Grand chantier. Le TGV sifflera trois fois

[raselhamra]

mon point de vue sur le Tgv marocain:
qd on traite avec le VRP sarkozi on a le choix du rafale, les centarles nucleaire, airbus et le TGV d'alstom. Les marocains ont été poussé vers ce dernier choix, b'sahathoum. A qui le tour?

[salmane]

Dsl ,pour l'instant on n'a pas besoin de TGV.

midou, c'est vrai que pour l'instant on n'a pas besoin de TGV, mais dans 5 ans, on va remercier celui qui y a pensé en 2010.

Quand hassan2 avait commencé la politique des barrages dans les années 60, plusieurs voix se sont élevées pour critiquer ce "" gaspillage"". A l’époque, l’eau était abondante au Maroc.

La sécheresse qu'à connu le Maroc depuis la fin des années 70, a montré que Hassan 2 était un visionnaire.

C’est grâce à sa politique que le Maroc a pu résister à ces années difficiles.

[othmane26]

samarkand ,c est pour repondre a la question de youkeren qui voulait savoir pk la france a offert un pret au Maroc .

lit comme il faut j ai pas dit 0 % pour le tgv c etait pour mon exemple .


bien sur que tu le payes plus cher avec les interets ,c est normal ,ils vont pas te preter leurs argents juste comme ca .

et pour la question de payer cache ou credit ,c est une autre longue histoire .

[othmane26]

on a juste a penser a 2015 :

-centre financier de casablanca .

-renault et sous traitant .

-tanger med 2 .

-TGV .

[Yakouren]

Quand hassan2 avait commencé la politique des barrages dans les années 60, plusieurs voix se sont élevées pour critiquer ce "" gaspillage"". A l’époque, l’eau était abondante au Maroc.

La sécheresse qu'à connu le Maroc depuis la fin des années 70, a montré que Hassan 2 était un visionnaire.

C’est grâce à sa politique que le Maroc a pu résister à ces années difficiles

Hahhaha.....c'est pour cette raison que Hassan est considéré comme un dieu par ses sujets marrokis!!

Hassan, qui à la fin de chaque sécheresse, demandait le bulletin météo à france météo pour savoir quand est-ce-que la pluie arrivait, et dés que la météo annonçait une pluie qui arrivait....Hassan le manipulateur programmait une prière collective....et miracle la pluie finissait toujours par arriver......grâce à sidkoum Hassan!!!

et sidkoum Hassan s'en sortait auréolé par l'admiration de sa plèbe.

Pour les barrages, votre hassan....n'a rien fait d'extraordinaire, il a fait ce qu'il avait à faire pour produire l'éléctricité, la Tunisie a fait beaucoup mieux sans parler d'El Djazaïr, qui produit l'electricité avec du gaz en plus.

enfin pour revenir au TGV....mabrouk alikoum le jouet, apres tout pourquoi pas, le Maroc comme narco-etat est trés trés riche....un TGV de 400 millions d'euros, c'est rien quand on sait que la drogue rapporte 13 milliards aux barons du régime et au makhzen chaque année.

[salmane]

t'as déja été à marrakech.......???????????????!!!!!!!!!!!!!!!

[megamax]

salmane

ne copies pas ma question préférée

de toute façon il ne va pas comprendre

[salmane]

mega

je t'assure que j'étais le 1er à parler de marrakech sur FA, dans un autre monde..........

[casacapital]

bien sur que tu le payes plus cher avec les interets ,c est normal ,ils vont pas te preter leurs argents juste comme ca .

sachant que l'etat va repercuter cette charge dans le prix du tiket...

par ailleurs le fait demprunter pour ce genre de projet est bcp mieux que d'operer une ponction dans la budget national... on a autre chose a faire avec nos propores sous, si on peut aussi se servir de celui des autres meme si c'est un peu plus cher ca reste a un bon prix et sur du tres long terme, a la limite ca ne compense meme pas l'inflation//

[jawzia]

par ailleurs le fait demprunter pour ce genre de projet est bcp mieux que d'operer une ponction dans la budget national...

Ce n'est pas une question de "mieux" mais plutôt d'obligation .... pour cause de caisses vides !

L’Etat et le Fonds Hassan II manquent d’argent
Economie-entreprises, juillet 2010

Depuis quelques mois, de petites éclaircies ont commencé à se manifester, prédisant une reprise économique après une année 2009 particulièrement dure pour les secteurs à l’export. Eclaircies très vite remises en cause, en raison d’un nouveau cycle de perturbations qui pourrait toucher l’économie marocaine, suite à la crise qui sévit en Europe et, surtout, la dégradation de plusieurs agrégats économiques. Le fait que le sujet du financement de l’économie soit abordé lors de la dernière réunion du comité de veille stratégique, le mercredi 23 juin, montre que l’Etat s’inquiète.

Des indicateurs dans le rouge
Il est, en effet, en manque de liquidité. Et l’on se demande comment il fera pour continuer à financer son train de développement.
Après deux soldes budgétaires positifs en 2007 et 2008, le Maroc a enregistré un déficit budgétaire de 2,2% en 2009, qui ne pourra que s’aggraver en 2010. En effet, la balance des paiements, pour la première fois depuis de nombreuses années, a accusé un déficit de 11,5 milliards de dirhams en 2008, puis de 1,6 milliards en 2009. Et pour cause, la balance commerciale ne cesse de se détériorer: de 48% en 2007, le taux de couverture des importations par les exportations est passé à 42,2% en 2009, alors même que les exportations marocaines baissaient de presque 11% sur la même période.

Le déséquilibre de la balance commerciale a, jusque-là, été compensé par les transferts des MRE et les recettes touristiques, qui ont permis de maintenir le solde du compte courant à un niveau positif. Ce n’est plus le cas depuis l’année dernière. Les transferts des MRE, après avoir atteint un pic de 55 milliards de dirhams en 2007, ont baissé de 8,7% en deux ans pour atteindre 50,2 milliards en 2009, sans oublier les recettes touristiques qui ont également diminué. Certes, ces dernières ont connu une reprise depuis le début de l’année 2010. Mais leur hausse est insuffisante pour combler les projets d’infrastructure dans le tourisme.
On se serre la ceinture

Face à cela, les sorties répétitives sur le marché de la dette prouvent que l’Etat traverse une phase difficile. Après le report de l’émission obligataire d’un milliard d’euros sur le marché international, l’Etat sera logiquement acculé à se tourner vers le marché de la dette interne pour lever des fonds, aggravant ainsi la tendance haussière qui se confirme depuis 1998. En effet, durant la période 1998-2009, la dette intérieure a augmenté bien plus rapidement que la dette extérieure n’a diminué, ce qui fait que, sur la même période, la dette publique totale a augmenté de 35%. Toujours est-t-il qu’en 2009, la dette extérieure ne représente plus que 22,8% de la dette publique totale, un ratio satisfaisant selon l’économiste Driss Benali, qui précise que «la dette intérieure est bien plus maîtrisable que la dette extérieure qui peut fluctuer dangereusement en fonction de l’évolution des cours des différentes devises dans lesquelles elle est libellée.»

En effet, l’explosion de la dette interne ne remet pas en cause les fondamentaux du Maroc, qui demeurent malgré tout solides, il faut le dire. Mais cela n’empêche pas que l’Etat ait besoin de dégager des fonds d’autres sources. Le prochain budget, en cours de préparation, sera ainsi élaboré sous le signe de l’austérité. Salaheddine Mezouar et son équipe comptent, en effet, s’attaquer à toutes les niches de gaspillage, pour grignoter des ressources qui financeront l’investissement public. Ce dernier sera malgré tout maintenu, même si l’Etat est obligé de jouer sur la corde raide. D’autant plus que les recettes fiscales sont en diminution, à cause de la baisse des recettes IS et de l’IR, et que les charges de compensation risquent d’atteindre, encore une fois, des niveaux critiques avec la hausse des cours des matières premières, plus particulièrement le pétrole.

Le Fonds Hassan II manque de visibilité
Dans le financement des grands projets, l’Etat sera certainement acculé à redoubler d’efforts financiers. Car, son coéquipier dans ses projets, le Fonds Hassan II, voit ses ressources, basées sur les produits des privatisations, se rétrécir comme peau de chagrin.

Cela fait deux ans que le gouvernement hésite en effet à vendre d’autres entreprises publiques, pourtant inscrites dans le calendrier (RAM, ADM, 2M...), limitant ainsi les marges de manœuvre d’un Fonds qui doit faire face, bon gré mal gré, à la boulimie des grands chantiers. Il est en effet dans tous les grands projets. Sans lui, ni les autoroutes, ni TangerMed ne seraient construits (il détient presque 60% d’autoroutes du Maroc et 91,7% du capital social de TMSA). Il est aussi présent dans le soutien à l’investissement, les projets sociaux et culturels… une sorte de robinet que l’on ouvre à chaque fois que l’on a besoin d’un appui financier et quelle que soit la nature des projets. «Depuis son entrée en fonction en 2000, ses engagements, qu’ils soient sous forme de subventions, de prêts ou de prises de participations, ont atteint la colossale somme de 23 milliards de dirhams, soit près de 10% du budget général du Maroc au titre de l’année 2009», rapporte un hebdomadaire de la place.

Toute cette manne est allée nourrir des projets dispersés, parfois loin de la philosophie créatrice de richesse, qui a été derrière son lancement par Feu Hassan II, qui avait qualifié le fonds de «moteur pour une meilleure vélocité économique». La dimension politique du fonds est peut-être derrière sa discrétion légendaire.

Malgré nos multiples sollicitations, le directeur du Fonds Abdelouahed Kabbaj, n’a pas voulu nous transmettre les rapports d’activité du fonds, qui ne sont d’ailleurs pas disponibles sur Internet. Cet acteur majeur du financement du développement économique du pays ne dispose pas encore de site web.
Mais, ce qui montre réellement que ce dernier manque de visibilité, c’est que 45% de ses interventions sont faites sous forme de subventions.
Et la primauté des subventions sur les autres modes de financements rémunérateurs, comme les prises de participations et les avances et prêts remboursables, indique qu’il roule, en grande partie, à fonds perdus.

[auscasa]

le TGV c'est une idee de ghalab quand il etait president de l'ONCF au temp de hassan 2.

ces ingenieur comme ghalab et autre savent ce qu'ils font, ils sont pas stupide.

ils vont construire les nouvelles ligne en ligne LGV et pas plus,parceque sa coute juste 30% plus que les lignes normal.

je vous donne un exemple, une ligne d'un peus plus de 100km entre nador et taourirte a coute 300 million d'euro pour une seul ligne non electrifier et qui transportera 600 000 clients.

entre tanger est casablanca ils ont besoin de transporter 6 million de nouveau client, vous imagigner faire des nouvelles ligne qui couterons 30% de moin et qui transporterons pas plus de 2 million ou juste 1/3 de ce que transportera le TGV ? .

le maroc a investit beacoup plus de 4 milliard de dollars dans les 10 derniere annee pour renover les trains et gares et c'est le temp de passer a la vitesse superieur.

et je crois que c'est pas avec des trains a vapeur qu'on va arriver au niveau d'un petit pays comme la belgic qui transporte plus de 600 million chaque anne sur son reseau.

[samarkand777]

yakouren c'est vrai cette histoire de priere pour la pluie de hassan 2 ??

ca m'etonnerait pas de lui tient pour faire croire au peuple que ca vient de lui

[auscasa]

l'etat marocain n'aide qu'au debut, pour aider les groupes public "oncf" "RAM" "autoroute du maroc" .......

l'ONCF peut payer ces credits sans probleme, comme autoroute du maroc au debut.

ONCF a fait un chifre d'affaire de 300 million d'euro l'anne derniere, alors d'ici 2015 ce chiffre sera au min a 500 million d'euro d'ici le lancement du TGV.