vous tombez mal!
j y suis....c'est plein !
vous prenez vos souhaits pour des realités.....cela releve de la psych...
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Effet20février/tourisme Après les bons chiffres de janvier, le coup de froid
Publié le 2011-03-15
La destination rattrapée par l’effet du second tour du 20 février Marrakech peine à franchir les 40% d’occupation Au lendemain de la révolution de jasmin, L’Economiste relayait sur ces mêmes colonnes que les opérateurs touristiques avaient plutôt le moral et espéraient même capitaliser sur les éventuels transferts de clientèle vers la destination. Il n’en est rien. Cet enthousiasme est aujourd’hui refroidi. Tout en restant prudent sur le pronostic des mois de mars et avril. A Marrakech, Agadir, Fès, Tanger, Rabat, Casablanca, Ouarzazate, les hôteliers et agents réceptifs constatent l’effondrement. Et cela touche tous les segments du marché. Le printemps, haute saison touristique au Maroc, est d’ores et déjà compromis, selon de nombreux professionnels. Cet hôtelier casablancais dit avoir du mal à comprendre le rythme inhabituel de la lenteur des réservations alors que s’ouvre la «super haute saison». D’autant plus qu’«on n’est pas en période de vacances dans les marchés émetteurs et la saison de ski y est presque finie». Les professionnels reconnaissent, la mort dans l’âme, qu’un brusque coup de frein s’est abattu sur le secteur. On est loin des moyennes saisonnières de 60% de taux de remplissage à Marrakech.
Celui-ci tournerait autour de 40% avec un plus gros impact chez les nouveaux venus du marché, qui affichent des taux d’occupation inférieurs à 30%. Les gros des lamentations viennent des restaurateurs de la ville dont certains tourneraient le soir avec moins de 70% de leur capacité. Ils s’attendent à pire, disent-ils, car la fin de séjour à Marrakech du Souverain depuis avant-hier va replonger la ville dans la torpeur des lendemains des manifestations. La suppression de l’étape du Grand prix automobile de Marrakech de juin (faute de sponsoring) est un autre coup dur à l’industrie locale du tourisme.
© L'Economiste / 2011-03-15
Fès et les retombées de la révolution arabe
Publié le 2011-04-06
Le Conseil Régional du Tourisme de la région de Fès boulmane a enregistré une forte baisse du nombre d’arrivées des touristes à la ville spirituelle du royaume par rapport à la même période de l’an dernier. De ce fait le président du Conseil Régional du Tourisme avait annoncé lors d’une conférence de presse qu’un bon nombre d’unité de tourisme ont décidé de fermer leurs portes en raison de la crise qui traverse le secteur du tourisme à Fès depuis la fin de Décembre dernier. Il a également affirmé que les annulations qu’ont subies les unités sont dues essentiellement aux révolutions arabes, en outre à la crise économique mondiale dont les retombées commencent à se faire ressentir de plus en plus. Donc les bouleversements survenus en Egypte et à la Tunisie et contrairement aux attentes du gouvernement Marocain, n’ont pas pu faire en profiter le Maroc, mais plutôt ont fait la misère de la ville et des habitants de Fès, dont les ressources sont issues essentiellement du secteur du tourisme !
© FNT (le portail officiel de la fétderation du tourisme ) / Le 06/04/2011.
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