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GRECE ; TVA, retraites, fiscalité... La quasi-reddition de Tsipras devant les créanciers

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  • #46
    Le chef du gouvernement grec a reçu une fessée magistrale et le peuple grec une punition sévère pour s'être révolté contre l'ordre établi
    Leurs pays par cet accord est quasiment devenu un protectorat allemand

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    • #47
      Je vois pas en quoi cet accord modifie la situation dans laquelle se trouvait la Grèce. Elle a tjrs été sous tutelle de la troïka depuis 2010, donc non événement. Ce que je vois, la Grèce a réussi son objectif, celui de négocier pour le réechelonnement de la dette. C'est tout le véritable enjeux se trouvait là.

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      • #48
        c'est le mécanisme européenne de stabilité qui prendrai en charge cette de dette et le mécanisme européen ce sont nous citoyens lambda qui la finançons à travers nos impôts. Moi personnellement, je suis pas prêts à payer pour eux. Je préfère qu'il reste pour le payer seul.

        Il y aura certainement de gros dégats financiers si la Grèce sort de la zone Euro et comme je t'ai dis, Tsipras a joué l'effet surprise. Ils l'ont maintenu sous couvert de solidarité européenne.
        Mais je pense que l'Europe se prépare déjà à une sortie de la Grèce.

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        • #49
          EXIT le GREXIT.

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          • #50
            EXIT le GREXIT

            Et au final tu espérais juste le maintien de la Grèce ?

            Après le référendum en fanfare c'est la queue entre les jambes. Et tu as cru toi aussi à la démogagogie?

            D'ailleurs ce type de populisme on ne l'entend que de la gauche bourré à la fête de l'humanité.

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            • #51
              Et au final tu espérais juste le maintien de la Grèce ?
              J'attends de voir quelles furent mes prédictions pour passer aux aveux !!

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              • #52
                pillage et neo-colonialisme...

                Voila comment la lâcheté des hommes politiques donne tout pouvoir au banques sur la monnaie ( en les laissant prêtè a tour de bras ) , en suivant le modele liberal, et transfert ainsi la souveraineté d'un pays du peuple au banques puis au "organisme extra territoriaux" qui rachète en derniers ressort cette dette.
                Ces organisme en échange de ce passif , se servent sur les actifs , que cet état , ce peuple , n'aurait jamais bradé... et le plus beau c'est que cette vaste braderie ..cette vente a la découpe laisseras toujours se pays endetté, sous tutelle , le peuple obligé d'accepter le diktat de fonctionnaire venu d’ailleurs pour diriger ces affaires a sa place .

                Comment on appelle cela ???

                Et je comprend pas comment ont peut se réjouir de cela .. c'est le néo- colonialisme ...et il ne manque de 'harkis" pour brader les intérêts nationaux en échange d'un poste au sein d'un C.A prestigieux
                "tout a été dit , tout reste a penser"
                Alain

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                • #53
                  l’équation de départ de Tsipras est fasse: '' refuser l’austérité '' et '' rester dans l’Europe '' sont deux affirmations contradictoires....mnt l'affaire est pratiquement réglée, ça sera pas le grexit, ca sera l’austérité (et aux conditions allemandes svp)...j'ai lu dans un article qu'il s'agit d'un traité de Versailles à l'envers.

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                  • #54
                    '' refuser l’austérité '' et '' rester dans l’Europe '' sont deux affirmations contradictoires....
                    Pour être précis et honnête, Rod, Tsipras refusait d'une la feuille de route pronant l'austérité sans aucune contrepartie qui contribuerait à susciter de la croissance et donc de la création de richesse (qui servirait à payer la dette) et d'autre part Tsipras voulait une restructuration de la dette (et idéalement un délai de grâce).

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                    • #55
                      L'euro est une monnaie d'occupation sans les armes et sans les morts, la Grèce n'est plus q'un immense parc de loisir mis sous tutelle par les financiers et par la troïka de Bruxelles, mais le prochain gros morceau de choix sera la France.

                      Leurs intérêts, c'est de démanteler les gros bijoux de familles, l'industrie et les concurrents comme en Allemagne de l'Est.

                      Pauvre France, ils n'ont rien compris, ils se consoleront avec le parc de loisir Eurodisney.
                      Dernière modification par zek, 14 juillet 2015, 08h20.
                      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                      • #56
                        Jawzia

                        Pour être précis et honnête, Rod, Tsipras refusait d'une la feuille de route pronant l'austérité sans aucune contrepartie qui contribuerait à susciter de la croissance et donc de la création de richesse (qui servirait à payer la dette) et d'autre part Tsipras voulait une restructuration de la dette (et idéalement un délai de grâce).

                        Tsipras: «J’ai pris la responsabilité de signer un accord auquel je ne crois pas»

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                        • #57
                          Alexis Tsipras désavoué par son parti

                          Par 109 voix sur 201, le Comité central de Syriza a rejeté l'accord passé lundi entre les dirigeants de la zone euro et le gouvernement grec. Le Premier ministre ne peut plus s'appuyer sur une majorité au sein de son part

                          Le parti d'Alexis Tsipras est-il sur le point d'imploser ? Stathis Kouvelakis, membre de la plateforme de gauche (aile gauche de Syriza), a annoncé que la majorité du comité central de Syriza a rejeté l'accord signé à Bruxelles, lundi 13 juillet : 109 membres de la direction du parti sur 201 se prononcés contre, mercredi 15 juillet.

                          Sur sa page Facebook, Stathis Kouvelakis a publié la déclaration du Comité central. Selon ce dernier:

                          "Un coup d'Etat a eu lieu à Bruxelles. Il a démontré que l'objectif des leaders européens était de punir un peuple qui envisageait un autre modèle, différent du modèle néolibéral de l'extrême austérité. [...] L'accord nest pas compatible avec les idées et les principes de la gauche, mais, plus encore, n'est pas compatible avec les besoins des classes travailleuses.
                          Appel à l'unité
                          Les 109 membres du Comité central qui se sont prononcés contre l'accord ont toutefois lancé un appel à l'unité au sein du parti:

                          "Nous demandons au comité central de nous réunir immédiatement et nous invitons les membres, les cadres et les députés de Syriza à préserver l'unité du parti sur la base de notre conférence, des décisions et de nos engagements en matière de programme."
                          C'est un nouveau coup dur pour Alexis Tsipras qui s'ajoute aux démissions de la vice-ministre des Finances Nadia Valavani et du ministre adjoint aux Affaires européennes, Nikos Chountis,. Elus de Syriza tous les deux, ils sont opposés à l'accord passé avec les créanciers lundi.

                          la tribune fr

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                          • #58
                            Ce comité central a bien raison, car même si le parlement vote pour grâce à ........l'opposition, la grèce ne fait que reporter l'échéance d'une sortie de l'euro.

                            En effet, on parle d'environ 80 milliards de plan d'aide pour 3 ans alors même que la grèce va avoir besoin de 12 à 15 milliards d'ici un mois (paiement des retraites et salaires, remboursements de la BCE, FMI etc ...).

                            Où est la logique là-dedans ?? et surtout quel salut pour les grecs.
                            Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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