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Attijariwafabank réalise en 2010 un bilan de 306,7 milliards de DH

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    Jusqu'à quand la Banque centrale volera-t-elle au secours des banques ?

    Avec un coefficient d'emploi de ressources de 92%, le secteur est au bord de l'asphyxie.
    Les dépôts évoluent moins vite que les crédits et la détérioration des comptes extérieurs est venue aggraver la situation
    Obligations subordonnées, certificats de dépôt, titrisation…, la sortie du schéma classique de refinancement est inévitable.

    Les banques peuvent souffler ! Elles viennent de recevoir une énième bouffée d’oxygène qui vaut 9 milliards de DH ! C’est le montant libéré, c’est-à-dire en mesure d’être transformé en crédit, suite à la baisse du taux de la réserve monétaire qui est passé de 8% à 6% décidée par Bank Al Maghrib, lors de la dernière réunion de son conseil tenue le 30 mars. Cette mesure, entrée en vigueur le 1er avril, est la troisième du genre prise en moins d’une année pour venir en aide à un marché dont la sous-liquidité menace d’asphyxier le financement de l’économie. Le taux avait été ramené de 15% à 12% en janvier 2009 avant de fléchir de 2 points successivement le 1er juillet 2009 et trois mois plus tard (voir graphe ci-contre sur l’évolution du taux depuis 1990). C’est dire que la pression est grande, et, à chaque conseil de BAM, on s’attend à une nouvelle décision. Et pourtant, depuis plusieurs mois, la Banque centrale injecte, en moyenne hebdomadaire, 19 milliards de DH sur le marché monétaire par le biais des appels d’offres alors que le montant demandé dépasse allègrement 30 milliards. La persistance de cette situation tient au fait que le coefficient d’emplois de ressources du secteur a atteint 92% en janvier 2010, soit près de 5 points de plus par rapport à l’égale période de l’année précédente. En comptant la réserve obligatoire, il ne reste plus de marge. Evidemment, cette situation n’est pas statique : la situation de trésorerie évolue au jour le jour en fonction des recouvrements et de l’évolution de la collecte des ressources.
    Or, c’est justement à ce niveau que pèchent les banques. Depuis presque deux ans, les dépôts de la clientèle, qui en constituent l’essentiel, évoluent mollement, alors que, même s’il a beaucoup ralenti, le rythme de progression des crédits reste soutenu. A fin janvier, les dépôts de la clientèle avaient crû de 1,43% par rapport au mois précédent, à 581 milliards de DH. En glissement annuel, ils n’avaient cependant progressé que de 4,53%, alors que la demande de crédit s’était appréciée de 11,6%. Précisons-le, tous les établissements ne sont pas logés à la même enseigne; certains sont beaucoup plus à l’aise que d’autres, mais en l’état actuel de la situation, tous risquent de se retrouver à moyen terme face au même obstacle.

    Le financement du Trésor en dirham réduit le potentiel de ressources
    Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé que les banques n’ont pas pu mobiliser suffisamment de ressources auprès de la clientèle. Si l’on y ajoute les comptes chèques postaux (CCP) et ceux de Caisse d’épargne nationale (CEN), le taux de bancarisation dépasse 40% contre 30% environ cinq ans plus tôt. Des investissements importants ont été réalisés pour recruter de nouveaux clients. Rien qu’en 2009, 400 nouvelles agences ont été ouvertes, pour atteindre un ratio d’une agence pour 9 000 habitants. Le secteur essaie, même de manière concomitante, de séduire la catégorie de la population encore en dehors du système avec son tout nouveau Low Income Banking. Dans l’ensemble, le revenu national brut disponible croît régulièrement à une cadence plus élevée (+7,5% en 2007 et +11,2% en 2008) que le taux d’accroissement naturel de la population qui est de l’ordre de 14 pour mille. Le problème est que la propension à consommer reste scotchée autour de 71% (55% pour les ménages et 16% pour les administrations) et le taux d’épargne en dessous de 30%. Cette situation n’est pas nouvelle. On peut même avancer, sans risque d’être contredit, que l’économie s’en sort mieux qu’il y a dix ans et plus, quand le crédit était carrément rationné.
    De fait, la faible progression des dépôts est davantage expliquée par des facteurs externes que l’on retrouve, entre autres, au niveau de la balance courante déficitaire de l’ordre de 36 milliards de DH en 2008 et 2009 (voir page 28). Par poste, il y a d’abord le tassement des transferts des Marocains résidents à l’étranger (MRE) qui sont recyclés en grande partie en dépôts à terme ou en comptes d’épargne. Ensuite, le déficit de la balance commerciale qui s’est creusé au cours des dernières années se traduit par une dépréciation des ressources bancaires potentielles. A ce propos, un ancien directeur de salle des marchés d’une banque de la place souligne qu’il était possible, il y a deux ou trois ans, de financer les importations en empruntant en devises et de rembourser une fois les recettes d’exportation récoltées. Cette pratique qui avait un impact quasi nul sur la structure des dépôts et des crédits est maintenant beaucoup plus difficile parce que les banques occidentales ont également des soucis de trésorerie.
    Autres facteurs invoqués, l’augmentation progressive des dotations voyages, le repli des recettes voyages consécutif à la morosité de l’économie mondiale et, dans une certaine mesure, la hausse des rapatriements des dividendes des investisseurs étrangers et/ou des désinvestissements. La même source conclut que le manque de liquidité persistera tant que la balance courante sera déséquilibrée. Elle ajoute un autre élément que beaucoup ne soupçonnaient pas : le choix du Trésor, depuis quelques années, de privilégier le financement en dirham. Ici, il n’est pas question d’effet d’éviction, l’idée est que les devises empruntées sur le marché international se retrouveraient dans le circuit financier et, par conséquent, iraient gonfler, pour un moment, les ressources bancaires.
    Aujourd’hui, il est pourtant peu probable que Bank Al Maghrib, soucieux de la stabilité des prix, consent à nouveau à raboter le taux de la réserve monétaire. La grande équation est qu’il faudra bien trouver les moyens de financer l’économie.

    Une alternative : lever des fonds à travers les certificats de dépôt et les obligations
    L’équation est d’autant plus corsée qu’en face des crédits dont la durée s’allonge significativement (financement des gros investissements et de l’immobilier) les banques marocaines ne disposent que de ressources à court terme contrairement à leurs homologues européennes qui peuvent s’appuyer, notamment, sur les obligations foncières ou les plans d’épargne logement. Une alternative consiste donc à lever des fonds à travers l’émission de certificats de dépôt et ou d’obligations subordonnées. Mais pour ce faire, il faudra forcément densifier les fonds propres qui conditionnent la capacité d’endettement et, dans l’autre sens, celle de pouvoir consentir des crédits à l’aise en respectant les normes prudentielles, en particulier le ratio Mc Donough (anciennement appelé ratio Cooke) qui est de 8% (fonds propres rapportés aux engagements pondérés en fonction du niveau de risque). Ceci passe nécessairement par une augmentation de capital par apport en argent frais ou par une répartition moins généreuse des dividendes.
    A cet égard, notons que le taux de distribution des banques cotées se situe à 43,5% en 2008 et 2009, soit 2,37 et 2,56 milliards de DH pour les actionnaires. Il est certes légitime de profiter de ses placements, mais dans le contexte actuel un petit sacrifice permettrait de repartir sur des bases plus saines. A moins que les entreprises veuillent bien se financer directement sur le marché à travers les appels publics à l’épargne.



    Comparaison : Réserve monétaire, quel taux standard ?


    La réserve obligatoire est un instrument de politique monétaire. Les autorités monétaires font varier le taux en fonction de leur volonté à limiter ou non l'expansion du crédit et par extension pour réguler l'évolution des prix. Par exemple, au Maroc, si une banque collecte 100 DH en ressources, elle doit en déposer 6 à Bank Al Maghrib. Ce calcul est purement schématique parce que toutes les ressources ne sont pas prises en compte dans le calcul. Dans la zone euro, il s'agit des dépôts, de titres de créance et instruments du marché monétaire, dont les échéances sont inférieures à deux ans. En outre, il n'y a pas de taux standard unanimement appliqué à travers le monde. Chaque système monétaire agit en fonction de sa politique économique. Dans la zone euro, le taux de cette réserve obligatoire est de 2% depuis février 2010. En Chine, après avoir été relevé à 11% en décembre 2009, il est passé à 12% à fin février dernier.
    Les sommes déposées peuvent être rémunérées ou non selon les pays. Au Maroc, le taux d'intérêt servi est de 0,75%. Bank Al Maghrib n'a commencé à rémunérer ces dépôts que depuis décembre 2002, en commençant par 0,50% avant de remonter à son niveau actuel en septembre de l'année suivante. Dans la zone euro, ces réserves obligatoires sont rémunérées à un niveau correspondant à la moyenne du taux d'intérêt marginal des opérations principales de refinancement de l'Eurosystème, soit 1% en début d'année.


    La vie Eco
    A.D.N
    12-04-2010
    Dernière modification par absent, 10 mars 2011, 16h29.

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    • signe de vitalité parce qu’un tel niveau d’intervention dénote qu’elles s’y mettent à fond pour financer l’économie
      je savais que t'allais développer ce point pour faire un argument stupide ...

      Commentaire


      • cultive toi
        Ah Ah tu es marrant quand on dit qu'un coefficient d'emplois plus important et une cause du manque de liquidité. On évite de parler de culture financière.

        _ Le manque de liquidité est dû à la baisse des taux d'intérêts, qui favorise le crédit et au dynamisme économique.

        _ Et à une bancarisation des particuliers qui monte lentement,

        _ Et par conséquence à une moins importante concentration de l'épargne.

        C'est pour cette raison que les banques marocaines on fortement recourt au financement par la bourse de casablanca en émettant des obligations et en investissant sur le marché boursier.

        Donc on en revient a ma remarque et à celle d'Atlantic: En disant qu'avant d'émettre des critiques sur les intérêts et les charges de financement d'une banque ou d'une autre on se renseigne au moins un minimum sur l'origine et la nature des financement et celle des charges d'intérêts qui s'y rapporte.

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        • je savais que t'allais développer ce point pour faire un argument stupide ...
          Cne si tu ne sais pas lire le français je peux rien pour toi...

          La tendance se maintient : le coefficient d’emplois des banques augmente au fil des mois. A la fin du premier trimestre, il est de 92,6% contre 91,77% en janvier et 90% en décembre. C’est certainement un signe de vitalité parce qu’un tel niveau d’intervention dénote qu’elles s’y mettent à fond pour financer l’économie. Mais eu égard à l’évolution de l’activité, il est clair qu’il va falloir activer des leviers autres que la réserve monétaire pour résoudre le problème de liquidité dont souffre le secteur. A l’évidence, le secteur a besoin d’argent frais pour être bien à l’aise. Les banques expriment en effet une grande peine à en mobiliser. Sur les trois premiers mois de l’année, les dépôts de la clientèle qui constituent l’essentiel des ressources ont quasiment stagné par rapport au mois précédent.
          _ C'est la forte demande de financement qui crée la raréfication des billets de banques donc stp arrête avec tes théories économiques algériennes.

          Envoyé par Article Cne
          La persistance de cette situation tient au fait que le coefficient d’emplois de ressources du secteur a atteint 92% en janvier 2010, soit près de 5 points de plus par rapport à l’égale période de l’année précédente. En comptant la réserve obligatoire, il ne reste plus de marge.
          Donc c'est bien ce que je te disais "à cause" d'une ou "du fait" d'une forte demande de crédit l'économie financière surchauffe à cause d'une forte vitalité économique.

          La cause ---------------------------------------> Conséquence

          Forte demande de crédit -----------------------> Manque de liquidité


          Envoyé par Bêtise de CNE
          Ya 7mar, les banques marocaines ont un coefficient d'emplois plus important à cause du manque de liquidité,
          Le manque de liquidité peut avoir plusieurs sources dans une économie, en plus de ça le coefficient d'emploi est un instrument de mesure de l'utilisation dépôt dans les crédits. Au Maroc la forte demande de crédit entraine l'augmentation du taux d'emploi cette forte demande de crédit conjugué à une épargne en progression lente entraine un manque de liquidité.
          Dernière modification par Black, 10 mars 2011, 16h47.

          Commentaire


          • wejhel qasse7

            voilà ce qui signifie pour toi un bon coefficient d'emplois
            Regarde ce qu'il ose écrire Ce Nul en Economie: Selon lui une banque qui optimise au mieux ces ressources et ses investissements c'est à dire qui dispose d'un bon coefficient d'emploi entre les dépôts et les crédits et le signe d'une banque qui manque de liquidité. Plus nul que ça tu te suicide...
            _ Le bon coefficient d'emploi n'est pas une conséquence du manque de liquidité...

            _ Le bon coefficient est une conséquence des demandes de crédit soutenues car l'économie en demande.
            le bon coefficient d'emploi c'est un bon indicateur sur la bonne santé des banques marocaines?

            la bonne santé des banques

            _ Et le coefficient d'emploi marocain permet grâce à la demande de crédit de répondre en partie au manque de liquidité.
            donc le coefficient est élevé pour répondre au manque de liquidité, donc on est d'accord

            Commentaire


            • le Net operating income de la NBE (Egypte) est de 11061 milles pounds ou 1.85 millirads $

              le Income from operations de la Firstrand est de 35 665 mille millions R ou 5 milliards $
              C'est différent entre eux et c est vraiment pas la même chose que le PNB. Ca ne recouvre pas les mêmes éléments.

              En plus du fait que firstranda une trs rande activité assurance que les autres n'ont pas

              Commentaire


              • Envoyé par cne
                Ya 7mar, les banques marocaines ont un coefficient d'emplois plus important à cause du manque de liquidité,
                Le coefficient d'emploi est important à cause de la demande de crédit et non à cause du manque de liquidité. Le coefficient d'emploi n'est qu'un outil de calcul pauvre clown.

                Commentaire


                • Le coefficient d'emploi est important à cause de la demande de crédit et non à cause du manque de liquidité. Le coefficient d'emploi n'est qu'un outil de calcul pauvre clown.
                  le bon coéfficient d'emploi est du à la faiblesse de l'évolution dés dépots, il y a moins de dépot que ce que l'économie en a besoin. plus les dépots sont importants plus la liquidité est grande moins le coéfficient d'emploi est bon . et vice vers ça, moins les dépots des clients sont importants, plus la liquidité est petite plus le coéfficient d'emplois est important ou bon comme tu veux

                  passons aux gens intelligents

                  Atlantic

                  C'est différent entre eux et c est vraiment pas la même chose que le PNB. Ca ne recouvre pas les mêmes éléments.
                  pour la firstrand peut etre, le compte de résultat n'est pas détaillé.

                  mais pour la NBE je suis pas sûr mais je crois qu'il s'agit du PNB. si ttu n'as pas remarqué le Net operating income vient just avant les charge générales et administratives et c'est la définition du PNB ...
                  http://www.nbe.com.eg/pdf/english/An...ort%202008.pdf

                  En plus du fait que firstranda une trs rande activité assurance que les autres n'ont pas
                  les activités assurance et de marché entrent dans le calcules du PNB. le PNB de Firstrand devreit logiquement et dde loin etre plus important que ce lui de Attijari, t'es d'accord avec moi?

                  Commentaire


                  • Cne le coefficient d'emploi et marocain et élevé car c'est du au dynamisme économique c'est écrit dans ton propre article:

                    La tendance se maintient : le coefficient d’emplois des banques augmente au fil des mois. A la fin du premier trimestre, il est de 92,6% contre 91,77% en janvier et 90% en décembre. C’est certainement un signe de vitalité parce qu’un tel niveau d’intervention dénote qu’elles s’y mettent à fond pour financer l’économie. Mais eu égard à l’évolution de l’activité, il est clair qu’il va falloir activer des leviers autres que la réserve monétaire pour résoudre le problème de liquidité dont souffre le secteur. A l’évidence, le secteur a besoin d’argent frais pour être bien à l’aise. Les banques expriment en effet une grande peine à en mobiliser. Sur les trois premiers mois de l’année, les dépôts de la clientèle qui constituent l’essentiel des ressources ont quasiment stagné par rapport au mois précédent.
                    Je sais que ça te fait mal . Je te l'ai déjà dit lit l'article entièrement avant de le poster c'est comme pour les dates des rapports tu fanfaronnais tellement à l'idée de vouloir nous dire que depuis 4 jours tu sais que les chiffres le collait pas. Mais tu n'as même pas était capable de lire une date correctement.

                    Pour ce qui est de l'épargne marocaine elle dépasse largement l'épargne algérienne et elle fait la moitié de l'épargne égyptienne qui est un pays de 80 millions d'habitant.

                    L'épargne marocaine monte lentement mais surement de plus avec le développement des réseaux bancaires marocains l'épargne va obligatoirement monter.

                    Alors c'est quand que tu lances ta pétitions contre les banques marocaines qui facture peut d'intérêts et qui se plient en 4 pour financer l'économie marocaine... Ce Nul en Economie veut lancer une guerre contre les banques marocaines . A mourir de rire....

                    http://www.lavieeco.com/images_princ...rub_17623.jpeg

                    Maroc 32 000 000 d'habitants ------- ressources 878,4 milliards ---- 27 450 DH/habitants
                    Egypte 80 000 000 d'habitants ------ ressources 1 623,7 milliards ---- 20 296.25 DH/habitants
                    Tunisie 10 600 000 habitants -------- ressources 230.4 milliards ---- 21 735.84 DH/habitants
                    Jordanie 6 200 000 habitants -------- ressources 240.9 milliards ---- 38 854.83 DH/habitants

                    Dans toute la région l'épargne au Maroc est de loin la plus importante après la Jordanie.

                    Donc encore une fois tes mythos tombe à l'eau, le manque de liquidité et principalement du au dynamisme du crédit.
                    Dernière modification par Black, 11 mars 2011, 09h19.

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                    • Cne le coefficient d'emploi et marocain et élevé car c'est du au dynamisme économique c'est écrit dans ton propre article:
                      tu ne fais que t'accrocher au vide pour survivre, il est claire que t'es complètement dépassé ...

                      il y a certes une dynamique économique personne ne l'a contesté, le sujet c'est la situation des banques pas toute l'économie marocaine ya 7abess

                      la dynamique économique crée de la richesse, mais une partie des richesses créee et qui a été financée par les banque sous forme de crédits reste hors du circuit bancaire, elle ne revient pas aux banques sous forme de dépôts, et ça met les banques dans situation de manque de liquidité, pour y faire face les banques sont obligées de prendre un grand risque d'augmenter le coefficient d'emplois ...

                      dynamique économique =====> création de richesse =====> evasion de capitaux, fraudes ..etc ========> faible évolution des dépôts =====> manque de liquidité =====> coefficient d'emploi trop élevé=====> banque asphyxiées =====> intervention de la banque centrale pour injecter plus d'argent

                      je sais que tu ne vas rien comprendre

                      Pour ce qui est de l'épargne marocaine elle dépasse largement l'épargne algérienne et elle fait la moitié de l'épargne égyptienne qui est un pays de 80 millions d'habitant.
                      dans les dépots de clients, il y l’épargne ou les dépôts à vue rémunérés et les dépôts à vu non rémunérés (compte courant) ces derniers contituent la plus grande partie des dépôts ...

                      en fait tu ne sais rien sur le système bancaire, mais tu continue à parler, tu ne sais pas ce que c'est que un PNB, tu confond charges d'exploitation bancaire et charge d'exploitation générale, tu confonds chiffre d'affaire et total de bilan, tu ne sais pas pourquoi on classe les entreprises par leurs totaux de bilan, tu confonds épargne et dépots de clients ... dis moi qu'est ce que tu sais?
                      Dernière modification par absent, 11 mars 2011, 11h00.

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                      • il y a certes une dynamique économique personne ne l'a contesté, le sujet c'est la situation des banques pas toute l'économie marocaine ya 7abess
                        Pourtant ce n'est pas ce que tu dis ici:

                        Envoyé par
                        Envoyé par [B
                        Bêtise de CNE[/B]]Ya 7mar, les banques marocaines ont un coefficient d'emplois plus important à cause du manque de liquidité,

                        Je me régale quand tu te contredit et que tu changes de version en 2 secondes.

                        Donc pour résumé tu es enfin d'accord qu'il y a un dynamisme économique tu ne le ni pas.

                        Ce dynamisme entraine une forte demande de crédit grâce à des taux d'intérêts raisonnables qui oblige les banques à mobiliser un plus grand pourcentage de ressource ce qui fait augmenter le taux d'emploi des dépôts sur les crédits, malgré que que le pays dispose d'une des épargnes les plus importantes de la région il existe un phénomène de manque de liquidité c'est pour cette raison que les banques marocaines investissent beaucoup dans l'extension de leurs réseaux respectifs par exemple Attijari a attiré plus de 300 000 clients en 2010.

                        la dynamique économique crée de la richesse, mais une partie des richesses créee et qui a été financée par les banque sous forme de crédits reste hors du circuit bancaire, elle ne revient pas aux banques sous forme de dépôts, et ça met les banques dans situation de manque de liquidité, pour y faire face les banques sont obligées de prendre un grand risque d'augmenter le coefficient d'emplois ...

                        dynamique économique =====> création de richesse =====> evasion de capitaux, fraudes ..etc ========> faible évolution des dépôts =====> manque de liquidité =====> coefficient d'emploi trop élevé=====> banque asphyxiées =====> intervention de la banque centrale pour injecter plus d'argent

                        je sais que tu ne vas rien comprendre
                        Tu as un gros de grave problème de compréhension causale, tu ne sais pas faire la différence entre la cause et les effets. La cause du manque de liquidite c'est la forte demande de crédit et la progression faible de l'épargne Le coefficient d'emploi n'est qu'un instrument de mesure dire.

                        dans les dépots de clients, il y l’épargne ou les dépôts à vue rémunérés et les dépôts à vu non rémunérés (compte courant) ces derniers contituent la plus grande partie des dépôts ...
                        Ghoul wallah... Eht Ce Nul en Economie tu sais aussi que 1+1=2

                        Wallah arrête d'écrire des banalités comme ça tu te tapes la honte tout seul sans l'aide de personne.

                        Mais bon quand ne sait pas faire la différence entre cause et effet et qu'on écrit des choses comme ça:

                        Envoyé par [B
                        Bêtise de CNE[/B]]Ya 7mar, les banques marocaines ont un coefficient d'emplois plus important à cause du manque de liquidité,
                        Tient encore une des tes mythos qui tombe à l'eau....

                        http://www.lavieeco.com/images_princ...rub_17623.jpeg

                        Maroc 32 000 000 d'habitants ------- ressources 878,4 milliards ---- 27 450 DH/habitants
                        Egypte 80 000 000 d'habitants ------ ressources 1 623,7 milliards ---- 20 296.25 DH/habitants
                        Tunisie 10 600 000 habitants -------- ressources 230.4 milliards ---- 21 735.84 DH/habitants
                        Jordanie 6 200 000 habitants -------- ressources 240.9 milliards ---- 38 854.83 DH/habitants

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                        • Citation:
                          il y a certes une dynamique économique personne ne l'a contesté, le sujet c'est la situation des banques pas toute l'économie marocaine ya 7abess
                          Pourtant ce n'est pas ce que tu dis ici:

                          Envoyé par
                          Citation:
                          Envoyé par [B
                          Bêtise de CNE
                          [/B]]Ya 7mar, les banques marocaines ont un coefficient d'emplois plus important à cause du manque de liquidité,
                          Je me régale quand tu te contredit et que tu changes de version en 2 secondes.
                          ou est ce que j'ai contesté le dynamisme de l'économie marocaine ? maintetnnt tu confonds manque de liquidité et une économie dynamique de mieux en mieux wellah la liste ne fait que s'allonger ...

                          résumons, tu ne sais pas ce que c'est que un PNB, tu confond charges d'exploitation bancaire et charge d'exploitation générale, tu confonds chiffre d'affaire et total de bilan, tu ne sais pas pourquoi on classe les entreprises par leurs totaux de bilan, tu confonds épargne et dépots de clients, et tu confonds manque de liquidité des banque et dynamique économique ... dis moi qu'est ce que tu sais?

                          Ce dynamisme entraine une forte demande de crédit grâce à des taux d'intérêts raisonnables qui oblige les banques à mobiliser un plus grand pourcentage de ressource ce qui fait augmenter le taux d'emploi des dépôts sur les crédits, malgré que que le pays dispose d'une des épargnes les plus importantes de la région il existe un phénomène de manque de liquidité c'est pour cette raison que les banques marocaines investissent beaucoup dans l'extension de leurs réseaux respectifs par exemple Attijari a attiré plus de 300 000 clients en 2010.
                          tu commence à comprendre très bien continue dans cette voie, avant c'etait un bon coefficient, maintenant les banques sont obligées . ce que tu dis est juste sauf que les dépôts de clients ne concerne pas seulement l'épargne mais aussi les dépôts non rémunérés ...

                          Tu as un gros de grave problème de compréhension causale, tu ne sais pas faire la différence entre la cause et les effets. La cause du manque de liquidite c'est la forte demande de crédit et la progression faible de l'épargne Le coefficient d'emploi n'est qu'un instrument de mesure dire.
                          ça t’échappe parce que ça fonctionne en cercle, c'est une boucle où l'intervention de la banque centrale fait que cette dernière ne soit brisée, sans l'intervention de la banque centrale le système bancaire ne peut pas assurer le financement de l'économie ...

                          dynamique économique =====> augmentation de crédit =====>création de richesse =====> evasion de capitaux, fraudes ..etc ========> faible évolution des dépôts =====> manque de liquidité =====> utilisation excessive des dépôts de clients disponibles donc coefficient d'emploi trop élevé =====> manque de liquidités =====> banque asphyxiées =====> intervention de la banque centrale pour injecter plus d'argent =====> dynamique économique =====> augmentation de crédit =====>création de richesse =====> evasion de capitaux, fraudes ..etc ========> faible évolution des dépôts =====> manque de liquidité =====> coefficient d'emploi trop élevé=====>manque de liquidités =====> banque asphyxiées =====> intervention de la banque centrale pour injecter plus d'argent ....etc

                          l'argent qui sort de la banque doit revenir à la banque sinon il y aura manque de liquidité et là les banques seront obligées d'augmenter le coefficient d'emploi en utilisant la totalité des dépôts, ce qui entraînera lui même un manque de liquidité c'est ce qu'on appelle une boucle de rétroaction, je sens que tu vas te perdre encore une fois ...
                          Dernière modification par absent, 11 mars 2011, 13h57.

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                          • apprends à lire ...

                            Jusqu'à quand la Banque centrale volera-t-elle au secours des banques ?

                            Avec un coefficient d'emploi de ressources de 92%, le secteur est au bord de l'asphyxie.
                            Les dépôts évoluent moins vite que les crédits et la détérioration des comptes extérieurs est venue aggraver la situation
                            Obligations subordonnées, certificats de dépôt, titrisation…, la sortie du schéma classique de refinancement est inévitable.

                            Les banques peuvent souffler ! Elles viennent de recevoir une énième bouffée d’oxygène qui vaut 9 milliards de DH ! C’est le montant libéré, c’est-à-dire en mesure d’être transformé en crédit, suite à la baisse du taux de la réserve monétaire qui est passé de 8% à 6% décidée par Bank Al Maghrib, lors de la dernière réunion de son conseil tenue le 30 mars. Cette mesure, entrée en vigueur le 1er avril, est la troisième du genre prise en moins d’une année pour venir en aide à un marché dont la sous-liquidité menace d’asphyxier le financement de l’économie. Le taux avait été ramené de 15% à 12% en janvier 2009 avant de fléchir de 2 points successivement le 1er juillet 2009 et trois mois plus tard (voir graphe ci-contre sur l’évolution du taux depuis 1990). C’est dire que la pression est grande, et, à chaque conseil de BAM, on s’attend à une nouvelle décision. Et pourtant, depuis plusieurs mois, la Banque centrale injecte, en moyenne hebdomadaire, 19 milliards de DH sur le marché monétaire par le biais des appels d’offres alors que le montant demandé dépasse allègrement 30 milliards. La persistance de cette situation tient au fait que le coefficient d’emplois de ressources du secteur a atteint 92% en janvier 2010, soit près de 5 points de plus par rapport à l’égale période de l’année précédente. En comptant la réserve obligatoire, il ne reste plus de marge. Evidemment, cette situation n’est pas statique : la situation de trésorerie évolue au jour le jour en fonction des recouvrements et de l’évolution de la collecte des ressources.
                            Or, c’est justement à ce niveau que pèchent les banques. Depuis presque deux ans, les dépôts de la clientèle, qui en constituent l’essentiel, évoluent mollement, alors que, même s’il a beaucoup ralenti, le rythme de progression des crédits reste soutenu. A fin janvier, les dépôts de la clientèle avaient crû de 1,43% par rapport au mois précédent, à 581 milliards de DH. En glissement annuel, ils n’avaient cependant progressé que de 4,53%, alors que la demande de crédit s’était appréciée de 11,6%. Précisons-le, tous les établissements ne sont pas logés à la même enseigne; certains sont beaucoup plus à l’aise que d’autres, mais en l’état actuel de la situation, tous risquent de se retrouver à moyen terme face au même obstacle.

                            Le financement du Trésor en dirham réduit le potentiel de ressources
                            Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé que les banques n’ont pas pu mobiliser suffisamment de ressources auprès de la clientèle. Si l’on y ajoute les comptes chèques postaux (CCP) et ceux de Caisse d’épargne nationale (CEN), le taux de bancarisation dépasse 40% contre 30% environ cinq ans plus tôt. Des investissements importants ont été réalisés pour recruter de nouveaux clients. Rien qu’en 2009, 400 nouvelles agences ont été ouvertes, pour atteindre un ratio d’une agence pour 9 000 habitants. Le secteur essaie, même de manière concomitante, de séduire la catégorie de la population encore en dehors du système avec son tout nouveau Low Income Banking. Dans l’ensemble, le revenu national brut disponible croît régulièrement à une cadence plus élevée (+7,5% en 2007 et +11,2% en 2008) que le taux d’accroissement naturel de la population qui est de l’ordre de 14 pour mille. Le problème est que la propension à consommer reste scotchée autour de 71% (55% pour les ménages et 16% pour les administrations) et le taux d’épargne en dessous de 30%. Cette situation n’est pas nouvelle. On peut même avancer, sans risque d’être contredit, que l’économie s’en sort mieux qu’il y a dix ans et plus, quand le crédit était carrément rationné.
                            De fait, la faible progression des dépôts est davantage expliquée par des facteurs externes que l’on retrouve, entre autres, au niveau de la balance courante déficitaire de l’ordre de 36 milliards de DH en 2008 et 2009 (voir page 28). Par poste, il y a d’abord le tassement des transferts des Marocains résidents à l’étranger (MRE) qui sont recyclés en grande partie en dépôts à terme ou en comptes d’épargne. Ensuite, le déficit de la balance commerciale qui s’est creusé au cours des dernières années se traduit par une dépréciation des ressources bancaires potentielles. A ce propos, un ancien directeur de salle des marchés d’une banque de la place souligne qu’il était possible, il y a deux ou trois ans, de financer les importations en empruntant en devises et de rembourser une fois les recettes d’exportation récoltées. Cette pratique qui avait un impact quasi nul sur la structure des dépôts et des crédits est maintenant beaucoup plus difficile parce que les banques occidentales ont également des soucis de trésorerie.
                            Autres facteurs invoqués, l’augmentation progressive des dotations voyages, le repli des recettes voyages consécutif à la morosité de l’économie mondiale et, dans une certaine mesure, la hausse des rapatriements des dividendes des investisseurs étrangers et/ou des désinvestissements. La même source conclut que le manque de liquidité persistera tant que la balance courante sera déséquilibrée. Elle ajoute un autre élément que beaucoup ne soupçonnaient pas : le choix du Trésor, depuis quelques années, de privilégier le financement en dirham. Ici, il n’est pas question d’effet d’éviction, l’idée est que les devises empruntées sur le marché international se retrouveraient dans le circuit financier et, par conséquent, iraient gonfler, pour un moment, les ressources bancaires.
                            Aujourd’hui, il est pourtant peu probable que Bank Al Maghrib, soucieux de la stabilité des prix, consent à nouveau à raboter le taux de la réserve monétaire. La grande équation est qu’il faudra bien trouver les moyens de financer l’économie.

                            Une alternative : lever des fonds à travers les certificats de dépôt et les obligations
                            L’équation est d’autant plus corsée qu’en face des crédits dont la durée s’allonge significativement (financement des gros investissements et de l’immobilier) les banques marocaines ne disposent que de ressources à court terme contrairement à leurs homologues européennes qui peuvent s’appuyer, notamment, sur les obligations foncières ou les plans d’épargne logement. Une alternative consiste donc à lever des fonds à travers l’émission de certificats de dépôt et ou d’obligations subordonnées. Mais pour ce faire, il faudra forcément densifier les fonds propres qui conditionnent la capacité d’endettement et, dans l’autre sens, celle de pouvoir consentir des crédits à l’aise en respectant les normes prudentielles, en particulier le ratio Mc Donough (anciennement appelé ratio Cooke) qui est de 8% (fonds propres rapportés aux engagements pondérés en fonction du niveau de risque). Ceci passe nécessairement par une augmentation de capital par apport en argent frais ou par une répartition moins généreuse des dividendes.
                            A cet égard, notons que le taux de distribution des banques cotées se situe à 43,5% en 2008 et 2009, soit 2,37 et 2,56 milliards de DH pour les actionnaires. Il est certes légitime de profiter de ses placements, mais dans le contexte actuel un petit sacrifice permettrait de repartir sur des bases plus saines. A moins que les entreprises veuillent bien se financer directement sur le marché à travers les appels publics à l’épargne.



                            Comparaison : Réserve monétaire, quel taux standard ?


                            La réserve obligatoire est un instrument de politique monétaire. Les autorités monétaires font varier le taux en fonction de leur volonté à limiter ou non l'expansion du crédit et par extension pour réguler l'évolution des prix. Par exemple, au Maroc, si une banque collecte 100 DH en ressources, elle doit en déposer 6 à Bank Al Maghrib. Ce calcul est purement schématique parce que toutes les ressources ne sont pas prises en compte dans le calcul. Dans la zone euro, il s'agit des dépôts, de titres de créance et instruments du marché monétaire, dont les échéances sont inférieures à deux ans. En outre, il n'y a pas de taux standard unanimement appliqué à travers le monde. Chaque système monétaire agit en fonction de sa politique économique. Dans la zone euro, le taux de cette réserve obligatoire est de 2% depuis février 2010. En Chine, après avoir été relevé à 11% en décembre 2009, il est passé à 12% à fin février dernier.
                            Les sommes déposées peuvent être rémunérées ou non selon les pays. Au Maroc, le taux d'intérêt servi est de 0,75%. Bank Al Maghrib n'a commencé à rémunérer ces dépôts que depuis décembre 2002, en commençant par 0,50% avant de remonter à son niveau actuel en septembre de l'année suivante. Dans la zone euro, ces réserves obligatoires sont rémunérées à un niveau correspondant à la moyenne du taux d'intérêt marginal des opérations principales de refinancement de l'Eurosystème, soit 1% en début d'année.


                            La vie Eco
                            A.D.N
                            12-04-2010

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                            • Il y a aussi le rapatriement des bénéfices des sociétés Etrangères à prendre en considération ...

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                              • Ce Nul en Economie tu es grillé avec tes mythos bye bye bye...

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