@ solas
100000 impossible, selon le denombrement meme des autorités algériennes apres l'indépendance dont Mohamed Téguia, le nombre de moujahidines étaient d'un maximum de 90000 hommes (de 60 à 70 000 à l'intérieur et de 15 à 20 000 sur l'ensemble des frontières au-delà des barrages) puis avaient fortement chuter lors de massacres par exemple :
disons que 100000 c'est le bon chiffre, comment explique tu que pres d'1 millions d'algériens ont la carte de moujahides??
Sais tu que l'algérie est le seul pays au monde ou les éffectifs d'anciens combattant augmente!!!!
Je te laisse méditer sur ce qu'a dit un ancien ministre dans les années 70:
et sur ca :
Le budjet de ce ministere est une grande arnaque et salit la mémoire des vrai moujahidines!!!!!!!
100000 impossible, selon le denombrement meme des autorités algériennes apres l'indépendance dont Mohamed Téguia, le nombre de moujahidines étaient d'un maximum de 90000 hommes (de 60 à 70 000 à l'intérieur et de 15 à 20 000 sur l'ensemble des frontières au-delà des barrages) puis avaient fortement chuter lors de massacres par exemple :
Près des deux tiers des effectifs des moudjahidines de l’ex-Wilaya III historique, soit environ 7.500 maquisards sur 12.000, ont été décimés durant l’opération Jumelles, décrétée par le général Challe de juillet 1959 à fin 1961. Algérie1
Sais tu que l'algérie est le seul pays au monde ou les éffectifs d'anciens combattant augmente!!!!
Je te laisse méditer sur ce qu'a dit un ancien ministre dans les années 70:
Les chiffres pourraient faire sourire. En 1962, les statistiques les plus sérieuses indiquent qu’il ne restait que 10 000 combattants du FLN, dont 5500 sur le terrain, en Algérie même. Dans les années 1970, le colonel Ahmed Benchérif, ancien ministre de l’Hydraulique et des Forêts sous Houari Boumédiène, s’étonne d’en compter 70 000. Ce vieux soldat dénonça en vain l’existence de plus de « 12 000 faux moudjahidine qui profitaient indûment du système ». Il s’insurgea contre « l’existence au sein de l’État d’usurpateurs et de traîtres à des postes de haute responsabilité ». La colère de cette gloire nationale incontestable avait mis au jour ce système d’État consistant à gonfler abusivement la “famille révolutionnaire”.
Ce n’était qu’un début. Dans les années 1980, le chiffre officiel des anciens combattants est de 500000. Fin 1990, il s’établissait à 1,2 million de pensionnés, sans compter 6 millions d’ayants droit ! Ancien officier de l’ALN et ancien responsable de l’Organisation des anciens moudjahidine de la wilaya de Tipasa, Mustapha Bougouba ne cache pas sa colère Hamid Lafrad
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