ALGÉRIE /EAU : Réticences de mise
Gazette du Maroc
01 Mai 2006
En dépit des efforts considérables déployés par le président, Abdel Aziz Bouteflika, pour attirer les investissements émiratis, les bailleurs de fonds des Émirats demeurent réticents. Tout comme les échanges bilatéraux entre les deux pays dont les importations entre 1999 et 2006 n’ont pas dépassé les 23 millions de $ alors que les exportations ont enregistré un chiffre de 900 000 $. À la veille de la 4ème session mixte algéro-émiratie qui se tiendra les 2 et 3 mai dans la capitale algérienne, un responsable de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Dubaï, qui a préféré garder l’anonymat, a indiqué à La Gazette du Maroc que cette rencontre est pour la forme ; d’autant plus qu’il ne faut pas s’attendre à grand-chose. Car ni le climat des affaires, moins encore les opportunités, ne sont du genre à encourager les investisseurs émiratis qui sont maintenant présents dans les quatre coins du monde. Ce même responsable n’a pas hésité à dire qu’il «ne faut pas comparer l’incomparable» avec l’investissement qui a été effectué au Maroc par les deux groupes Emaâr et Dubaï Holding. Et d’ajouter : «Il ne suffit pas que le président Bouteflika soit un ami de certains de nos dirigeants et qu’il ait passé des années parmi nous lors de sa traversée du désert pour que le business et l’investissement marchent comme sur des roulettes».
http://www.lagazettedumaroc.com/arti...0&id_artl=9870
Gazette du Maroc
01 Mai 2006
En dépit des efforts considérables déployés par le président, Abdel Aziz Bouteflika, pour attirer les investissements émiratis, les bailleurs de fonds des Émirats demeurent réticents. Tout comme les échanges bilatéraux entre les deux pays dont les importations entre 1999 et 2006 n’ont pas dépassé les 23 millions de $ alors que les exportations ont enregistré un chiffre de 900 000 $. À la veille de la 4ème session mixte algéro-émiratie qui se tiendra les 2 et 3 mai dans la capitale algérienne, un responsable de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Dubaï, qui a préféré garder l’anonymat, a indiqué à La Gazette du Maroc que cette rencontre est pour la forme ; d’autant plus qu’il ne faut pas s’attendre à grand-chose. Car ni le climat des affaires, moins encore les opportunités, ne sont du genre à encourager les investisseurs émiratis qui sont maintenant présents dans les quatre coins du monde. Ce même responsable n’a pas hésité à dire qu’il «ne faut pas comparer l’incomparable» avec l’investissement qui a été effectué au Maroc par les deux groupes Emaâr et Dubaï Holding. Et d’ajouter : «Il ne suffit pas que le président Bouteflika soit un ami de certains de nos dirigeants et qu’il ait passé des années parmi nous lors de sa traversée du désert pour que le business et l’investissement marchent comme sur des roulettes».
http://www.lagazettedumaroc.com/arti...0&id_artl=9870
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