Le chef de l'Etat lituanie Grybauskaité a accusé le gouvernement Tsipras du manque de volonté de réforme. La Grèce a vécu au-delà de ses moyens pendant des décennies et ne voulait pas prendre la responsabilité pour elle maintenant. "Nous voyons un pays qui veut se régaler et d'autres doivent lui donné l'argent pour les vacances," dit-elle.
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GRECE ; TVA, retraites, fiscalité... La quasi-reddition de Tsipras devant les créanciers
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Les mesures d'austérité ont une contrepartie : 54 milliards de dollars d'aide sur trois ans.
On est loin de "voici la feuille de route et pas de discussion sur la dette ou pas avant l'automne".
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Le probleme de Tsipras c’est qu’il rejettai l’austerite
L’argent sans les reforrmes avec la depense facile
C’est ca le different
L’europe n’a jamais ferme le robinet
Mais son ouverture etait conditionnee a un changement dans la gouvernance
Et cela Tsipras le populiste n’en voulait pas.
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''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
Napoléon III
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jawzia
Les mesures d'austérité ont une contrepartie : 54 milliards de dollars d'aide sur trois ans.
On est loin de "voici la feuille de route et pas de discussion sur la dette ou pas avant l'automne".
Ne noie pas le poisson. Plus de 54 milliards et c'était prévu car Mr Tsipras voulait des aides mais pas d'austérités.
Maitenant que le référendum est passé, certains pays de l'europe tendent plus vers une sortie de la Grèce de la zone euro.Et surtout c'est la perte de confiance envers la Grèce.
Je trouve le gamin Tsipras immature envers les vrais interets de son pays. Car le cirque de référundum n'avait aucun sens, et la vraie décision était de jeter les anciens responsables magoulleurs en prison.
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Le gouvernement grec pourrait poursuivre Goldman Sachs
Le gouvernement grec d'Alexis Tsipras pourrait poursuivre la banque américaine Goldman Sachs dans l'affaire du maquillage des comptes grecs en 2001-2002 destiné à aider Athènes à rester dans l'euro. À lire la une du quotidien britannique The Independent de samedi citant des sources de bonne foi, les autorités grecques examinent la possibilité de saisir les tribunaux pour tenter de récupérer la commission colossale de plus de 600 millions de dollars (538 millions d'euros) gagnée par la filiale européenne de l'établissement new-yorkais sur cette transaction qui a aidé la Grèce à camoufler sa dette à ses partenaires européens. Ironie du sort, l'équipe Syriza serait conseillée dans ce dossier par… un ancien banquier de Goldman Sachs – dont le nom n'a pas été divulgué -, expert des dettes souveraines.
En traînant Goldman Sachs devant les tribunaux, Athènes suivrait l'exemple du fonds souverain libyen qui lui réclame 800 millions de dollars détournés sous le régime Kadhafi devant la Haute Cour de Londres.
En 2001-2002, dans la foulée de l'entrée de la Grèce dans l'euro, le gouvernement socialiste grec de Costas Simitis choisit Goldman Sachs pour l'aider à réduire le service de sa dette. Pourquoi refuser pareil mandat hautement rémunérateur, parfaitement légal, même s'il s'agit dans les faits d'enjoliver les comptes publics afin de dissimuler l'ampleur de ces déficits ? Une associée anglo-grecque du bureau de Londres, Antigone Loudiadis, experte des produits financiers complexes, met au point un mécanisme appelé « credit derivative swaps » ou « CDS souverains » dans le jargon. Grâce à cette transaction, Loudiadis aurait reçu un bonus de 12 millions de dollars. Goldman Sachs affirme avoir prévenu Eurostat, l'organisme européen chargé de surveiller la comptabilité des États, du montage financier grec. À l'époque patron d'Eurostat, le baron Michel Vanden Abeele a toujours nié avoir été informé par la banque.
« Les normes de transparence auraient dû être meilleures »
En 2005, la National Bank of Greece (NBG) devient le partenaire de la Grèce sur les marchés financiers. Goldman Sachs se contente du rôle de banque-conseil. La NBG, avec l'aide de Goldman Sachs, crée une société basée dans la City, baptisée Titlos. La coentreprise est installée dans les bureaux de Wilmington Trust et Services, compagnie spécialiste de la finance offshore, en particulier dans l'enregistrement de sociétés dans le paradis fiscal américain du Delaware. En transformant les CDS souverains de 2001 en une obligation à vingt ans, Titlos parvient à transférer, ni vu ni connu, la dette grecque du bilan du pays à celui de la NBG. Les Européens ont préféré regarder ailleurs. Et les Grecs, eux, ont pu continuer à vivre à crédit.
Goldman Sachs n'a jamais oublié cette opération rémunératrice. La preuve, à l'automne 2009, Gary Cohn, le numéro deux de la banque, accompagne une délégation d'investisseurs à Athènes pour rencontrer officiels et analystes. John Paulson, le patron du fonds spéculatif américain éponyme, est présent. Grand vainqueur de la crise en pariant contre les banques, Paulson est un gros client de Goldman Sachs qui effectue l'essentiel des transactions de son hedge fund. Cohn propose au nouveau Premier ministre grec, George Papandréou, de lui vendre un instrument financier permettant de débudgétiser une partie de la dette du service de santé grec. Paulson serait prêt à s'associer à l'entreprise. Le chef du gouvernement socialiste refuse.
Le 23 février 2010, la commission des finances de la Chambre des communes interroge Gérald Corrigan, l'un des principaux dirigeants de Goldman Sachs. Il reconnaît l'aide que la firme a apportée au truquage des comptes grecs, « avec le recul, c'est clair que les normes de transparence auraient dû être meilleures ». Mais à l'écouter, la banque d'affaires américaine est un bouc émissaire. En effet, d'autres institutions financières - à commencer par JP Morgan - ont permis à des pays de la zone euro, à l'instar de l'Italie ou de la Belgique, de « maquiller » leur dette sans provoquer une telle curée.
le point fr
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Bien que ne faisant pas partie de la cavalerie mais de l’infanterie
Je suis contre Tsipras
Car je n’aime pas les populistes
Son p'tit jeu ne marche pas avec les gens sérieux et travailleurs comme les allemands qui veulent le virer de la zone euro pendant 5 ans.
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Ignorant, peut être, mais pas bête
Pour ce qui est de la première, extrait d'un article publié sur ce forum
Or, que proposent sur la dette les créanciers ? D'y réfléchir à l'automne. Une position inacceptable pour deux raisons. D'abord, parce que la Grèce a été traumatisée par la fausse promesse de novembre 2012 où, pour imposer un sévère plan d'austérité, les créanciers avaient promis à Antonis Samaras de restructurer la dette une fois le pays revenu en excédent primaire.Dernière modification par jawzia, 12 juillet 2015, 19h21.
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Accord à Bruxelles : un plan d’aide humiliant pour la Grèce
Après une longue nuit de négociation, Athènes pourra enfin bénéficier d’un troisième plan d’aide financier européen. Mais les conditions de l’accord sont dures, voire “humiliantes”, juge la presse.
Après dix-sept heures de négociation à Bruxelles sur l’avenir de la Grèce, les dirigeants de la zone euro ont enfin trouvé un accord “unanime” dans la matinée du 13 juillet : ils négocieront un nouveau plan d’aide pour Athènes, a annoncé le président du Conseil européen Donald Tusk.
Selon le Financial Times, la chancelière allemande Angela Merkel dit que l’accord sera d’une valeur de 86 milliards à 87 milliards d’euros sur trois ans. “Le Premier ministre grec” explique le quotidien de la City de Londres, “semble avoir cédé à la pression pour adopter des réformes difficiles, y compris sur la fiscalité et les retraites”.
L’un des points clés de l’accord est la création d’un fonds basé à Athènes regroupant des actifs grecs à hauteur de 50 milliards d’euros pour garantir les privatisations exigées par l’Eurogroupe.
Des conditions bien plus dures
Selon le quotidien grec I Kathimerini, “Tsipras va devoir faire passer cette semaine des pans entiers de lois au Parlement pour convaincre ses 18 partenaires de débloquer des fonds de transition afin d’éviter une faillite de l’Etat et entamer des négociations sur un prêt de trois ans.”
Les conditions de ce troisième plan d’aide sont beaucoup plus rigides que celles des plans de secours des cinq dernières années, note The Guardian, et ce serait pour faire payer à la Grèce le non au référendum du 5 juillet, explique le journal. “On avait mis en garde Tsipras qu’un oui mènerait à des conditions plus souples, et qu’un non mènerait à des conditions beaucoup plus dures”, selon une source proche des négociations citée par le quotidien.
Aujourd’hui, l’accord pose justement le type de conditions que le peuple grec vient de rejeter par référendum, note Politico.eu. “De nombreux membres de Syriza, le parti de Tsipras, ont dénoncé l’accord comme une capitulation humiliante imposée [à la Grèce], notamment par l’Allemagne”, rapporte le site d’actualités européennes dont le siège est à Bruxelles.
le courrier international
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Les vrais criminels contre le peuple grec sont ses anciens dirigeants
Tsipras lui n'y est pour rien
tout ce que l'on peut lui reprocher c'est qu'il est CON, terriblement CON.
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''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
Napoléon III
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