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Rapport sans appel du FMI : le Maroc est en faillite

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  • #31
    @Haddou

    Tu sembles croire que le gouvernement tiendra son engagement d'un déficit budgétaire aux alentours des 5.5%. Explique moi comment cela pourra être possible avec des dépenses en augmentation et des recettes marquées par :



    • une baisse des recettes douanières de 6,3% :

    • une baisse des droits de douane (-19,1%),

    • une baisse de la TVA à l’importation (-2,2%)

    • une baisse de la taxe intérieure de consommation (TIC) sur les produits énergétiques (-7,4%) » ;

    • une baisse de 1,9% des autres TIC suite notamment à la diminution de 3,1% de la TIC sur les tabacs manufacturés » ;

    • « diminution de 0,5% de la fiscalité domestique : IS (-15,4%), IR (+5%), TVA intérieure (+3,7%), droits »,

    • « baisse des impôts directs de 5,2%

    • diminution des recettes de l’IS (impôts sur les sociétés) de 2,5 MMDH, soit -15,4% qui résulte notamment de la

    • baisse des versements effectués par certains gros contribuables notamment l’OCP (-2,3 MMDH), Maroc Télécom, certaines sociétés du secteur financier, certaines cimenteries, … ».

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    • #32
      par Jawzia :

      Tu sembles croire que le gouvernement tiendra son engagement d'un déficit budgétaire aux alentours des 5.5%

      voici l'avis du gouverneur de la BM lors de sa dernière réunion en faisant le bilan du premier semestre :


      «En sorte que si la tendance se maintient, ce déficit devrait ressortir autour de 5,5% du PIB à fin décembre 2013

      pour le FMI :

      «L’objectif de 5,5 % du PIB que les autorités ont fixé pour le déficit budgétaire de 2013 reste compatible avec leur objectif à moyen terme axé sur le maintien de la viabilité budgétaire et le soutien de l’ajustement extérieur. Pour que cet objectif puisse être atteint, il sera nécessaire de surveiller attentivement et de maîtriser fermement les dépenses pendant le reste de l’année. La réforme fiscale prévue devrait permettre une plus grande équité et soutenir la compétitivité tout en dégageant des ressources suffisantes. Il importe de continuer à contenir la masse salariale et le coût global des subventions pour créer l’espace nécessaire à un meilleur ciblage des dépenses sociales et à une augmentation des dépenses en capital. À cet égard, les mesures prises récemment pour réduire les subventions vont dans le bon sens et il sera crucial de procéder à une vaste réforme des subventions pour réduire encore les facteurs de vulnérabilité budgétaire et extérieure. En outre, il importe d’adopter au plus vite une nouvelle loi de finances organique pour doter le pays d’un cadre budgétaire solide, transparent et moderne.
      «La baisse des cours mondiaux des produits de base, l’augmentation des exportations dans les secteurs nouvellement développés et la diminution des importations de denrées alimentaires ont contribué à réduire le déficit extérieur courant et, conjuguées à l’afflux de capitaux, à stabiliser les réserves. Afin de préserver ces acquis, la mise en œuvre de réformes structurelles pour rehausser la compétitivité demeure une tâche prioritaire. La transition vers une plus grande souplesse du taux de change reposant sur des politiques macroéconomiques et structurelles appropriées renforcerait la compétitivité extérieure du pays et la capacité de l’économie à amortir les chocs.
      31/09/2013


      eh bien, de notre part , on ne peut qu'attendre la fin de l'année pour juger sur pièces si le gouvernement est capable de tenir parole

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      • #33
        Avec des dépenses qui échappent toujours à tout contrôle (hors mesures sur la compensation), la réduction du déficit budgétaire à 5,5% semble peu réaliste. A fin août, il s'était creusé de près de 9 milliards de DH sur un an à 43,6 milliards de DH.
        Dixit le FMI.
        Dernière modification par jawzia, 04 octobre 2013, 14h33.

        Commentaire


        • #34
          Dixit le FMI.

          mon avis personnel et loin de tout égocentrisme , il serait sage de réduire le déficit d'un point chaque année pour arriver à 3,5 %


          cela me rappelle un débat fort intéressant entre Oualalou ancien ministre socialiste des finances réputé par son orthodoxie financière et son homologue du parti EL malki , président du CMC, qui était pour un déficit de plus de 4% afin de financer les grands projets d'infrastructure , aujourd'hui les temps ont changé et les recommandations du CMC aussi

          pour information les deux sont professeurs d'économie à la faculté de droit de Rabat
          Dernière modification par haddou, 04 octobre 2013, 16h33. Motif: r

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          • #35
            Puisque le FMI est devenu une référence pour certains voici un autre son de cloche non biaisé par les aigris d'à coté , eux, qui ont la chance d'avoir le pompage et un prix du baril qui sauvent les meubles sinon c'est la vraie faillite assurée à moins de supplier le FMI comme en 1994..

            Le FMI satisfait des réformes engagées par le Maroc ''dans un contexte régional difficile''

            Boualem Alami

            samedi 3 août 2013

            Le Maroc est un bon élève et applique scrupuleusement les consignes du FMI en matière de réformes économiques. A un peu plus d'un mois d'une mission d'experts centrée sur l'évaluation des grands agrégats économiques du pays et la conduite de réformes urgentes pour lui accorder une aide de 6,2 milliards de dollars, le conseil d'administration du Fonds rend ses conclusions : le Maroc est sur la bonne voie.
            Le rapport du Fonds relève ainsi que le Maroc, même dans la douleur, arrive à réduire ses dépenses de fonctionnement et de la caisse de compensation et améliorer les exportations. La récente et impopulaire hausse des prix des carburants a été également bien accueillie par le Fonds, la subvention des carburants représentant 86,3% des dépenses globales. Le soutien des prix des carburants en 2012 s'est établi 53,4 milliards de dirhams contre 51,8 mds de DH une année auparavant. Or, le FMi avait conditionné l'octroi des 6,2 mds de dollars au Maroc au titre de la ligne de précaution et de liquidité à la mise en place de la réforme de la caisse de compensation, celle du régime des retraites et la réduction du déficit budgétaire à moins de 5,5%. Sur un ton conciliant, le conseil d'administration du FMI reconnaît que ces réformes sont menées dans ''un contexte régional difficile''. ''Il est impératif de faire avancer les réformes de la compensation, des caisses de retraite et de la fiscalité'', averti cependant le Fonds, qui rappelle aux autorités financières marocaines qu'une surveillance étroite et un contrôle strict des dépenses seront nécessaires pour le reste de l’année'' pour ramener le déficit budgétaire à moins de 5,5%. Parmi les autres recommandations du FMI, figure également l'adoption rapide d’une nouvelle loi organique du budget, ainsi que la flexibilité de la monnaie locale, le Dirham, une mesure qui doit être renforcée par des politiques macroéconomiques et structurelles adéquates.
            Le casse tête du déficit budgétaire
            La Loi de finances 2013 du Maroc table sur une baisse du déficit budgétaire à 4,8 % du produit intérieur brut (PIB), un taux de croissance de 4,5%, une inflation à moins de 3% et un taux de chômage à moins de 10%. Pour le président de l'Istiqlal, Salaheddine Mezouar, ancine ministre des finances sous le précédent gouvernement alors dirigé par son parti, la loi de finances 2013 concoctée par le gouvernement ne ''délivre pas de message fort pour relancer la croissance''. Mezouar estime que cette loi de finances 2013, ''en tant qu'outil de visibilité qui prend en considération les engagements du gouvernement mais également les exigences et les attentes des citoyens, manque d'innovation et de stimulation sérieuse pour encourager l'emploi''. A fin avril dernier, le déficit budgétaire s’est creusé à 21,3 milliards de dirhams soit près de la moitié de la prévision (43,5 milliards) retenue par la loi de Finances 2013. Ce qui éloigne encore plus les prévisions d'un retour progressif du déficit budgétaire à moins de 3% en 2016. En 2012, il a plafonné à plus de 7%.

            Maghrebemergent
            PS:Bon courage haddou tu t'escrimes à vouloir convaincre des gens dont le seul désir est de voir le Maroc à genoux .

            Commentaire


            • #36
              Les contraintes auxquelles le Maroc a fait face par le passé sont une bénédiction. Chacune a fait que les gouvernants ont du reformer, creer de nouvelles industries, etc... je ne me fais pas de souci pour le peuple Marocain, il est travailleur et a des idées et a bon dos. Si on ne faisait que 0.1% de croissance durant cette crise mondiale, ce serait déja un exploit...

              Lois de Finances 2014 : La chasse au gaspi est ouverte !

              La stabilité des avoirs extérieurs et la maîtrise du déficit budgétaire constituent les principaux fondements du projet de la loi des finances 2014, objet d’une note de cadrage adressée récemment par le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane aux départements ministériels concernés.
              Selon la note, la mobilisation et la fermeté sont nécessaires pour réaliser une croissance robuste et solidaire au profit des populations et des régions territoriales afin de maintenir les équilibres budgétaires et extérieurs, surtout à la lumière de l’incertitude du climat international, en particulier chez les principaux partenaires du Maroc au sein de l’Union européenne.
              Dans ce contexte, la note indique que le projet de loi de finances pour l’année 2014 ouvrera la voie à la mise en œuvre d’un ensemble de mesures visant à soutenir la stabilité des avoirs extérieurs. Ces mesures englobent les actions suivantes : soutenir les exportations, assurer une meilleure maîtrise des importations, et mobiliser des ressources en devises.
              La note souligne qu’en ce qui concerne le soutien aux exportations, le gouvernement poursuivra ses efforts pour l’amélioration de l’offre exportatrice et sa compétitivité, par l’accélération de la mise en œuvre des stratégies sectorielles mises au point à cet effet, parallèlement à la mise en œuvre de mesures visant à éliminer les obstacles à l’investissement et à la concurrence.
              Ces mesures consistent en la facilitation de l’accès à de nouveaux marchés, notamment les marchés arabes et africains, à travers la mise en place d’un programme d’assurance risques et le développement des contrats de promotion des exportations, outre l’activation des nouveaux mécanismes de financement des entreprises exportatrices et la poursuite du développement du secteur de la logistique.
              La note relève que les efforts du gouvernement se focaliseront sur la mise en œuvre d’une batterie de mesures visant à maîtriser les importations dans le cadre du respect des engagements du Maroc et des normes internationalement.
              La priorité sera accordée, selon la note, à la mise en application du cadre juridique et réglementaire pour la protection du consommateur, la poursuite de la mise en œuvre des normes de qualité et de sécurité pour les marchandises importées et les procédures de protection commerciale pour lutter contre le dumping du marché marocain et la contrebande, d’intensification de la lutte contre les déclarations en douane incomplètes à l’importation, et l’accélération de l’élaboration du système relatif au statut des importateurs.
              La note met l’accent sur la nécessité de réduire, dans la mesure du possible, la part de devises dans les projets d’investissement de l’Etat et dans les marchés publics, ainsi que la nécessité d’accélérer la mise en œuvre du programme de l’efficacité énergétique, l’utilisation des énergies alternatives et le développement de la production locale qui répond aux exigences des achats publics, selon une vision claire des besoins et des potentialités disponibles.
              Elle note que, parallèlement aux mesures prévues pour soutenir les exportations et maîtriser les importations, la priorité sera accordée à la mobilisation des ressources en devises par la poursuite de la stratégie touristique en vue d’atteindre les objectifs de la Vision 2020.
              Elle sera également accordée à l’accélération de la mise en œuvre des mesures visant à soutenir et à accompagner les Marocains résidant à l’étranger à travers l’activation du fonds de promotion de l’investissement destiné aux MRE, et le renforcement des mesures prises au niveau de l’administration fiscale et la conservation foncière au profit de la communauté marocaine, en plus de la mobilisation de fonds externes, notamment les dons accordés au Maroc par certains pays du Golfe.
              La note souligne qu’alors que les mesures susvisées sont urgentes pour assurer la stabilité des avoirs extérieurs de l’ordre de 4 mois d’importations de biens et services, elles s’insèrent en même temps dans le cadre d’une vision stratégique visant à réduire l’impact des fluctuations de la conjoncture économique internationale, ainsi que les cours des matières premières et du pétrole, sur les équilibres extérieures du Royaume.
              Elle indique, dans ce sens, que cette vision est basée principalement sur la promotion de la sécurité alimentaire et énergétique au Maroc à travers la valorisation du Plan Maroc Vert, le développement des énergies renouvelables et l’activation de la Charte nationale de l’environnement, qui sont parmi les plus importants leviers du développement durable.
              La note affirme que le gouvernement est déterminé, afin d’assurer une maîtrise structurelle du déficit budgétaire, à accélérer la mise en œuvre des réformes susmentionnées dans le but de renforcer la compétitivité de l’économie nationale et assurer la durabilité du modèle de développement marocain, notamment la réforme du régime fiscal, la loi réglementaire de la loi de finances, le système de compensation et les systèmes de retraite.
              Elle souligne que, parallèlement à la mise en œuvre de ces réformes structurelles nécessaires pour assurer la viabilité des finances publiques à moyen terme, il faut garder à l’esprit, lors de l’élaboration de propositions pour la préparation du projet de loi de finances 2014, la nécessité de réduire l’aggravation du déficit budgétaire par la mobilisation des ressources et des marges au niveau des dépenses.
              A cet égard, la note rappelle que la maîtrise du déficit budgétaire est une responsabilité collective du gouvernement et de ses partenaires, ce qui exige une vigilance continue et un suivi rigoureux de l’état des finances publiques de la part de tous les départements et la mise en place de mesures urgentes et appropriées.
              Elle relève que les propositions devraient être soumises aux orientations de base qui consistent tout d’abord à la maîtrise des dépenses du fonctionnement normal de l’administration en les réduisant au strict minimum nécessaire, tout en instaurant le principe d’exploitation commune et solidaire entre les différents départements des ressources disponibles, notamment en ce qui concerne les dépenses relatives à la gestion et l’exploitation du parc automobile des administrations publiques, les dépenses relatives aux réceptions, à l’hébergement et à la restauration et celles relatives à l’exploitation et à la gestion des bâtiments administratifs.
              Elle souligne à ce propos la nécessité de s’engager à ne pas acquérir ou louer des véhicules sauf dans les cas nécessaires et motivés en les soumettant à l’autorisation préalable du chef du gouvernement, de ne pas programmer la construction de bâtiments ou de logements administratifs neufs et réduire les frais de location, tout en encourageant le crédit bail immobilier.
              La note souligne aussi la nécessité de rationaliser les missions à l’étranger en réduisant les dépenses au strict minimum nécessaire de sorte à assurer la représentation officielle du pays dans divers forums et conférences internationales, assurer l’économie dans les frais de transport associés à ces missions et réduire le coût des achats à travers l’application des dispositions du nouveau décret relatif aux marchés publics, en ce qui concerne le cumul des achats.
              La note ajoute que la deuxième de ces orientations de base consiste en la rationalisation des dépenses d’investissement en la liant à la capacité d’accomplissement et à la réalisation des résultats en basant les fonds proposés sur l’évaluation objective de la période nécessaire pour la réalisation des projets et des programmes, leur coût et leurs objectifs, ainsi que leur conformité aux priorités de l’action gouvernementale à titre de la loi de finances 2014.
              La troisième orientation consiste en l’harmonisation des projets et des programmes proposés avec les possibilités de financement disponibles et leur conformité aux projets et programmes proposés par les départements, les institutions et les entreprises publics et les collectivités territoriales suivant les mêmes objectifs, dans le but d’améliorer son impact sectoriel et territorial et la généralisation de la contractualisation en tant que mécanisme en amont de la programmation des fonds.
              Ces orientations englobent également la maîtrise de l’évolution de la masse salariale, à travers la réduction des propositions de postes budgétaires au strict minimum nécessaire pour répondre aux besoins réels et urgents relatifs à l’amélioration de la qualité des services fournis aux citoyens, tout en assurant une répartition territoriale équitable.
              Dans le cadre de ces orientations, la note insiste sur la nécessité de s’abstenir de recruter aux postes qui deviennent vacants au cours de l’année, soulignant qu’il faut également reporter la mise en œuvre des décisions concernant toute augmentation ou révision des salaires et des indemnités ou des statuts, prises hors la loi de finances de l’année, à la loi de finances de l’année suivante.
              LNT

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              • #37
                On avait donné en avant première mondiale, la teneur de la note de cadrage que semble découvrir certains.

                Ici : http://www.algerie-dz.com/forums/sho...4&postcount=21

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                • #38
                  overclocker

                  Est ce qu’il faut attendre le FMI pour nous le dire, le Maroc est en faillite depuis belle lurette.

                  Y a qu’a voir l’état de nos écoles, nos universités, notre justices pour s’en rendre compte…
                  Depuis une vingtaine d'année au moins,Hachiche deux a essayé de retarder l'échéance en privatisant a outrance ( en faveur des étrangers ) des biens étatiques,or maintenant il n'y a presque plus rien a privatiser et beaucoup de dividendes a payer (en devise SVP ) .
                  "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                  Commentaire


                  • #39
                    cotations du Brent le 04/10/2013 à 22:22:57 : 109$32

                    rien ne dit que ça ne se répétera pas à la moindre baisse du prix du baril
                    En attendant la baisse ... Rak Hors sujet !
                    Dernière modification par jawzia, 04 octobre 2013, 21h31.

                    Commentaire


                    • #40
                      Serpico
                      Pour ceux qui ont la mémoire courte et rien ne dit que ça ne se répétera pas à la moindre baisse du prix du baril vu la dependance de l’Algérie uniquement et uniquement à la rente pétrolière

                      Toujours mieux que dependre du HACHICHE MOQUETTE POURIE

                      Admire le cours du pétrole et remercie dieu pour que le ridicule ne vous tue pas .

                      1990 23,76 usd
                      1991 20,04
                      1992 19,32
                      1993 17,01
                      1994 15,86
                      1995 17,02
                      1996 20,64
                      1997 19,11
                      1998 12,76
                      1999 17,90
                      2000 28,66
                      2001 24,46
                      2002 24,99
                      2003 28,85
                      2004 38,26
                      2005 54,57
                      2006 65,16
                      "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                      Commentaire


                      • #41
                        Restons sur les déficits

                        Médaille de bronze au championnats du monde des déficits

                        Un récent rapport de Morgan Stanley indique que le déficit courant marocain enregistré à ce stade de l’année 2013 occupe la troisième place mondiale en pourcentage du PIB, devancé seulement par le Liban et l’Ukraine, et s’établit à 7% du PIB.

                        Commentaire


                        • #42
                          En attendant la baisse ... Rak Hors sujet ! En attendant la baisse ... Rak Hors sujet !
                          Jawzia
                          Pourquoi HS du moment que l’Algérie a eu a subir, lorsque le baril avait chuté en 1994 ,la même "humiliation" ( puisque c'est ce à quoi tu veux en venir) avec les exigences du FMI et qu'elle s'y est astreinte

                          Et comme le prix du baril est capricieux , il n'est nullement écarté que l’Algérie soit à nouveau obligée de recourir à un PAS humiliant puisque c'est comme ça que tu vois les choses.....

                          Rappel des exigences du FMI que l’Algérie était contrainte d'appliquer scrupuleusement !!

                          Les grandes lignes de ce programme s’articulaient autour de 6 points que l’on peut résumer comme suit :
                          • la réduction du déficit budgétaire et l’adoption de la rigueur dans l’élaboration de la politique monétaire (réduction de la masse monétaire, stabilisation du taux de change…) ;
                          • la dévaluation du Dinar ; le FMI considérait que la surévaluation de la monnaie locale était une des causes principale du déséquilibre de la balance commerciale en faveur des importations ;
                          • la libéralisation du commerce extérieur : cette mesure visait d’une part la levée des restrictions sur les importations et la fin du monopole étatique sur les importations d’autre part. Cependant le gouvernement algérien avait négocié et obtenu le consentement du FMI sur une application progressive de cette mesure ;
                          • la libéralisation des prix intérieurs, afin de permettre à la dévaluation d’exercer ses pleins effets sur le pouvoir d’achat global du pays, l’objectif étant la contraction de la demande afin de réduire les importations ;
                          • la réduction des aides octroyées dans le cadre du filet sociale par l’Etat aux sans revenus, et leur remplacement progressif par un système d’activité d’utilité publique. On parlait de « rentabilisation des aides sociales » ;
                          • l’assainissement progressif de l’économie, la levée de l’interdiction des licenciements et la préparation d’un programme de privatisation.

                          Donc pas la peine de pérorer quant l’Algérie est déjà passé par cette "humiliation" et qu'elle a été un élève studieux!!!

                          Commentaire


                          • #43
                            Pourquoi HS du moment que l’Algérie a eu a subir, lorsque le baril avait chuté en 1994
                            Hors sujet spatio-temporaire.












                            PS : Arrête avec le coloriage, ça fait pas sérieux et ça donne l'impression d'un gribouillis de maternelle.
                            Dernière modification par jawzia, 04 octobre 2013, 21h56.

                            Commentaire


                            • #44
                              Médaille de bronze au championnats du monde des déficits
                              Le déficit n'est un probleme que lorsqu'il n'arrive pas a financer la croissance... Il vaut mieux avoir un deficit et une croissance qu'un exces et une decroissance. C'est la difference entre un pays qui se finance pour batir et un pays ou rien ne se passe.

                              Commentaire


                              • #45
                                Le déficit n'est un probleme que lorsqu'il n'arrive pas a financer la croissance..
                                Lorsqu'il est structurel, on le subit ! On ne le choisit pas.

                                Commentaire

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