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L’Algérie a importé 88027 véhicules au 1er trimestre 2011

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  • samarkand777
    a répondu
    exact jijel, toutes ces importations donnent des recettes fiscales a l'état.c'est bien mieux qu'il y a 10 ans ou c'etait n'importe quoi.tout commence a se régulariser.

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  • Jijelinho
    a répondu
    comment laisse-t-on des gens voyager alors qu'ils n'ont officiellement aucun revenu
    attention, il faut bien lire l'article... qui donne des chiffres très détaillés

    seulement 4200 véhicules ont été importé par des particuliers, soit moins 5 % (avec une augmentation de 4%) le reste a été importé par des concessions et sont donc payé en da. on peut dire que la loi sur l'importation des véhicules a eu les effets escomptés, puisqu'elle a considérablement réduit cette méthode d'importation et par conséquent largement diminué le marché informel du devise

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  • zmigri
    a répondu
    Le marché automobile Algérien est trop petit, il faut un marché maghrebin et africain.
    sur un plan régional l'algerie possede un marché important. Nous devons suivre l'exemple sud'americain(brésil) par la substitution aux importations, en langage clair favoriser l'implantation de constructeurs automobile qui ont une envergure intle. Pour cela il faut un tissu industriel(le bresil l'avait) et surtout des sous traitants et des équipementiers automobile. c'est ce dernier qui manque à l'algerie.
    apres on pensera à l'exportation et à l'afrique.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Le marché automobile Algérien est trop petit, il faut un marché maghrebin et africain. Implanter un constructeur allemand, les marocains ayant renault, puis exporter nos voitures dans l'afrique entière. Nos usines honoreront les marchés sudaf, negerian, senegalais etc... ça c'est un vrai projet

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  • zmigri
    a répondu
    M. Ouafik Hadj Abderrahmane, s’est dit "heureux de constater que les choses bougent et que l’Etat algérien mène des négociations avec plusieurs constructeurs (européens)". Estimant qu’il est "plus bénéfique" pour lui de distribuer des véhicules fabriqués en Algérie,
    petit rappel historique:
    -jusqu'au debut des année 70 l'algerie avait une usine de montage de vehicules renault(dauphine et R4), lors d'un différend franco-algérien, l'Algérie a trouvé un pretexte pour un pb fiscal lui permettant "degager" renault et créer la société sonacome, en reprenant les anciennes usines Berliet.
    - la période qui a suivit on a vu l'Algérie importer des véhicules italiens(fiat 128), roumain(dacia), yougoslaves (zastava) mais en maintenant l'importation des vehicules de moins de 5 ans(commerçants) et 3 ans(pour les particuliers);
    -vient ensuite la periode du lobby des concessionnaires automobiles, pour cela il leur fallait déblayer le terrain à commencer par l'interdiction de l'importation de vehicule de moins de 3 ans et facilitant l'achat de vehicule neuf par le recours au crédit auto qui a siffonné les ressources en devises de l'état et fait exploser la facture. l'état vient ensuite en pompier pour supprimer le credit auto, instaurer une taxe...
    ... et pendant ce temps nos voisins marocains ont leur industrie automobile, avec un marché moindre, pendant que nous on supplie les industriels européens ou asiatiques a venir investir dans l'indusstrie automobile.
    mais que de temps perdu!!
    Dernière modification par zmigri, 01 mai 2011, 16h51.

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  • RoboCop
    a répondu
    Algérie : Hausse de 40% des importations de véhicules.

    La facture des importations des véhicules a augmenté en Algérie. Elle est passée de 62,4 milliards DA durant les trois premiers mois 2010 à 79,9 milliards DA durant la même période 2011, selon les chiffres provisoires du Centre national de l'informatique et des statistiques (Cnis) des Douanes.

    Selon les statistiques du CNIS, la quarantaine de concessionnaires présents en Algérie ont importé 83.746 véhicules durant les trois mois 2011, en hausse de près de 43%, pour une valeur de 74,2 milliards de DA contre 58.654 unités et une valeur de 56,3 milliards de DA à la même période 2011 en hausse.
    Après une baisse de près de 24% en 2009, qui s'explique, essentiellement par la suppression du crédit à la consommation en 2009 et les taxes introduites en 2008 par l'Algérie afin de réguler le marché de l'automobile, les importations des véhicules ont repris leur tendance haussière.
    En 2010, l'Algérie avait importé 285.337 véhicules, contre 277.881 unités en 2009, en hausse de 2,68%, due essentiellement à l'augmentation de plus de 4% des importations des concessionnaires. Toutefois la facture des importations a baissé de 5,14% passant de 285,3 milliards DA en 2009 à 270,6 milliards DA l'année écoulée.
    Pour rappel, la loi de finances complémentaire 2008 avait institué une taxe payable par les acquéreurs des véhicules neufs, qui oscille entre 50.000 et 150.000 DA en fonction de la cylindrée et la carburation du véhicule, ainsi qu'une redevance de 1% payable par les concessionnaires automobiles sur leur chiffre d'affaires annuel. Ces taxes sont destinées à soutenir les prix de transport public en commun et à réguler le marché de l'automobile en Algérie dont le parc automobile s'élève à 5,5 millions d'unités.

    Par El Watan

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  • jawzia
    a répondu
    Construction de véhicules: Les concessionnaires veulent être associés aux efforts de l’Etat
    20 Mars 2011


    Les concessionnaires algériens veulent être associés aux efforts de l’Etat pour la mise en place d’une industrie automobile en Algérie, ont-ils indiqué en marge du Salon international de l’automobile d’Alger, ouvert jeudi. Convaincus que l’Algérie est "plus que capable" de créer sa propre industrie automobile, ces concessionnaires, qui commercialisent depuis plusieurs années des voitures de différents constructeurs sur le marché national, veulent également être associés à la conception d’une stratégie nationale pour la construction de véhicules.

    Le directeur général d’un groupe franco-nippon installé en Algérie, M. Sofiane Hasnaoui, a affirmé dans une déclaration, que les distributeurs de véhicules structurés au sein de l’Association des concessionnaires automobile algériens (AC2A) "veulent rencontrer des représentants des pouvoirs publics pour discuter de la possibilité d’intégrer un schéma industriel, qui puisse être mono-marque ou multi-marque". "Nous voulons être partie prenante dans l’émergence de cette industrie nous pouvons contribuer avec les pouvoirs publics à établir une feuille de route, la plus transparente possible, pour parvenir à la développer. Nous sommes pour et nous sommes prêts à travailler de manière très énergique sur ce sujet", a-t-il expliqué.

    En fait, les concessionnaires estiment qu’ils peuvent accompagner les efforts des pouvoirs publics, et particulièrement le ministère de l’Industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement, dans l’émergence d’une industrie automobile nationale, en partenariat avec de grands constructeurs. M. Mohamed Benmeradi avait début février dernier indiqué, dans le cadre des négociations avec le constructeur français Renault, souligné que celui-ci avait ’’confirmé son intérêt à voir le taux d’intégration croître pour réduire les coûts logistiques". Le ministre avait précisé, à la veille de sa seconde rencontre à Alger avec M. J.P. Raffarin, envoyé spécial du Président Nicolas Sarkozy, que "le concours des sous-traitants nationaux est de mise, ceux existants font ressortir un potentiel industriel à l’état embryonnaire, qui nécessitera un accompagnement par des actions d’investissements supplémentaires".

    "Il ne s’agit nullement d’une simple usine de montage, mais d’un projet de fabrication automobile, qui repose sur la croissance du volume du produit localement par la joint venture’’, rappelle encore le ministre. S’agissant du rôle socio-économique des concessionnaires, M. Hasnaoui a tenu à expliquer que "la vente en l’état (de voitures) n’est pas une activité malsaine, au contraire elle permet la création d’emplois et de richesses". "Nous contribuons aussi en tant que concessionnaires à satisfaire une forte demande nationale en matière d’automobile", a-t-il ajouté. De son côté, le président d’AC2A, M. Mohamed Bairi, a estimé que le développement d’une industrie automobile passe impérativement pas l’implication de l’ensemble des acteurs dont les concessionnaires et les sous-traitants. "Toutes les conditions sont réunies pour l’émergence d’une industrie nationale de l’automobile, mais les pouvoirs publics doivent se concerter avec l’ensemble des opérateurs tels que les concessionnaires et les sous-traitants"

    "Nous ne demandons pas à prendre part aux négociations menées avec des constructeurs étrangers. Nous souhaitons seulement donner notre avis sur la façon de créer cette industrie et mettre à contribution notre expérience", a-t-il expliqué. Le représentant exclusif de plusieurs marques européennes et américaines en Algérie, M. Ouafik Hadj Abderrahmane, s’est dit "heureux de constater que les choses bougent et que l’Etat algérien mène des négociations avec plusieurs constructeurs (européens)". Estimant qu’il est "plus bénéfique" pour lui de distribuer des véhicules fabriqués en Algérie, Hadj Abderrahmane a estimé qu’"une intégration de 50% des sous-traitants locaux dés le lancement d’un projet de partenariat avec un constructeur étranger paraît impossible".

    "Il faut démarrer avec un taux d’intégration de 20 ou 25% et l’augmenter crescendo. Dans le même temps, il faudrait réaliser un travail de mise à niveau de notre tissu industriel", a-t-il ajouté. L’émergence d’une industrie automobile en Algérie ne signifie pas, selon lui, la fin de l’importation: "je suis un distributeur de véhicule capable de se faire approvisionner par des fournisseurs à l’étranger ou au niveau national (...) notre métier, c’est de vendre". Selon lui, "Renault a confirmé son intérêt à voir le taux d’intégration croître à l’effet de réduire les coûts logistiques". Pour ce faire "le concours des sous-traitants nationaux est de mise, ceux existants font ressortir un potentiel industriel à l’état embryonnaire qui nécessitera un accompagnement par des actions d’investissements supplémentaires", ajoute-t-il.

    "Il ne s’agit nullement d’une simple usine de montage, mais d’un projet de fabrication automobile, qui repose sur la croissance du volume du produit localement par la joint venture’’, rappelle encore le ministre. M. Benmeradi a indiqué par ailleurs que son département examine des offres de certains autres constructeurs européens et asiatiques, estimant qu’"il y a de la place en Algérie pour plus d’un constructeur". La 14ème édition du Salon international de l’automobile d’Alger a débuté jeudi au Palais des expositions (Pins maritimes).
    Dernière modification par jawzia, 01 mai 2011, 09h57.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Racontes-cela a ceux qui ne connaissent pas ton khortax,tu essaies de devier du sujet pour creer une polemique sur les harraga algerien,mais le sujet n'est pas les harraga,c'est economique sur l'importation des voitures,il ne faut pas noyer le poisson,restons dans le sujet,pas de faux-fuyants.
    si tu remontes au départ tu trouveras que ce n'est pas moi qui a dévié quoique ce soit.
    les harraga algeriens n'ont pas besoin de moi pour leur faire de la pub.
    Dernière modification par centripete, 01 mai 2011, 00h35.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Les harragas"Algeriens,ils sont tres minoritaires par rapport aux armees de desesperes marocains(100 mille,chaque annee,selon el Bayane,journal marocain)qui squatent l'horizon,pour une ouverture propice vers la terre iberique.Mon cher ami,l'Ahrigue,c'est une specialite maison chez vous,connue et reconnue de tous.galek 1 million de touriste
    Les champions du maghreb de hreg sont les algeriens, c'est cela qui est connu de tous.. il y aussi le fait connu que tu parles souvent en te fondant sur des balivernes, auxquelles personne n'y croit, y compris toi même, c'est une perte du temps et d’énergie l'ami, passe à autre chose, tu auras un meilleur impact.

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  • maB2rOc
    a répondu
    Si Volkswagen s'installe en Algérie (c'est un bon généraliste), là oui, nous pouvons mettre certaines barrières douanières pour favoriser l'essor de l'industrie automobile nationale. Le marché maghrebin fait que le Maroc produira les Renault, l'Algérie des voitures allemandes, on peut nous partager le marché, ensuite il y a les coréens et les japonais, ils sont stratégiques, on peut pas leur refuser l'entrée de leur véhicules, mais on peut inciter les algériens à acheter national... A mon petit avis.
    exactement

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    mes après oui , pour que les autre marque automobile n'abandonne pas le premier marché de consommateurs du Maghreb
    Si Volkswagen s'installe en Algérie (c'est un bon généraliste), là oui, nous pouvons mettre certaines barrières douanières pour favoriser l'essor de l'industrie automobile nationale. Le marché maghrebin fait que le Maroc produira les Renault, l'Algérie des voitures allemandes, on peut nous partager le marché, ensuite il y a les coréens et les japonais, ils sont stratégiques, on peut pas leur refuser l'entrée de leur véhicules, mais on peut inciter les algériens à acheter national... A mon petit avis.

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  • jawzia
    a répondu
    Le détail des ventes par constructeur (tous les constructeurs ne sont pas comptabilisés) : http://www.ac2a-dz.com/index.php?target=statistiques#

    NB : Cliquez sur un constructeur pour faire apparaitre les ventes par modèle de voiture !

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  • maB2rOc
    a répondu
    le mieux ces de promettre a l'investisseur que celui qui investira dans le pays aura exclusivité du marché en gros , état taxe les voitures importation au profit de la production national

    mais ca va venir je pense.
    inchallah
    Ils viendront, du moins si on favorise l'investissement. Aussi vaut mieux ne pas interdire le marché intérieur avant car les investisseurs ont horreur de ce type de réaction...
    mes après oui , pour que les autre marque automobile n'abandonne pas le premier marché de consommateurs du Maghreb

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  • samarkand777
    a répondu
    oui il faut laisser le marché progresser.plus il sera important,plus seront intéréssés les constructeurs.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    il faut que Algérie attire une marque automobile chez elle
    Ils viendront, du moins si on favorise l'investissement. Aussi vaut mieux ne pas interdire le marché intérieur avant car les investisseurs ont horreur de ce type de réaction...

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