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Le projet d'une mer intérieure africaine

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  • #31
    De toute facon avant de commetre ce massacre ecologique, etes vous sur qu'on nous laissera faire, c'est le genre d'aventure qui implique l'ensemble du globe, ce n'est plus une decision souveraine, on vit au 21 eme siecle. ensuite ce bras de mer devra passer par la tunisie ou la libye, comme quoi les frontieres font bien les choses parfois.
    Ne croyez pas avoir etouffe la Casbah, Ne croyez pas batir sur nos depouilles votre nouveau monde.(Kateb Yacine)

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    • #32
      Euh...
      Ca n'est pas dangereux pour l'Algerie mais pour l'ecosysteme mediteraneen, sinon il n'y a aucune reserve a avoir ^^

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      • #33
        "Ca n'est pas dangereux pour l'Algerie mais pour l'ecosysteme mediteraneen, sinon il n'y a aucune reserve a avoir "

        Rien qu'a entendre ca, je serais deja mefiant. Ecoute Quasard, nous ne sommes pas des specialistes en la question, je pense que tu comprends que notre avis n'a pas grande importance, si ce n'est en tant que citoyen du monde. Tout projet humain implique des consequences, meme l'aspirine a des effets secondaires. La pillule contraceptive a une impact sur la nature... ou ca? au niveau de la reproduction des poissons et ca nous a pris 20 ans pour le comprendre.
        Ne croyez pas avoir etouffe la Casbah, Ne croyez pas batir sur nos depouilles votre nouveau monde.(Kateb Yacine)

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        • #34
          Pourquoi tu dis noyer, alforza
          c une goutte une surface de 8000km2
          soit 0.004% de notre territoire
          l engloutissement des terres se produit et les grolandais malgre leur effort verront une partie de leur terre en gloutie

          ensuite depuis quand le monde s occupe d ameliorer mon bien etre
          ce projet est un petrole c de l or en barre
          et quoique l on pense il est ecologique
          faut pas oublier que c un bon moyen de lutte contre la desertification
          ladesertification qui gangrene l algerie ne merite t elle une bonne contre therapie?

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          • #35
            On laissera ca aux specialistes pour ma part je ne m'y connais qu'en biologie cellulaire et en physiologie, pas assez de connaissance en biosysteme marin.

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            • #36
              Voilà j'ai écrit à l'Institut français de recherche pour l'exploitation durable de la mer(Ifremer)à ce sujet, et j'attends une réponse(mais bon pas sur qu'ils daignent me répondre ).

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              • #37
                louable initiative kuchiki
                mais il vaut mieux eloigner les scientifiques de ce projet
                iil faut associer a ce projet de grands groupes de l agro alimentaire
                des specialistes du tourisme des pros de la pisciculture
                et dans dix ans ce coin perdu et poussiereux sera un eden

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                • #38
                  louable initiative kuchiki
                  mais il vaut mieux eloigner les scientifiques de ce projet
                  iil faut associer a ce projet de grands groupes de l agro alimentaire
                  des specialistes du tourisme des pros de la pisciculture
                  et dans dix ans ce coin perdu et poussiereux sera un eden
                  Reponse :
                  C'est surtout les financiers et les economistes qu'il faudrait tenir loin de ce projet.

                  Commentaire


                  • #39
                    Voilà j'ai écrit à l'Institut français de recherche pour l'exploitation durable de la mer(Ifremer)à ce sujet, et j'attends une réponse(mais bon pas sur qu'ils daignent me répondre
                    excusez moi , ce n'est pas par nationalisme mais par souci d'ouverture. mais ne pourrait on pas avoir le réflexe de se tourner vers d'autres interlocuteurs.
                    les français nous reprochent notre immaturité de toujours les solliciter.ils on peut être raison.
                    encore une fois excusez moi de cette pollution.
                    sinon ce projet est à étudier ,peut être un point de départ de construction maghrebine ?.

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                    • #40
                      Job j'ai écrit à un institut français tout simplement parce qu'il n'y a aucun instut arabe ou africain assez compétent dans ce domaine, et que je n'ai pas encore assez de connaissances en Anglais ou en Espagnol pour écrire au grands centres anglais ou espagnol . De toute façon ils ne m'ont pas répondu alors(je leur garde un chien de ma chienne ).
                      Marin j'ai fait appel à des scientifiques pour lever pouvoir confirmer ou infirmer les craintes liée à ce sujet.

                      Commentaire


                      • #41
                        Reponse :
                        C'est surtout les financiers et les economistes qu'il faudrait tenir loin de ce projet

                        et pourkoi heliopolis????
                        c un projet qui peut creer des centaines de milliers d emploi

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                        • #42
                          Mais on peut douter de leur impartialité au sujet des risques environnementaux encourus.

                          Commentaire


                          • #43
                            mais quels sont ces dangers
                            vous etes pres a sacrifier les maldiviens
                            ou une nappe dont on voit pas la couleur
                            on parle d un equivalent de 1000 hassi messaoud a vie
                            ces craintes (phobies) doivent etre mises de cote
                            il s agit de l avenir du pays

                            Commentaire


                            • #44
                              Je préfére m'assurer qu'il n'y a aucun risque avant de me lancer dans des projets de ce genre. Parce que rappelle toi que si on détruit notre écosystéme, nous serons les premiers à en souffrir, l'économie ne doit pas passer avant notre sécurité et la santé de la terre, nous sommes responsables de la sauvegarde de la Nature et par ce fait nous devons agir en tant que personne réfléchi et non rechercher le profit de partout.

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                              • #45
                                La véritable indépendance pour toute Nation est dans sa capacité à gérer ses richesses, à optimiser ses potentialités, à diversifier ses ressources et à répondre à ses besoins essentiels. Elle doit gagner le plus grand degré d'autosuffisance, d'équilibre et de sécurité, seuls garants de son autonomie et de sa souveraineté en la préservant de toute forme de pression et de chantage.

                                Dieu le Tout Puissant a gratifié notre pays d'intarissables richesses naturelles et l'a doté de ressources humaines, en grande partie de jeunes, de compétences scientifiques et de potentialités vitales. Aussi est-il inconcevable que notre économie reste tributaire de nos seules richesses pétrolières. Il ne sied point de parler de sécurité stratégique pour notre Nation, alors que nous sommes encore dans l' incapacité d'assurer une partie importante de notre sécurité alimentaire, industrielle, culturelle, technologique ou en matière de médicaments, et encore moins lorsque nous comptons essentiellement sur l'étranger par des importations en hausse d'année en année pour lesquelles nous consacrons d'importants revenus tirées de nos exportations en pétrole et en gaz, principales ressources extérieures pour ne pas dire les seules.

                                Un développement global durable ne saurait, en aucun cas, demeurer tributaire d'une seule et unique richesse. Le succès et la pérennité de toute entreprise de développement ne saurait être lié à la fluctuation des prix des produits énergétiques sur les marchés internationaux. Nous devons préparer l'ère post-pétrole et rationaliser l'utilisation de nos richesse et potentialités dont nous disposons aujourd'hui pour assurer un lendemain meilleur aux futures générations.

                                Dans cet esprit, l'Etat a adopté des politiques d'encouragement et de diversification d'activités productives dans plusieurs secteurs en allouant d'importantes enveloppes financières au titre du programme de relance économique et du fonds d'emploi de jeunes.

                                Cependant, les résultats demeurent insatisfaisants et bien en deçà de nos ambitions et de nos capacités. Les chiffres des importations sont toujours en hausse alors que les exportations hors hydrocarbures restent figées et incapables de s'imposer dans un marché concurrentiel, ni de surmonter des contraintes bureaucratiques de structures administratives incompétentes et largement dépassées par les mutations internes et externes en cours.

                                La réduction graduelle de la dépendance des hydrocarbures s'impose mais elle ne saurait se réaliser que par l'élargissement et la diversification de la production agricole, industrielle et de services et la valorisation des activités productives seules à même de garantir la plus grande couverture possible des besoins nationaux.




                                CE PROJET MENE A BIEN NOUS ELOIGNERA INDENIABLEMENT DE LA DEPENDANCE PETROLIERE
                                YA SI EL RAISS
                                IL FAUT JOINDRE LA PAROLE AUX ACTES

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