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Maroc:le fonds Meridiam compte financer un important projet de production d'électricité renouvelable

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  • Maroc:le fonds Meridiam compte financer un important projet de production d'électricité renouvelable

    Le Fonds d'investissement Meridiam compte financer un important projet de production d'électricité renouvelable au Maroc, selon Julien Touati, directeur du développement et responsable du pôle africain de Meridiam.
    Le Fonds d'investissement spécialisé dans les infrastructures publiques Meridiam compte financer un projet important de production d'électricité renouvelable au Maroc, a affirmé le directeur du développement et responsable du pôle africain de Meridiam, Julien Touati.
    Ce projet, qui vise à renforcer l'indépendance énergétique du Maroc et qui fait partie des quatre projets prioritaires identifiés en Afrique, sera financé par un fonds à vocation panafricaine qui sera géré par Meridiam, a précisé Julien Touati dans un entretien publié mercredi sur le site de l'hebdomadaire français «L'Usine nouvelle», faisant remarquer que ce continent figurait dès le départ dans la vision stratégique du Fonds.
    Il a également indiqué que Meridiam a, déjà, identifié les différents interlocuteurs avec qui elle va discuter de ce projet dont l'agence en charge du programme solaire Masen et l'Office national de l'eau et l'électricité (ONEE), soulignant que le Royaume est «un des endroits en Afrique qui offre la stabilité la plus forte».
    Julien Touati a, d'autre part, réitéré la détermination du fonds à nouer des partenariats avec des grands groupes industriels actifs au Maroc pour les accompagner et co-développer avec eux des opportunités d'investissements.
    L'Afrique connaît une croissance forte, d'autant plus que les facteurs qui favorisent cette croissance y sont réunis, a-t-il dit, notant que ce marché semble mûr pour absorber des investissements.
    Créé en 2005 et basé à Paris, Meridiam investit dans des projets à horizon de 25 ans et a déjà participé à 32 projets en Europe et en Amérique du Nord.

    MAP

  • #2
    soulignant que le Royaume est «un des endroits en Afrique qui offre la stabilité la plus forte
    Le Maroc est une pays très stable, l'un des plus stable de la région si ce n'est le plus stable. Car le peuple ne manifeste pas pour ses droits sociaux élémentaires donc le pays garde en apparence un situation calme mais trompeuse.
    Dernière modification par iridium, 03 juillet 2014, 11h30.

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    • #3
      Iridium,

      Wa fi9 chouia..

      Le maroc connaît plus d une diziane de milliers de manifestations chaque année... Nous sommes habitués à des manifestations quotidiennes dans les grandes villes marocaines.

      Quitte ton bled ou les manifs sont interdites pour prendre exemple sur les autres.... Et arrêté de prendre les autres pource qu ils ne sont pas . Commence par donner l exemple pour être crédible quand tu débites des jugements sur un peuple que tu ne connais pas...
      Dernière modification par upup, 03 juillet 2014, 13h01.

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      • #4
        Le Maroc est une pays très stable, l'un des plus stable de la région si ce n'est le plus stable. Car le peuple ne manifeste pas pour ses droits sociaux élémentaires donc le pays garde en apparence un situation calme mais trompeuse.

        Les droits sociaux ne peuvent exister que si il existe de l'argent capable de les financer , ce n'est pas le cas au Maroc
        Le pays est stable d'abord a cause ou grâce aux progrès économiques des dernières années .... Si jamais la croissance venait a faiblir ,évidemment le risque de troubles sociaux serait important

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        • #5
          Le maroc connaît plus d une diziane de milliers de manifestations chaque année... Nous sommes habitués à des manifestations quotidiennes dans les grandes villes marocaines.
          Oui des manifestations sans envergure sur des sujets secondaires ils en existent tout les jours dans tout les pays. Pour l'instant le Maroc connait de gros retards en terme d'éducation, d’accès aux soins, d’accès à l'eau et l’électricité dans les campagnes.

          Quitte ton bled ou les manifs sont interdites pour prendre exemple sur les autres.... Et arrêté de prendre les autres pource qu ils ne sont pas . Commence par donner l exemple pour être crédible quand tu débites des jugements sur un peuple que tu ne connais pas...
          Un dessin vos mieux qu'un long discourt https://www.youtube.com/watch?v=DIXTZp39Res

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          • #6
            Les droits sociaux ne peuvent exister que si il existe de l'argent capable de les financer , ce n'est pas le cas au Maroc
            Au Maroc tant que les riches pourront employer les moins riches sans payer les droits qui vont avec effectivement ça ne changera pas. Mais à défaut de lever correctement les charges sociales, le Maroc peut quand même faire au moins le minimum sur la sécurité sociale en réduisant le train de vie de l'état et en réduisant le train de vie du Roi qui à lui seul absorbe 150 millions d'euros ou de dollar en dotation annuelle par le parlement sans payer le moindre impôt sur les bénéfices qu'il dégage de ses investissements (ONA, SNI, OCP, etc...).

            D'ailleurs cette situation arrangent les riches et la classe aisée car c'est eux qui emploient les armées de bonne à tout faire et d'enfants travailleurs.

            Le pays est stable d'abord a cause ou grâce aux progrès économiques des dernières années .... Si jamais la croissance venait a faiblir ,évidemment le risque de troubles sociaux serait important
            La croissance marocaine est faible durant les meilleurs années elle atteint rarement les 5 %. Tout les économistes te diront que pour générer de l'emploi en masse il faut des taux de croissance fort. Le pays est stable car personne ne bouge le pays est bien quadrillé par les hordes de mqadem, de chekh, etc...

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            • #7
              sans payer le moindre impôt sur les bénéfices qu'il dégage de ses investissements (ONA, SNI, OCP, etc...)
              Par iridium

              il faut pas mélanger les entreprises publiques et privées , l(OCP est un organisme public qui paie ses impôts et donne des dividendes à l'Etat , en , plus il faut pas raconter des bobards , les sociétés qui dépendent de l'ONA paient leurs impôts et je peux témoigner en étant un ex employé d'une société qui fait partie de l'ONA ,tous les droits des employés sont réglés et font mieux que le reste du privé qui ne déclare pas la totalité de ses employés

              La croissance marocaine est faible durant les meilleurs années elle atteint rarement les 5 %. Tout les économistes te diront que pour générer de l'emploi en masse il faut des taux de croissance fort. Le pays est stable car personne ne bouge le pays est bien quadrillé par les hordes de mqadem, de chekh, etc

              Chaque point de croissance crée de l'emploi , mais pour absorber le chômage il faudrait 7%
              Dernière modification par haddou, 03 juillet 2014, 14h56.

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              • #8
                il faut pas mélanger les entreprises publiques et privées , l(OCP est un organisme public qui paie ses impôts et donne des dividendes à l'Etat , en , plus il faut pas raconter des bobards , les sociétés qui dépendent de l'ONA paient leurs impôts et je peux témoigner en étant un ex employé d'une société qui fait partie de l'ONA ,tous les droits des employés sont réglés et font mieux que le reste du privé qui ne déclare pas la totalité de ses employés
                Haddou ne fait style de ne pas comprendre. Tu ne m'apprends rien je sais que les entreprises publiques et privés paient des impôts au Maroc come dans le monde entier et les entreprises publiques paient mieux leurs impôts que les entreprises privés. La question est de savoir si M6 qui est actionnaire de l'ONA la SNI de l'OCP paie lui des impôts qur les dividendes que génère toutes ces entreprises.

                Chaque point de croissance crée de l'emploi
                C'est faux il faut dépasser un certain seuil pour créer de l'emploi de maniéré sensible les croissance à 2 ou 3% permettant de maintenir une activité qui progresse certes mais qui ne génère pas d'emploi de manière sensible, elle va absorber un peu de chômage mais rien de plus.

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                • #9
                  Usine nouvelle
                  Propos recueillis par Nasser Djama
                  02 juillet 2014


                  L'Usine Nouvelle : Quel est le métier de Meridiam ?


                  Julien Touati : Investir à très long terme dans des infrastructures dès la phase de construction "en greenfield". Le risque est donc géré. Comprendre techniquement le projet dans lequel l'investissement est réalisé fait partie de la culture de l'entreprise. Meridiam investit dans des projets à horizon de 25 ans et a déjà participé à 32 projets en Europe et en Amérique du Nord. En termes d'effectifs, le fonds emploie 110 personnes.

                  Comment sont organisés vos différents fonds ?


                  Meridiam est une société de gestion qui gère des véhicules d'investissement. Chaque véhicule répond à une stratégie d'investissement donnée et rattaché le plus souvent à une région géographique. Le premier fonds, "Meridiam Infrastructure", représente environ 550 millions d'euros totalement investis.

                  En 2012, deux fonds d'investissements dont un dédié à l'Amérique du nord d'un peu moins d'un milliard de dollars et un deuxième dédié à l'Europe de 935 millions d'euros ont été levés en parallèle. L'Afrique en tant que telle sera couverte dans un véhicule additionnel permettant de réunir les investisseurs intéressés.

                  Quelle est l'origine des fonds de Meridiam ?

                  Majoritairement privés. Schématiquement, 20% des fonds de Meridiam viennent des banques de développement comme la Banque européenne d’investissement (BEI) ou la Banque européenne de reconstruction et de développement (Berd), 30% sont des assureurs vie d'Europe et d'Amérique du Nord principalement et 50% des caisses de retraite d'Europe, d’Asie, d’Australie et d’Amérique du Nord qui souhaitent investir afin d’obtenir des rendements stables et prévisibles sur de très longues durées. Sur le fonds dédié à l’Afrique, nous pensons que la part des banques de développement pourra être doublée à terme pour atteindre 40%.

                  Pourquoi l'Afrique ?


                  Le continent figurait dès le départ dans la vision stratégique de Meridiam. Au moment de sa création en 2005, il a été fait le choix de se concentrer sur les pays développés. Depuis maintenant deux ans, Meridiam a acquis la reconnaissance des investisseurs. L'Afriquede son côté connait une croissance forte. Les facteurs qui favorisent la croissance y sont réunis. L'infrastructure est un des éléments de réponse aux questions posées par les enjeux démographiques, la croissance économique et la réduction des inégalités en Afrique. Le marché nous semble mûr pour absorber des investissements d'une part et nous avons les outils, pour pouvoir s'y déployer d'autre part.

                  Quels secteurs d'activité privilégiez-vous ?

                  Particulièrement, l'énergie et les transports et dans une moindre mesure les services environnementaux et quelques projets d'infrastructures relatifs aux télécoms comme des câbles sous-marins ou desréseaux de fibre optique.

                  A quel niveau d'investissement intervenez-vous ?

                  Dans les projets allant de 100 à 700 millions d'euros de besoins d'investissement par projet. Nous avons la particularité d’être des investisseurs actifs et détenir une part significative du capital pour peser sur la gouvernance de ces projets. A moins de 100 millions d'euros, ceux-ci ne sont pas pour autant délaissés. Quant à ceux qui dépassent le milliard d’euros ils sont souvent difficiles à financer en Afrique.

                  Qu'est-ce qui a été fait à ce jour en Afrique par Meridiam ?

                  Nous nous préparons à financer des projets en Afrique. Nous avons recruté une demi-douzaine d'experts dédiés dont certains ont travaillé au sein d’institutions de développement actives sur ce continent comme la Banque africaine de développement (BAD) et Proparco, filiale de l'Agence française de développement (AFD).

                  Nous suivons en Afrique une quarantaine de projets dont 4 prioritaires. Il y a quelques jours, nous étions en Ethiopie, un pays qui s’ouvre à l’investissement privé dans l’énergie et dans l’eau. Nous travaillons avec un constructeur actif sur place à transposer ce qui se fait dans ce secteur en Europe et ailleurs en Afrique en termes de montage juridique.

                  Avez-vous des projets identifiés au niveau du Maroc ?


                  Sur les 4 premiers projets identifiés en Afrique, un se trouve au Maroc. Il s'agit d'un projet important de production d'électricité renouvelable qui vise à renforcer l'indépendance énergétique du Maroc et sur lequel nous ne sommes pas en mesure de donner plus de détails à ce stade.

                  Avez-vous défini une enveloppe financière pour le Maroc ?


                  Meridiam gèrera un fonds à vocation panafricaine et non spécialisé sur un pays. Il n'y aura donc pas d'enveloppe pré-allouée à un pays en particulier. Nous serons cependant capables, si les projets existent, d'en faire plus que le poids du Maroc dans le PIB africain. Le Maroc est un des endroits en Afrique qui offre la stabilité la plus forte.

                  Avez-vous des contacts avec les autorités marocaines ?


                  Nous avons identifié les différents interlocuteurs avec qui nous allons discuter. L’agence en charge du programme solaire, Masen, fera partie des interlocuteurs naturels tout comme l'Office national de l’eau et l'électricité (ONEE) d'ailleurs.

                  A quel moment se fera la promotion concrète d'un projet au Maroc ?

                  Nous sommes sur le terrain au Maroc. Nous nous appuyons pour cela sur les relations privilégiées que nous avons avec certains grands groupes industriels actifs au Maroc depuis longtemps. Ces industriels ne sont pas toujours à même de mobiliser des capitaux à très long terme sur les projets qu'ils souhaiteraient développer. Avec Meridiam, ils peuvent avoir un partenaire qui peut les accompagner et co-développer avec eux des opportunités d'investissements. En Afrique, le temps de maturation d'un projet est long. D'ici la rentrée, Meridiam communiquera plus de détails.
                  Dernière modification par MEK, 03 juillet 2014, 16h18.

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                  • #10
                    La question est de savoir si M6 qui est actionnaire de l'ONA la SNI de l'OCP paie lui des impôts qur les dividendes que génère toutes ces entreprises.
                    les dividendes de la SNI sont payées aux actionnaires dont le groupe de l'ONA comme toutes les entreprises , l'OCP est public qui a un seul actionnaire c'est l'Etat , pour avoir une idée sur les dividendes de chaque entreprises cotée à la bourse comme la SNI et ses filiales , il faudrait consulter les déclarations de bilan sur les journaux nationaux au mois de Mars , on trouve toutes les informations , les benef , les dividendes , les impôts etc c'est une obligation légale des entreprises cotées

                    C'est faux il faut dépasser un certain seuil pour créer de l'emploi de maniéré sensible les croissance à 2 ou 3% permettant de maintenir une activité qui progresse certes mais qui ne génère pas d'emploi de manière sensible, elle va absorber un peu de chômage mais rien de plus

                    il faut se référer aux rapports du HCP pour s'informer , un point de croissance au Maroc crée environ 25000 à 30000 emplois ce qui est peu par rapport au passé
                    Dernière modification par haddou, 03 juillet 2014, 16h19.

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                    • #11
                      iriduim

                      Même si on peut encore rationaliser les dépenses de fonctionnement de l'État, le pays compte un nombre de fonctionnaire par habitant les plus bas de la région
                      Pour le train de vie du roi , je suis d'accord avec toi ..... Malheureusement je n'ai pas le pouvoir de changer les choses. Les manifestations suite a la révolution tunisienne avait justement comme demande un retrait du palais royal de l'économie..... Sans succès
                      Le Maroc est un pays profondément inégalitaire , la culture du chacun pour sa pomme est viscéralement inscrite dans l'ADN de ce pays , les riches payent peu d'impôt et la redistribution uniquement symbolique
                      Quand au taux de croissance nécessaire pour résorber le chômage , il dépend de la pyramide des âges , du taux de natalités des dernière décennies .avec 4% en moyenne , ce n'est certes pas la Chine ni le Pérou mais cela permet de stabiliser le pays ...point que tu as souligné

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                      • #12
                        les dividendes de la SNI sont payées aux actionnaires dont le groupe de l'ONA comme toutes les entreprises , l'OCP est public qui a un seul actionnaire c'est l'Etat , pour avoir une idée sur les dividendes de chaque entreprises cotée à la bourse comme la SNI et ses filiales , il faudrait consulter les déclarations de bilan sur les journaux nationaux au mois de Mars , on trouve toutes les informations , les benef , les dividendes , les impôts etc c'est une obligation légale des entreprises cotées
                        Tu défends ton roi jusqu'au bout tu est un bon sujet... Bref tu ne connais pas bien l'OCP pour ton information l'état marocain ne détient que 94% de l'OCP, le reste tu sais chez qui il est ?

                        il faut se référer aux rapports du HCP pour s'informer , un point de croissance au Maroc crée environ 25000 à 30000 emplois ce qui est peu par rapport au passé
                        C'est possible mais il faut dépasser un certain seuil de progression avant d'avoir des points qui génèrent de l'emploi.

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                        • #13
                          Tu défends ton roi jusqu'au bout tu est un bon sujet... Bref tu ne connais pas bien l'OCP pour ton information l'état marocain ne détient que 94% de l'OCP, le reste tu sais chez qui il est ?

                          je ne défends personne ,j'essaie de t'expliquer parce que tu es à coté de la plaque par manque d'information ,en plus le reste du capital de l'OCP est entre les mains de la BP qui est une banque publique qui détient 5,88 par augmentation de capital

                          Commentaire


                          • #14
                            je ne défends personne ,j'essaie de t'expliquer parce que tu es à coté de la plaque par manque d'information ,en plus le reste du capital de l'OCP est entre les mains de la BP qui est une banque publique qui détient 5,88 par augmentation de capital
                            Non tu évites de me répondre franchement car tu sais que ton Roi ne paye pas d'impôt sur les participation qu'il possède dans la SNI par l’intermédiaire de la SIGER Ergis.

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                            • #15
                              Non tu évites de me répondre franchement car tu sais que ton Roi ne paye pas d'impôt sur les participation qu'il possède dans la SNI par l’intermédiaire de la SIGER Ergis


                              je crois que tu n'as pas lu ma réponse au sujet des sociétés de l'ONA , ils paient tous leurs impôts et c'est vérifiable à travers la publication des comptes que chaque actionnaire intéressé par l'achat des actions de ses sociétés , pourrait s'informer , c'est pas sorcier , la prochaine fois ne mélange pas le secteur privé et le secteur public , il y a des lois qui les régissent

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