étrangers, qui ont en effet augmenté de façon sensible depuis 1998 (ils représentent 30% des IDE réalisés dans les Balkans, hors Grèce), encouragés notamment par la fiscalité très incitative (flat tax de 10% sur tous les revenus).

            Près de 40 % de ces IDE proviennent de privatisations. L’UE tient la première place parmi les investisseurs en Bulgarie avec une part de marché de 63,5 %.

            C’est le secteur de l’industrie de transformation qui a attiré le plus d’IDE, l’investissement représentant en tout 30% du PIB La croissance est également tirée par la baisse spectaculaire du chômage officiel (6,9 % en 2007, contre 17,8 % en 2002), qui vient alimenter la demande intérieure, malgré le poids persistant de l’économie grise, estimé à 20-35% du PIB, et un taux d’emploi (61%) toujours inférieur à celui de l’UE 27 (65%).

            Enfin, les excédents budgétaires croissants enregistrés de 2004 à 2007 (3,5% du PIB en 2007) viennent consolider la situation financière de la Bulgarie. Le FMI lui accorde ainsi un satisfecit. Cet excédent, imposé par le régime de caisse d’émission à parité fixe avec l’euro, pèse néanmoins sur les capacités de financements des infrastructures publiques,

            L’inflation demeure très élevée, malgré des mesures de restriction du crédit prises par la banque centrale : elle s’est élevée à 14,4 % en glissement annuel en juillet 2008 et à 18,4% pour les produits alimentaires. Enfin, le déficit de la balance des paiements courants (-21,5% du PIB) et la dette extérieure (94,4% du PIB), corollaires des IDE et du dynamisme de l’économie bulgare, continuent à se creuser, ce qui contribue à accroître la vulnérabilité financière du pays.

            Le gouvernement bulgare souhaite donc aujourd’hui préserver un rythme de croissance soutenu tout en assurant une bonne tenue des finances publiques, et en maîtrisant les pressions inflationnistes et le creusement du déficit courant. Si les deux premières priorités sont crédibles, les deux autres objectifs paraissent peu réalisables.
            (*) Dans l'UE depuis 2007, après le lancement de ces mesures.

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            • @Rif 1979

              Allow me to correct you. It is not you who forecast the decline of the oil price below 50 USD the barrel because you assert that the price was going to go down below 70 USD what is not very cunning because this decline was begun since August 2008. It’s completely normal that on a fund of long crisis this decline goes even lower than 50 USD, thing that you bring back without big conviction.

              Thus, stop taking you for soothsayer of modern times.

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              • alain t'as le droit de repondre a qui tu veux , je ne t'ais pas du tt contesté ce droit , mais je m'etonnais pkoi parler de l'urss , c'etait valable pour toi comme pour tolkien , le cas algerien est a classer donc avec ces pays qui ne sont plus socialistes ni encore capitalistes ..g signaler le cas russe un pays dependant encore de la rente , qui n'est pas a comparer biensur avec l'algerie mais vraiment un cas interessant pour montrer que le probleme n'est pas economique , technique , comme tu le signale avec des cas plus ou moin reussi comme la hongrie ou la pologne .
                pkoi encore une fois evoquer 62? l('algerie a basculé officiellement dans l'economie de marché apres la crise des fin 80, les indecisions , coups de barre ,hesitations qu'il faut comptabiliser sont ceux à partir de cette date .. ignorer le fait securitaire ote bcp de credibilité a tte analyse de la situation .. comparer la bulgarie pays de l'eurpe de l'est ,geographiquement, culturellement , politiquement europenne ,aussi pauvre soit elle, avec l'algerie n'est pas fait pour nous faire voir plus clair ..
                pendant plus de 10 ans l'etta algerien s'occupait de sa survie , en meme temps le demantellement des verous de l'economie socialiste , que voulez qu'il se passe ? biensur un complexe concurent à l'etat regulateur se met en place pour rempliur le vide , c l'etat corrompu , rentier .. "la mafia" comme plais a certains , c comme un maçon qui a attendu que son mortier refroidfisse pour commencer à l'utiliser, c difficile , le resultat ne sera jamais comme celui d'un pays comme la pologne ou la hongrie qui eux n'ont pas eu 20 ans de terrorisme .. bref il faut discuter l'evenement mais aussi le contexte .
                en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                • De quelle droit il chamboule tout?

                  Je sais vous allez me dire c'est le 1ere ministre. Et apres?

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                  • Ouyahia our prime minister

                    I'm very proud that an Algerian has born a Man like Ahmed OUYAHIA.May God protect him and help him carrying on his noble task.
                    Just to make things clear to Rif 1979 and Alain.Algeria doesn't rely only on oil or gas to boost its economy.There are many other sources which can make of our country challenging the developed countries in term of technology .Our problem is that we have inherited a heavy burden from the French colonialism.It consists of the clerks that have been formed by this latter and who have been integrated in the Algerian administration since there was a lack of skillful persons in the sixties.Hence,those pro-French colonists have seized the opportunity of the Algerians'illiteracy to govern them as they will and have always worked for the benifit of the French government.The second important factor,is the "brain drain" imposed on te third wold's elites who are playing an important role to develop and improve the life conditions of the wealthy nations.We shall overcome if God will.
                    Ignorance is worse than poverty.

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