Bonjour, après le textile, les vêtements et la main d’œuvre, les voitures chinoises font leur place au soleil, la qualité semble être au rendez-vous pour un prix minime de $4000. Pour rappel en 2003, le constructeur a ouvert une chaîne de montage en Iran.
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Les voitures chinoises commencent à trouver leur place sur le marché algérien qui peut accueillir 300 mille nouvelles voitures annuellement.
Comme les chinois ont réussi à envahir le marché algérien avec le grand nombre de leur produits, éliminant ainsi la concurrence contre tout produit chinois, le secteur de l’industrie dans le pays du « Dragon Jaune » tente de réaliser le même succès dans le domaine de l’automobile, mais le doute qui entoure la qualité des voitures chinoises réduit leurs chances d’envahir le marché algérien ; chose qui justifie la présence « calme » de ce genre de voitures dans le marché, depuis moins de trois ans.
Selon Marwane Halabi, le mandataire du fabriquant des voitures chinoises « China Cherry Automobile » en Algérie, « nous nous sommes posés beaucoup de questions », dit-il, « avant d’ouvrir un bureau en Algérie : que devons nous faire pour convaincre le citoyen algérien d’acheter nos voitures ? ».
Le gouvernement chinois », ajouta-il, « a commencé à s’intéresser à l’industrie des voitures afin de joindre les autres pays industrialisés qui soutiennent ce genre d’industrie comme étant le symbole de la souveraineté et la solidité économique ».
Cette tendance a été encouragée par la création d’usines fabricant des pièces détachées et des accessoires de différentes marques de voitures, permettant ainsi aux chinois d’acquérir la technologie requise et de contrôler les frais de l’industrie et de la production ».
Les sociétés chinoises, ajoute-t-il, ont réussi à fabriquer un nombre de voitures distingués qui ont réussi à gagner l’admiration d’un grand nombre de consommateurs chinois, et grâce au soutien du gouvernement qui a mis en place un appareil de control de la qualité l’industrie chinoise s’est élargie vers les marchés asiatiques, le Moyen-Orient et le Maghreb arabe, commençant par l’Algérie depuis trois ans, où plus de 1000 voitures « Cherry » ont été vendues en 2005.
L’Algérie, l’Egypte, la Syrie et le Soudan ont constitué une part importante des exportations chinoises, dont le taux des voitures chinoises a dépassé 100 millions de dollars.
Auparavant, la décision d’acheter une voiture chinoise prenait en compte son prix (bas) et la disponibilité des pièces détachées dans le marché.
Le citoyen algérien est devenu plus exigeant quant aux critères de qualité et de sécurité conformes aux pays européens ; mais pourquoi les algériens achètent-ils une voiture chinoise ? Halabi répond : grâce à son prix abordable et à sa qualité. Concernant le secret du succès de la voiture chinoise en Algérie, le même interlocuteur cite le confort, le grand espace et un moteur convenable avec une technologie japonaise.
Djallel Bouati
22 août 2006 El-Khabar
Comme les chinois ont réussi à envahir le marché algérien avec le grand nombre de leur produits, éliminant ainsi la concurrence contre tout produit chinois, le secteur de l’industrie dans le pays du « Dragon Jaune » tente de réaliser le même succès dans le domaine de l’automobile, mais le doute qui entoure la qualité des voitures chinoises réduit leurs chances d’envahir le marché algérien ; chose qui justifie la présence « calme » de ce genre de voitures dans le marché, depuis moins de trois ans.
Selon Marwane Halabi, le mandataire du fabriquant des voitures chinoises « China Cherry Automobile » en Algérie, « nous nous sommes posés beaucoup de questions », dit-il, « avant d’ouvrir un bureau en Algérie : que devons nous faire pour convaincre le citoyen algérien d’acheter nos voitures ? ».
Le gouvernement chinois », ajouta-il, « a commencé à s’intéresser à l’industrie des voitures afin de joindre les autres pays industrialisés qui soutiennent ce genre d’industrie comme étant le symbole de la souveraineté et la solidité économique ».
Cette tendance a été encouragée par la création d’usines fabricant des pièces détachées et des accessoires de différentes marques de voitures, permettant ainsi aux chinois d’acquérir la technologie requise et de contrôler les frais de l’industrie et de la production ».
Les sociétés chinoises, ajoute-t-il, ont réussi à fabriquer un nombre de voitures distingués qui ont réussi à gagner l’admiration d’un grand nombre de consommateurs chinois, et grâce au soutien du gouvernement qui a mis en place un appareil de control de la qualité l’industrie chinoise s’est élargie vers les marchés asiatiques, le Moyen-Orient et le Maghreb arabe, commençant par l’Algérie depuis trois ans, où plus de 1000 voitures « Cherry » ont été vendues en 2005.
L’Algérie, l’Egypte, la Syrie et le Soudan ont constitué une part importante des exportations chinoises, dont le taux des voitures chinoises a dépassé 100 millions de dollars.
Auparavant, la décision d’acheter une voiture chinoise prenait en compte son prix (bas) et la disponibilité des pièces détachées dans le marché.
Le citoyen algérien est devenu plus exigeant quant aux critères de qualité et de sécurité conformes aux pays européens ; mais pourquoi les algériens achètent-ils une voiture chinoise ? Halabi répond : grâce à son prix abordable et à sa qualité. Concernant le secret du succès de la voiture chinoise en Algérie, le même interlocuteur cite le confort, le grand espace et un moteur convenable avec une technologie japonaise.
Djallel Bouati
22 août 2006 El-Khabar

l'algérie sera l'algérie, le maghreb et eux tous (le reste) constiturons une partie minoritairedu maghreb IoI en terme de valeur
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