elle est là la difference :
Ministre algérien de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement
Nommé le 28 mai 2010 pour succéder à Hamid Temmar, Mohamed Benmeradi a hérité du portefeuille de l’Industrie, baptisé « grand secteur malade » pour ses médiocres performances qui plombent la croissance économique de l’Algérie depuis une quinzaine d’années. « Le défi à relever n’en est que plus passionnant », assure cet Algérois de pure souche.
Né le 3 avril 1954 à Bab el-Oued dans une famille modeste (son père était chauffeur dans une entreprise d’État), Mohamed Benmeradi a fait toutes ses études dans la capitale. Bachelier à 18 ans, diplômé de l’École nationale d’administration (ENA) à 22 ans, il intègre le staff de l’Assemblée populaire nationale (APN) lors de sa première législature, en 1978. Il y rencontre Rabah Bitat, personnalité historique qui préside alors le Parlement. Très vite, il en devient l’un des principaux collaborateurs. « Travailler avec un personnage de cette envergure m’a permis d’achever mon apprentissage de commis de l’État. »
Directeur de la documentation à l’APN, il est souvent sollicité par le président de la commission finances de l’Assemblée, un certain Abdelaziz Belkhadem. Il apprécie les compétences intellectuelles et les qualités humaines de l’actuel secrétaire général du FLN. « N’y voyez aucune allusion politique, s’empresse-t-il de préciser, mon seul parti est la République. » Plutôt sédentaire, Benmeradi ne quitte l’APN qu’en 1992, quand l’Assemblée est dissoute après la victoire électorale du Front islamique du salut (FIS). Il intègre alors le cabinet du ministre des Finances, dont il devient le conseiller, puis, en 1997, il est nommé directeur général des domaines.
En 2002, les Galeries algériennes sont cédées au groupe Khalifa. L’opération est des plus transparentes, mais les démêlés judiciaires du groupe privé l’entourent de suspicions. Mohamed Benmeradi est brutalement remercié. Huit mois plus tard, Abdelaziz Bouteflika le réhabilite. Il réintègre son poste jusqu’à sa nomination au sein de l’équipe gouvernementale.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Mohamed Benmeradi | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Nommé le 28 mai 2010 pour succéder à Hamid Temmar, Mohamed Benmeradi a hérité du portefeuille de l’Industrie, baptisé « grand secteur malade » pour ses médiocres performances qui plombent la croissance économique de l’Algérie depuis une quinzaine d’années. « Le défi à relever n’en est que plus passionnant », assure cet Algérois de pure souche.
Né le 3 avril 1954 à Bab el-Oued dans une famille modeste (son père était chauffeur dans une entreprise d’État), Mohamed Benmeradi a fait toutes ses études dans la capitale. Bachelier à 18 ans, diplômé de l’École nationale d’administration (ENA) à 22 ans, il intègre le staff de l’Assemblée populaire nationale (APN) lors de sa première législature, en 1978. Il y rencontre Rabah Bitat, personnalité historique qui préside alors le Parlement. Très vite, il en devient l’un des principaux collaborateurs. « Travailler avec un personnage de cette envergure m’a permis d’achever mon apprentissage de commis de l’État. »
Directeur de la documentation à l’APN, il est souvent sollicité par le président de la commission finances de l’Assemblée, un certain Abdelaziz Belkhadem. Il apprécie les compétences intellectuelles et les qualités humaines de l’actuel secrétaire général du FLN. « N’y voyez aucune allusion politique, s’empresse-t-il de préciser, mon seul parti est la République. » Plutôt sédentaire, Benmeradi ne quitte l’APN qu’en 1992, quand l’Assemblée est dissoute après la victoire électorale du Front islamique du salut (FIS). Il intègre alors le cabinet du ministre des Finances, dont il devient le conseiller, puis, en 1997, il est nommé directeur général des domaines.
En 2002, les Galeries algériennes sont cédées au groupe Khalifa. L’opération est des plus transparentes, mais les démêlés judiciaires du groupe privé l’entourent de suspicions. Mohamed Benmeradi est brutalement remercié. Huit mois plus tard, Abdelaziz Bouteflika le réhabilite. Il réintègre son poste jusqu’à sa nomination au sein de l’équipe gouvernementale.
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Ahmed Réda Chami est né en 1961 à Casablanca. Il est l'actuel ministre marocain de l'industrie, du commerce et des nouvelles technologies.
Parcours[modifier]
Il est titulaire d'un diplôme d'ingénieur des arts et manufactures de l'École centrale Paris (1985) et d'un Master of Business Administration de la John E. Anderson Graduate School Of Management en 1989 à UCLA (Los Angeles, États-Unis).
Au cours de sa carrière, il a occupé plusieurs postes dont celui de directeur général de la Société Laitière Centrale du Nord au Maroc entre 1989 et 1991. Il a ensuite été directeur général de Microsoft North West Africa, au Maroc entre 1997 et 2001, puis Directeur régional Pays émergents, Microsoft South East Asia, à Singapour (2001-2003) et président de Microsoft South East Asia, toujours à Singapour (2003-2004). En juillet 2005, il devient directeur général du Groupe Saham, où il est responsable des services centraux et est en charge des projets de développement du Groupe et du suivi opérationnel de certaines filiales, notamment les assurances Essaada, Mondial Assistance et les filiales spécialisées dans les technologies de l'information.
Le 15 octobre 2007, il est nommé ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies sous le gouvernement Abbas El Fassi.
Membre du comité préparatoire du programme de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), il est également vice-président de l'ONG Zagoura, vice-président de Maroc 2020, et vice-président de l'association les Bonnes œuvres du cœur.
Parcours[modifier]
Il est titulaire d'un diplôme d'ingénieur des arts et manufactures de l'École centrale Paris (1985) et d'un Master of Business Administration de la John E. Anderson Graduate School Of Management en 1989 à UCLA (Los Angeles, États-Unis).
Au cours de sa carrière, il a occupé plusieurs postes dont celui de directeur général de la Société Laitière Centrale du Nord au Maroc entre 1989 et 1991. Il a ensuite été directeur général de Microsoft North West Africa, au Maroc entre 1997 et 2001, puis Directeur régional Pays émergents, Microsoft South East Asia, à Singapour (2001-2003) et président de Microsoft South East Asia, toujours à Singapour (2003-2004). En juillet 2005, il devient directeur général du Groupe Saham, où il est responsable des services centraux et est en charge des projets de développement du Groupe et du suivi opérationnel de certaines filiales, notamment les assurances Essaada, Mondial Assistance et les filiales spécialisées dans les technologies de l'information.
Le 15 octobre 2007, il est nommé ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies sous le gouvernement Abbas El Fassi.
Membre du comité préparatoire du programme de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), il est également vice-président de l'ONG Zagoura, vice-président de Maroc 2020, et vice-président de l'association les Bonnes œuvres du cœur.
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