@Tolkien
A l’époque de la mondialisation, il ne faut plus parler de l’origine de tel ou tel personne. L’essentiel est d’attirer les meilleures compétences. Le niveau exigé par la KAUST, implique de faire appel à des étrangers. Les Etats-Unis ou l’Europe captent eux aussi les meilleurs cerveaux du monde : indiens, chinois, maghrébins ou autres. Elias Zerhouni est un bon exemple de cette diversité.
C’est ca notre problème en Algérie. Tantque nos médiocres de dirigeants n’admettent pas de s’ouvrir vers le monde on n’avancera pas. Où est le mal d’avoir un président d’université étranger à la tête d'une université moderne en Algérie qui formera notre élite ? L’Algérie l’a fait au début des années 60 avec les coopérants étrangers. Boumediene allah yarahmou était un visionneur. Mais là on régresse.
A l’époque de la mondialisation, il ne faut plus parler de l’origine de tel ou tel personne. L’essentiel est d’attirer les meilleures compétences. Le niveau exigé par la KAUST, implique de faire appel à des étrangers. Les Etats-Unis ou l’Europe captent eux aussi les meilleurs cerveaux du monde : indiens, chinois, maghrébins ou autres. Elias Zerhouni est un bon exemple de cette diversité.
C’est ca notre problème en Algérie. Tantque nos médiocres de dirigeants n’admettent pas de s’ouvrir vers le monde on n’avancera pas. Où est le mal d’avoir un président d’université étranger à la tête d'une université moderne en Algérie qui formera notre élite ? L’Algérie l’a fait au début des années 60 avec les coopérants étrangers. Boumediene allah yarahmou était un visionneur. Mais là on régresse.
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