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Maroc L'Etat en manque d'argent : casse-tête pour Mezouar

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  • #31
    Naturellement ces déficits évoluent au gré de deux principales variables aléatoires : les aléas climatiques et le prix du baril de pétrole !
    En 2010 ces deux facteurs ont peu d'importance...on devrait plutot jetter un coup d'oeil sur la croissance de nos partenaires européen...je travaille dans l'offshoring informatique et je peux vous dire qu'il y a de bcp d'argent à se faire si ca demarre du coté de l'europe....le maroc de 2010 n'est pas le maroc des années 90.

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    • #32
      Bonjour à tout le monde,

      L'article n'est pas récent. Il est regrettable qu'il ne soit pas accompagné de l'analyse d'un économiste marocain qui prétendait qu'avec une dette 47% du PIB (?), le royaume reste solvable et d'où il ne devrait pas rencontrer de problème pour procéder à un emprunt.

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      • #33
        jawzia, comme toujours, ne recopie des "rapports" que ce qui l'interesse. Voila ici bas, ce qui est dit dans le MEME rapport

        13
        3.2.3. Equilibre externe et balance commerciale
        Jusqu’à présent le déficit commercial a été plus que compensé par la bonne performance des
        transferts des Marocains résidents à l’étranger (MRE) et des recettes du tourisme
        . Ceci a
        permis la réalisation d'un excédent du compte courant de la balance des paiements de 2,4% du
        PIB en 2005.

        La balance commerciale marocaine enregistre un déficit structurel. En effet les exportations
        ne couvrent que 50 % des importations. Les exportations ne sont pas très diversifiées (secteur
        textile et habillement 35 %; produits alimentaires et tabac 20 % ; phosphates 17 %). On note
        cependant le développement des exportations dans les secteurs électrique et mécanique.
        Les
        importations sont dominées par les biens d’équipement et de consommation (42%), les
        produits énergétiques et les lubrifiants (19%) et les produits alimentaires et le tabac (8,5%).
        L’UE est le premier partenaire commercial du Maroc. Les exportations de l’UE vers le Maroc
        sont composées principalement par des produits mécaniques et des équipements (31 %),
        textile et habillement (21 %), matériel de transport (9 %), produits chimiques (8 %) et
        agricoles (10 %). Quant aux importations de produits marocains par l’UE, elles consistent
        principalement en textile et habillement (41 %), produits agricoles (20 %) et produits
        mécaniques (10 %). En ce qui concerne les services, les exportations vers le Maroc
        représentent 1 % du total des exportations de l’UE, et les importations du Maroc 0,6 % du
        total. Les importations européennes de services consistent en transport (28 %), en tourisme
        (53 %), et en services d’affaires et communication (19 %).

        Le commerce sous-régional avec les pays maghrébins et sud méditerranéens est très réduit
        (1% et 5% du total, respectivement). Les raisons de cette faiblesse résident dans le manque
        d’harmonisation des cadres réglementaires des pays, l’exploitation insuffisante des
        complémentarités des économies, l’application de régimes des règles d’origine différents,
        ainsi que par l’état embryonnaire des accords de libre échange sous-régionaux.
        A moyen terme, le déséquilibre commercial devrait se stabiliser en pourcentage du PIB
        traduisant une croissance continue des importations et une progression soutenue des
        exportations sous l'effet, notamment, des politiques et des réformes mises en œuvre
        (notamment le Plan émergence…), l'élargissement des opportunités d'exportation (accords de
        libre échange) et d’une politique de change appropriée.

        Dans ce contexte, l'excédent du compte courant enregistré depuis 2001 serait légèrement
        résorbé et devrait s'orienter à l'équilibre à moyen terme. La position extérieure continuera, en
        conséquence, d'être solide. Dans le sillage, les avoirs extérieurs nets se sont établis à plus de
        150 milliards de dirhams à fin décembre 2005, permettant de couvrir près de 10 mois
        d'importations de biens et services non-facteurs.


        Les investissements directs étrangers (IDE) ont représenté 3.6 milliards d’Euros en 2003
        contre 1,7 en 2002. Les IDE proviennent surtout de l’UE. Les IDE en provenance des USA
        représentent 2 %. Grace à l’amélioration du solde du compte courant et le niveau élevé des
        IDE, le Maroc a pu réduire considérablement sa dette externe, qui est passée de 65% du PIB
        en 1999 à 35% en 2005.
        Remarquez comment il n'aura rien a commenter sur les points que j'ai mis en gras...

        Pour le DEFICIT de la balance commercial qui est structurel, c'est bien possible pour le DEFICIT. Ce n'est pas de ca dont je parlais. Ce que j'ai clairement explicité, exemple a l'appui, c'est qu'on ne pouvait pas qualifié la COMPOSANTE Economique appellée BALANCE COMMERCIALE de Structurelle, tout simplement parce qu'elle repose sur des types d'echanges et des variables CONJONCTURELLES (importations, exportations, taux de change, prix du phosphate, crise mondiale, etc...)

        Autrement dit, comme aurait dit notre ami chicha51 a propos de notre economiste en herbe qui nous a predit que tous les projets d'investissement au Maroc etaient du pipo et qui continue sans aucune honte, a nous predire le meme scenario Catastrophe concernant l'economie marocaine:

        Les déficits sont normaux pour un pays qui n'a pas l'opportunité de pomper un don du ciel qui a la cote et de profiter d'une conjoncture favorable ( 100 dollars le baril)

        La solution pour le Maroc serait, peut etre, de faire appel à tes neurones surexploitées.

        Mais là encore on s'achemine , comme d'habitude ,vers le hors sujet et le bottage en touche.

        Bonne nuit.
        Remarquez que notre Keynes de Bab El Oued n'a pas dit mot sur des sujets tres interessants qui decrivent un pays qui stagne, qui stagne.... Par fois il est vrai, le silence est d'or...

        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=172080

        Et pour rigoler encore plus, notre ami avait sorti l'argument de la "catastrophe economique marocaine" dans un sujet intitulé "Maroc-UE : Le statut avancé qui sera accordé au Maroc"... Cherchez l'erreur. Trop d'aigreur a mon avis pour prendre ses commentaires au serieux. Surtout quand on a un historique ou ses predictions notoires ont fait des ploufs successifs... Predictions trop longues a lister.. ou peut-etre pas...
        Dernière modification par ayoub7, 13 juin 2010, 17h40.

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        • #34
          Le Maroc a un seul veritable probleme : le cout energetique. Connaissant tous les projets (eoliens et solaires) qui n'arriveront a maturation et exploitation qu'en 2014-2015, je ne me fais pas de souci pour l'economie du pays. Tant que ses locomotives marchent toujours et que le cout energetique baisse, le Maroc continuera sur sa lancee. Pour clore ce HS sur la balance du deficit commercial et les RAISONS conjoncturelles de ce deficit:

          Il (Ministre du Commerce extérieur, Abdellatif Maâzouz) a relevé que malgré la croissance des exportations, le Maroc a connu une hausse du déficit de la balance commerciale au cours de 2007 et début 2008 compte tenu de la conjoncture actuelle marquée par la flambée des prix des Hydrocarbures et des céréales.
          ou encore:

          "Ce sont surtout le pétrole et le blé qui ont alourdi les importations et, par conséquent, aggravé le déséquilibre de la balance commerciale", explique-t-il. "Cette dernière est cependant soutenue par les transferts des Marocains résidant à l’étranger et les investissements étrangers."

          Selon la Caisse de Dépôt et de Gestion, les produits énergétiques, les céréales, les biens d'équipement et les produits semi-finis représentent 70 pour cent des importations marocaines. La flambée des prix des hydrocarbures et des céréales sur les marchés internationaux a eu un impact significatif sur la balance commerciale du Maroc.

          Selon M. Maâzouz, la politique d'ouverture adoptée par le Maroc et consacrée par l'adhésion à diverses associations et accords de libre échange pourrait conduire à solutionner le problème du déficit commercial.

          Le ministère de M. Mezouar le reconnaît, expliquant qu'une meilleure compétitivité permettra au Maroc d'exporter sur de nouveaux marchés et de se protéger contre les risques inhérents à ce type d'exportation.
          Les indicateurs qui comptent:



          Mezouar : L'économie marocaine devrait maintenir son dynamisme en 2010
          Malgré la crise internationale, le Maroc a enregistré un taux de croissance de 5,2% en 2009.

          L'économie marocaine devrait maintenir en 2010 son dynamisme grâce à la progression soutenue de l'investissement, notamment public, et à l'atténuation progressive des effets négatifs de la contraction de la demande externe, qui avait marqué l'année 2009, a affirmé, mardi à Bruxelles, le ministre de l'Economie et des finances, M. Salaheddine Mezouar.

          Intervenant dans le cadre de la réunion des ministres euro-méditerranéens de l'Economie et des finances (ECOFIN) et de la 10ème réunion ministérielle de la Facilité Euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat (FEMIP), M. Mezouar a souligné que malgré le contexte international défavorable marqué par la crise économique et financière et son corollaire le recul de la demande mondiale, l'économie nationale a enregistré un taux de croissance de 5,2% en 2009, après une croissance de 5,6% en 2008.

          Cette performance, a précisé le ministre, a été réalisée dans un cadre macroéconomique solide avec une inflation à 1% et un déficit budgétaire à 2,2% et ce, grâce aux effets favorables des mesures prises par le gouvernement, notamment, pour soutenir la demande intérieure et pour accompagner les secteurs affectés par la crise, et aux effets positifs d'une bonne campagne agricole, qui a compensé le ralentissement des activités orientées vers l'extérieur.

          M. Mezouar a également affirmé que le Maroc a engagé ces dernières années de grands chantiers structurants et décliné de nouvelles politiques sectorielles pour donner la visibilité nécessaire aux opérateurs économiques et renforcer son positionnement régional.

          "Ces actions, a-t-il poursuivi, ont permis à notre pays d'atteindre un nouveau palier de croissance, d'améliorer ses indicateurs sociaux, de dynamiser l'investissement national et d'attirer davantage d'investissements étrangers".

          M. Mezouar a souligné que le contexte actuel conforte le Maroc dans sa démarche et sa volonté à continuer à mettre en œuvre les réformes qui s'imposent et à élargir leur champ dans le sens d'une meilleure intégration de l'économie marocaine à celle de l'Union européenne.

          Il a en outre indiqué que le Royaume considère qu'il est impératif de donner toute l'importance requise à la dynamisation et au renforcement des espaces régionaux, qui constituent le lieu, par excellence, de l'expression des complémentarités et des synergies.

          Le ministre a rappelé, à cet égard, que "le Maroc et tout en avançant dans ses réformes internes et dans sa relation avec l'UE, demeure plus que jamais engagé à concrétiser le projet d'intégration maghrébine et à tout mettre en œuvre pour la réussite de cette intégration, avec pour ultime objectif la construction d'une relation solide liant un Maghreb fort, constituant un espace économique homogène et attractif, au diapason des normes et standards internationaux, à une Europe unie, constituant un partenaire privilégié, pour la réalisation d'un espace commun de prospérité, de stabilité et de sécurité partagées".

          S'agissant du rôle de l'Union pour la Méditerranée et de la FEMIP, M. Mezouar a indiqué que ces initiatives doivent concourir à relever les enjeux de développement socio-économique pour garantir un avenir meilleur aux citoyens des deux rives et ce, en appuyant les actions visant à permettre d'accélérer l'ancrage des économies de la région à l'économie de l'UE, à travers un appui important aux projets d'infrastructures économiques et sociales visant la réduction de la pauvreté et la préparation des conditions nécessaires à une croissance durable dans la région, un appui aux réformes structurelles et sectorielles de mise à niveau économique et sociale et en aidant à apporter des réponses communes, innovantes et efficientes à la crise multidimensionnelle (financière, énergétique, et climatique) qui secoue l'économie mondiale et qui fragilise les économies méditerranéennes.

          La délégation marocaine à ces réunions comprenait MM. Zouhair Chorfi, directeur du Trésor et des finances extérieures au ministère de l'Economie et des finances et Menouar Alem, ambassadeur du Maroc auprès de l'Union européenne.

          Source : MAP
          Mise en ligne le : 19/05/2010
          Dernière modification par ayoub7, 13 juin 2010, 17h49.

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          • #35
            Pour le DEFICIT de la balance commercial qui est structurel, c'est bien possible pour le DEFICIT.
            Et "Oiseau bleu" a encore des doutes !

            Ce n'est pas de ca dont je parlais. Ce que j'ai clairement explicité, exemple a l'appui, c'est qu'on ne pouvait pas qualifié la COMPOSANTE Economique appellée BALANCE COMMERCIALE de Structurelle,
            En effet, aucune balance ne peut être qualifiée de structurelle.

            Tout le long de la discussion, on débattait du déficit structurel de la balance commerciale http://www.algerie-dz.com/forums/sho...0&postcount=43

            Il n'y avait que "oiseau bleu" pour disserter sur le caractère structurel ou pas structurel de la balance elle même : En quoi une balnce commerciale est structurelle?


            Pour le "Gras", je t'oriente sur ceci (en général) http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=171922

            et un commentaire dans le même sujet (en particulier) : http://www.algerie-dz.com/forums/sho...2&postcount=27
            Dernière modification par jawzia, 14 juin 2010, 16h01.

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            • #36
              Jawzia1: Lorsqu'il y a 2 ans et demi, on avait évoqué l'aspect structurel du déficit de la balance commerciale, "Oiseau bleu" eut cette singulière réaction :

              En quoi une balnce commerciale est structurelle?

              Jawzia2: En effet, aucune balance ne peut être qualifiée de structurelle. C'est d'une rare stupidité !!
              Lol, no comment... Stupidité chronique meme... Venant de Mister Catastophe, une contradiction de plus 3 messages plus loin ne me surprend aucunement... J'arrete le massacre. Je ne voudrais que Mister Catastrophe le prenne personnellement... Sinon apres il va nous poster des liens a ne plus en finir et la discussion se terminera par des corrections orthographiques...

              Retour au sujet.
              Dernière modification par ayoub7, 14 juin 2010, 16h14.

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              • #37
                Autrement dit, comme aurait dit notre ami chicha51 a propos de notre economiste en herbe qui nous a predit que tous les projets d'investissement au Maroc etaient du pipo et qui continue sans aucune honte, a nous predire le meme scenario Catastrophe concernant l'economie marocaine
                Au fait , il a fini sa cure notre ami chicha51 wella il a rechute ?
                On se rappele qu'il etait d'une nullite déconcertante en economie specialement

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                • #38
                  Jawzia1: Lorsqu'il y a 2 ans et demi, on avait évoqué l'aspect structurel du déficit de la balance commerciale,
                  Vrai !
                  En quoi une balnce commerciale est structurelle?
                  Hihihi Elle est de toi celle là. Tu peux tout faire, te défendre comme tu veux .... sauf en m'attribuant tes stupidités.

                  Dernière modification par jawzia, 14 juin 2010, 16h58.

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