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L'Algérie va effectuer ses premières exportations d'orge dans les tout prochains jour

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  • L'Algérie va effectuer ses premières exportations d'orge dans les tout prochains jour

    ALGER - L'Algérie va entamer ses premières exportations d'orge d'ici à dix (10) jours, et ce, pour la première fois depuis 43 ans, a annoncé jeudi le directeur général de l'office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), M. Noureddine Kehal qui a fait cette annonce en marge de la signature entre son organisme et la banque algérienne de développement rural (BADR) d'une convention de financement des capacités de stockage de céréales. Avec cette opération, ce sera la première fois, depuis 1967, que l'Algérie aura exporté un produit céréalier après en avoir été un gros importateur durant plus de quarante ans: ''le pays dispose actuellement d'un excédent de deux années en orge sans compter la production de la compagne 2009-2010'', a-t-il fait savoir.
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

  • #2
    La BADR débloque 33 milliards de dinars pour la création de nouvelles infrastructures de stockage

    La première opération d’exportation d’orge sera inaugurée dans les prochains jours

    12 grandes sociétés de renommée mondiale ayant retiré les cahiers des charges auprès de l’OAIC, 6 ont déjà formulé des demandes d’achat d’orge

    Les récoltes de blé dur et d’orge réalisées au titre de la précédente campagne céréalière permettront de couvrir les besoins de l’Algérie pour les prochains six mois concernant le blé dur et les deux années à venir pour l’orge. Les excédents de production seront, par ailleurs, mis sur les marchés extérieurs ce qui replacera notre pays dans sa position de vendeur et ce, pour la première fois depuis 1967.

    Aussi, le premier chargement d’orge destiné à l’exportation actuellement stocké au niveau de la zone sous douane de Rouiba devra quitter le port d’Alger dans les tout prochains jours à destination de l’étranger. C’est ce qu’a annoncé, jeudi dernier, le directeur général de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) à l’occasion de la signature avec la BADR d’un accord-cadre de financement de nouvelles infrastructures de stockage de céréales en présence du ministre de l’Agriculture et du Développement rural, le Dr Rachid Benaïssa.

    M. Noureddine Kehal qui a mis en évidence la qualité supérieure de l’orge algérienne d’où l’intéressement des sociétés étrangères, a affirmé que sur une douzaine de sociétés étrangères, sans les citer, ayant retiré les cahiers des charges auprès de l’Office, six ont formalisé des demandes d’achat d’orge aux prix fixés par la partie algérienne. Dans le même ordre d’idée, il ajoutera que l’Algérie compte s’inscrire sur la voie de l’exportation dans la durée. « C’est une démarche qui se veut structurelle et non conjoncturelle », dira l’intervenant. M. Noureddine Keha. Il a déclaré, d’autre part, que son office s’attelle à finaliser une stratégie destinée à optimiser et diversifier l’utilisation de l’orge sur le marché national par le soutien notamment du créneau de la trituration par les transformateurs.

    A propos de l’accord signé avec la BADR, le DG de l’OAIC a tenu en premier lieu à souligner que le réseau de stockage de céréales n’a pas bénéficié d’investissements depuis 1984 et que, par conséquent, les 33 milliards de dinars — soit l’équivalent de 400 millions de dollars — qui seront débloqués par la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR) permettront de renforcer, à hauteur de 20 %, soit plus d’un million de tonnes supplémentaires, les capacités du réseau sachant que ce dernier est constitué actuellement de 480 points de collecte d’une capacité de l’ordre de 22 millions de quintaux enregistrée en 2009, année marquée par une production record d’un peu plus de 60 millions de quintaux de céréales. « Ce projet qui sera financé par la BADR s’inscrit dans le cadre de la consolidation des moyens de l’Office en matière de stockage conformément à un accord du CPE qui a ordonné à la banque d’accompagner l’opération », a ajouté M. Kehal. Le premier responsable de l’Office a précisé, à ce titre, que le crédit alloué sera assorti d’un taux d’intérêt de 1% alors que l’échéancier de remboursement s’étale sur 30 ans.

    Le P-DG de la BADR, M. Boualem Djebbar, a, pour sa part, souligné le rôle de la banque dans l’accompagnement de l’effort agricole pour dire que l’accord signé avec l’OAIC se situe en droite ligne avec l’objectif de développement de la filière céréalière. La BADR qui accompagne l’OAIC au titre de la campagne moisson-battage, rappellera-t-il, a créé des guichets uniques au niveau des CCLS (coopératives des céréales et légumes secs) pour faciliter le paiement des agriculteurs. Le premier responsable de la BADR annoncera dans sa lancée que des agences bancaires devront se substituer à ces guichets dans la logique de proximité adoptée par la banque. Aussi, il fera part de l’ouverture de comptes bancaires au profit des céréaliculteurs au niveau de ces mêmes agences dans ce souci de raccourcir davantage les délais de paiement ramenés à 72 heures durant la précédente campagne moisson-battages a souligné M. Boualem Djebbar.

    Dans le cadre de la politique du renouveau rural, la BADR a, pour rappel, pris sur son compte le financement de l’acquisition de 500 moissonneuses-batteuses/an sur une période de 10 ans. Les premières machines ont été réceptionnées, le reste le sera au courant des prochaines semaines, a déclaré M. Djebbar qui indiquera par la même occasion que la BADR a élargi son intervention pour englober le matériel d’irrigation à point (pivots).

    Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural est revenu, pour sa part, sur les mesures incitatives décidées par l’Algérie pour développer la filière des céréales. Des actions stimulées par la crise de 2007-2008 à l’origine de « l’éveil des consciences » pour reprendre les propos du Dr Benaïssa. Ces mesures initiées dès 2008 (soutien des prix, réduction de 20 % sur les prix des engrais, irrigation à point, programme Spécial Sud …) ont permis à l’Algérie de remonter la pente et même de reprendre progressivement sa place sur le marché international des céréales (blé dur, orge), a affirmé le ministre qui annoncera la signature très prochainement d’un second accord entre la BADR et la SGP PRODA pour le financement de projets « d’entrepôts froid » et de complexes d’abattage au niveau des zones de production.

    Interrogé sur la position de l’Algérie quant aux discussions relatives au secteur de l’agriculture prévues dans les tout prochains mois avec l’UE, le ministre s’est contenté de répondre que la démarche de l’Algérie est claire et est consacrée à travers la loi d’orientation agricole, le discours du Président de la République et la politique du renouveau rural, trois repères qui constituent « le cadre de nos propositions », indiquera le Dr Rachid Benaïssa.

    D. Akila

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    • #3
      Ceux qui y voyait une "impossibilité" se reconnaitront et prendront de la graine sur d'autres sujets !

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      • #4
        Jawzia voici la triste réalité :
        Alors qu’il était censé en exporter

        L’OAIC s’apprête à importer 50 000 tonnes d’orge

        Les prix mondiaux des céréales en général et de l’orge en particulier ont connu de fortes envolées ces quatre derniers mois.


        Moins d’une année après avoir annoncé à grand renfort médiatique l’exportation de 11 000 tonnes d’orge, l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) vient de lancer un appel d’offres international pour une importation massive de 50 000 tonnes de ce même produit, dont elle se vantait de détenir d’envahissants surstocks. L’information est donnée par le journal français Les Echos qui s’appuie sur des indiscrétions de spéculateurs en Bourse qui voient en cette opportunité de gros bénéfices à tirer du seul fait de la hausse des prix de l’orge qu’une demande aussi importante va nécessairement générer.

        Les prix mondiaux des céréales en général et de l’orge en particulier ayant déjà subi de fortes envolées ces quatre derniers mois en raisons des troubles sociaux qui ont notamment affecté les pays de la rive sud de la Méditerranée, réputés gros consommateurs de céréales, il est évident que l’Algérie payera l’orge qu’elle s’apprête à importer beaucoup plus cher que celui qu’elle avait exporté. A quoi est dû cet inexplicable revirement qui va à contre-courant du discours triomphaliste distillé aussi bien par les responsables du ministère de l’Agriculture que par les dirigeants de l’OAIC qui se vantaient d’exporter, pour la première fois dans l’histoire de l’Algérie indépendante, une aussi importante quantité de céréales ? S’étaient-ils basés sur de fausses statistiques de production et de stocks ou cherchaient-ils seulement un coup d’éclat médiatique pour redorer le blason d’un secteur dont on commençait à se plaindre des maigres retombées des gigantesques capitaux publics engloutis dans les budgétivores programmes du PNDA ?
        Le plus troublant est qu’au moment où l’OAIC passe commande d’orge à l’étranger, les agriculteurs algériens sont nombreux à se plaindre que leur production soit boudée par cet Office, qui a pourtant l’obligation de privilégier, chaque fois que possible, la production nationale. Dans pratiquement toutes les régions à vocation céréalière, des fellahs désabusés se sont plaints à qui de droit (UNPA, Chambres d’agriculture, directions départementales de l’agriculture, OAIC, etc.) des stocks d’orge qu’on leur a injustement laissé sur les bras.Alors qu’on pensait que l’Algérie était irréversiblement engagée dans une dynamique d’exportation d’orge portée par une production excédentaire, cette information vient nous rappeler à l’évidence que nos décideurs ne maîtrisent pas grand-chose des statistiques agricoles. Les décisions qu’ils prennent, comme c’est le cas pour l’orge, mais également pour tous les produits agricoles stockés au nom d’une prétendue action de régulation qui ne génère en réalité que des pénuries, courent alors le risque d’être inopérantes et contre-productives sur le terrain.

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        • #5
          Jawzia sache que ce n'est pas avec sa faible production d'orge et un effet d'annonce que l'Algérie devient du jour au lendemain auto-suffisante au niveau de l'orge.

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          • #6
            la vérité est ailleurs

            comme on dit chez nous 3djouza hakmet sarék !

            au lieu de jubiler comme ca ... analyse moi ca :

            Le plus troublant est qu’au moment où l’OAIC passe commande d’orge à l’étranger, les agriculteurs algériens sont nombreux à se plaindre que leur production soit boudée par cet Office, qui a pourtant l’obligation de privilégier, chaque fois que possible, la production nationale. Dans pratiquement toutes les régions à vocation céréalière, des fellahs désabusés se sont plaints à qui de droit (UNPA, Chambres d’agriculture, directions départementales de l’agriculture, OAIC, etc.) des stocks d’orge qu’on leur a injustement laissé sur les bras
            Fhamti wéla la ?
            وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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            • #7
              comme on dit chez nous 3djouza hakmet sarék !

              au lieu de jubiler comme ca ... analyse moi ca :
              Je ne jubile de rien du tout je fais juste remarqué que ce que j'avais dit il y a un an vient de se confirmer dans la réalité.

              Fhamti wéla la ?
              Boubirita sache que les faibles volumes de production algériens ne peuvent pas assurer l'auto suffisance avec une production bien supérieur et une population plus faible le Maroc recourt encore à des importations d'orge.

              On parle d'auto suffisance quand le pays devient exportateur net (le bilan de l'importation et de l'exportation est en faveur de l'exportation) durant plusieurs années de suite.

              Concernant les histoires entre l'OAIC et les agriculteurs c'est un sujet qui touche à l'organisation globale du marché algérien, mais ce qui est sure c'est qu'un produit rentable trouve facilement le chemin de l'export, quand il ne l'est pas on sait ce qui lui arrive.

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              • #8
                moi je crois que l'Algérie en exporte pour éviter les pertes faute de moyens de stockage, et on en importe tranquillement quand ca devient necéssaire!

                Black, rassures toi, l'Algérie n'est pas encore un pays exportateur de blé, ni le Maroc dont l'infrastructure de l'agricukture ns dépasse de pleusieurs années et expérieneces, le reste dépendant des don de Dieu, quand il pleut assez au bon moment, ns avons le surplus, dans le cas contraire on importe comme tlm dans les pays sous-developpés!

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                • #9
                  Boubirita sache que les faibles volumes de production algériens ne peuvent pas assurer l'auto suffisance avec une production bien supérieur et une population plus faible le Maroc recourt encore à des importations d'orge.
                  sache ya el fahem qu'on algerie l'orge est destiné a 99,99 % pour le betail (pour ne pas dire 100%).
                  pour la population on importe du ble premier choix STP.

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                  • #10
                    comme une certaine pomme de terre premier choix STP ..

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                    • #11
                      moi je crois que l'Algérie en exporte pour éviter les pertes faute de moyens de stockage, et on en importe tranquillement quand ca devient necéssaire!
                      L'article dit le contraire c'est de l'importation qu'il s'agit l'Algérie n'a pas de surplus à exporter.

                      Black, rassures toi, l'Algérie n'est pas encore un pays exportateur de blé, ni le Maroc dont l'infrastructure de l'agricukture ns dépasse de pleusieurs années et expérieneces, le reste dépendant des don de Dieu, quand il pleut assez au bon moment, ns avons le surplus, dans le cas contraire on importe comme tlm dans les pays sous-developpés!
                      Que ça me rassure ou pas cela importe peu. Je reviens sur ce que j'avais dit il y a un an, que vu le volume moyen de production d'orge je ne voyais pas comment l'Algérie pouvais prétendre à exporter de l'orge la preuve aujourd'hui on parle d'importation alors qu'aucun grain d'orge n'a jamais était exporté, pour ce qui est des histoires d'auto suffisance au niveau de l'orge c'est simplement du bla bla journalistique un article fait sur commande.

                      sache ya el fahem qu'on algerie l'orge est destiné a 99,99 % pour le betail (pour ne pas dire 100%).
                      pour la population on importe du ble premier choix STP.
                      Le problème n'est pas la l'orge entre dans bon nombre de produit agro industriel et principalement sert à faire du couscous de la bière et sert aussi à nourrir le bétail. Vu les besoins d'une population de 35 millions de personne et donc du bétail qui en découle l'Algérie n'atteint pas l'auto suffisance même le Maroc qui arrive à produire bien plus est obligé d'importé.

                      Donc fini la propagande.

                      Même quand les productions d'orge marocain frôlées les 4 millions de tonnes le pays en importé toujours donc c'est pas avec une production record qui atteint péniblement 2.2 millions de tonnes que l'Algérie va devenir exportatrice et excusé du peu auto sufissante. Les mec il faut arrêter de rêver une algérie exportatrice de céréale ça saurez.

                      comme une certaine pomme de terre premier choix STP ..
                      Oui un peu comme la pomme de terre.
                      Dernière modification par Black, 04 mai 2011, 14h18.

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                      • #12
                        Que ça me rassure ou pas cela importe peu. Je reviens sur ce que j'avais dit il y a un an, que vu le volume moyen de production d'orge je ne voyais pas comment l'Algérie pouvais prétendre à exporter de l'orge la preuve aujourd'hui on parle d'importation alors qu'aucun grain d'orge n'a jamais était exporté, pour ce qui est des histoires d'auto suffisance au niveau de l'orge c'est simplement du bla bla journalistique un article fait sur commande

                        voyons ne soyons pas trop pessimiste á ce point! L'ALgérie en a bien exporté aprés 43 ans d'absence, je crois que c'est ca qui te fait tant mal au point d'aller faire remonter des topic vieux d'une année!


                        Une année après en avoir exporté, l’Algérie va importer 50.000 tonnes d’orge

                        L'Algérie va devoir se résigner à importer près de 50.000 tonnes d'orge, une année seulement après en avoir exporté 11.000 tonnes. Les aléas climatiques ont eu raison des projections un peu trop optimistes.
                        Le directeur général de l'office algérien interprofessionnel des céréales(OAIC), M. Nouredine Kehal, a confirmé lundi un important programme d'importation d'orge. "Nous sommes en Train de prospecter le marché et voir sur le terrain quelles sont les prévisions de production d'orge pour cette année en vue d'arrêter une véritable stratégie d'approvisionnement par l'importation", a-t-il souligné. M.Kehal, cité par l'APS, a précisé, que la commande d'achat d'orge sur le marché international serait d'au moins 50.000 tonnes. Après une année 2009/2010 exceptionnelle, avec une production de plus de 6 millions de tonnes de céréales, l'Algérie revient à la case de départ, et devrait importer encore cette année de l'orge, pour faire l'appoint avec la production locale, qui serait durement affectée par la sécheresse. Selon le directeur général de l'OAIC, la sécheresse qui a frappé les zones agropastorales en 2010 jusqu'à avril 2011, a privé le cheptel ovin de végétation, ce qui a contraint l'OAIC de tripler ses approvisionnements en orge pour les éleveurs de cette région, connue pour l'élevage ovin. Pour une année normale, l'office distribue entre 2 et 3,5 millions de quintaux par an, alors qu'entre 2010 jusqu'à fin avril 2011, l'OAIC a fait sortir de ses silos plus de 10 millions de qx dont plus de 3 millions de qx ont été vendus entre janvier et avril de l'année en cours. La sécheresse, qui a affecté les zones agropastorales réputées pour leur production d'orge, est ainsi ''pointée'' du doigt la "mauvaise" récolte prévue cette année.


                        Bruits dans les salles de marché



                        Pourtant, l'OAIC a déjà passé commande de ses 50.000 tonnes d'orge auprès de céréaliers européens. Il y a déjà deux semaines, le directeur de l'OAIC avait annoncé dans un entretien à la chaîne d'informations financières en continue Bloomberg que l'office avait passé commande pour l'achat de produits céréaliers pour une valeur d'un milliard d'euros. De son côté, le journal français ''Les Echos'' rapporte que l'Algérie a fait sa commande d'orge auprès de fournisseurs européens, et que les salles de marchés bruissent de l'importance, en valeur, de cette commande. Reuters confirme qu’un appel d'offres a été lancé le 26 avril par l'Algérie pour l'importation de 50.000 tonnes d'orge. L’Algérie reprend sa ainsi sa « place » parmi les grands pays importateurs de céréales. Les exportations d'orge annoncées à grands frais médiatiques ne se confirment pas. Même le ministre de l'agriculture, M. Rachid Benaissa, est pessimiste. Il a estimé que la campagne céréalière 2010/2011 sera une "année bonne en blé dur, satisfaisante en blé tendre et difficile en orge". Maghreb Emergent

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                        • #13
                          Fhamti wéla la ?
                          normalement chaque pays peut importer et exporter le même produit, on le voit dans les produits frais, mais aussi dans les produits transformés.
                          Du moment qu'il y a un demande pour un bien en stock on repond à cette demande: le stockage coute cher.:22:

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                          • #14
                            L’OAIC s’apprête à importer 50 000 tonnes d’orge
                            Et alors ? Qu'est ce que tu veux démontrer ? Je vais essayer de deviner :

                            Parce que l'Algérie importe de l'orge en 2011 =====> l'exportation de ce même produit en 2010 est un mensonge doublé d'un effet d'annonce. Serait ce la thèse que tu veux "défendre" ?

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                            • #15
                              black on peut pas passer d'importateur depuis 50 ans a exportateur important comme ca !

                              on a exporté un peu, c'est surtout le symbole qu'il faut retenir.

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