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LE PROJET DU GAZODUC ALGER-LAGOS MAINTENU. Le Maroc perd sa grande bataille

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  • #31
    e gazoduc algérien qui passe par ses terres malgré toute la générosité qu'à montré Chadli dans l'affaire
    tu voulais pas passer gratos tout de même....lgrattage

    à ce demander où sont passés ses royalties dans boum économique du Maroc!
    si celui qui vend le gaz est à la traîne, faut s'attendre à des miracles chez celui par qui passe le gazoduc..

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    • #32
      LE PROJET DU GAZODUC ALGER-LAGOS MAINTENU. Le Maroc perd sa grande bataille
      lah ychafi.

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      • #33
        l'algerie dejà exportateur et elle veut faire passer le gaz d'un concurrent par ses terres et qui risque de lui grater des parts de marché

        ça mettrait en doute, quequ'un a peut etre convaincu le nigeria que l'algerie les mene en bateau et que ce gazoduc n'aura jamais lieu
        Justement, le gazoduc algérien est opérationnel et sous exploité, vu que la demande des européens a baissé. les Italiens pour faire pression et revoir à la baisse les prix sous contrat ont sciemment cherché à mettre en difficulté les Algériens. Donc, l'Algérie est de son intérêt évident pour amortir les frais de transport et son couteux financement à rentrer en coopération avec le Nigeria. Un concurrent comme tu dis, des fois il vaut mieux se partager le marché et les risques avec lui que de rentrer en concurrence direct perdantes pour les deux.Le projet commun au contraire ça renforce leur capacité et moyens d'un coté et retirer une carte de pression & chantage à leur clients européens !
        Maintenant, c'est tu veux voir l'Algérie comme elle ne sait pas montrer loyale et a essayé de doubler le Nigeria , soit! Il se trouve le Nigeria est un pays le plus peuplé du continent , pas comme le Qatar qui peut se permettre de faire des ristournes. Dèja qu'au Nigeria, le peuple grouille plus qu'en algérie puisque il voit pas assez le retour sur ça vie le benef des ventes du pétrole & gaz, c'est pourquoi une rebellion armée dont une de ses revendications le partage équitable de la rente. l'Algérie , ses investissements sont en partis amortis, les gazoducs depuis plusieurs années qui sont en service, elle peut se permettre de négocier à la baisse son gaz à l'europe de telle façon de mettre en difficulté le gaz nigérien, c'est évident vu, l'avantage des infrastructures déjà en place et la proximité du marché. ET c'est de bonne guerre comme on dit !
        Qui sait le perdant dans l'affaire je te laisse deviner !
        Dernière modification par pioto, 15 décembre 2016, 15h58.

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        • #34
          cordialement

          Citation:
          Vous l'avez bien dit:"Un vieux projet" .
          Si je comprends bien, les Algériens ont le droit de rêver et pas les Marocains.
          Que ça reste du domaine du rêve et du cinéma de sidna, les Marocains ont aussi leur droit au quota de rêves !
          Alors , on est d'accord. Ça sert à rien de se chamailler ou de parler de bataille ou de guerre, quand il s'agit d'un rêve

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          • #35
            Justement, le gazoduc algérien est opérationnel et sous exploité, vu que la demande des européens a baissé. les Italiens pour faire pression et revoir à la baisse les prix sous contrat ont sciemment cherché à mettre en difficulté les Algériens. Donc, l'Algérie est de son intérêt évident pour amortir les frais de transport et son couteux financement à rentrer en coopération avec le Nigeria.
            c'est bien de penser à exploiter une infrastructure deja existante de façon optimale. qu'est ce qui bloque alors?

            quelle est la capacité de ce gazoduc? est ce que ça suffit aux besoins du nigeria (30mds m3) et de l'algerie?

            Un concurrent comme tu dis, des fois il vaut mieux se partager le marché et les risques avec lui que de rentrer en concurrence direct perdantes pour les deux.Le projet commun au contraire ça renforce leur capacité et moyens d'un coté et retirer une carte de pression & chantage à leur clients européens !
            je presume qu'avec un gazoduc le gaz du nigeria deviendrait competitif et donc des parts de marché qui s'envolent. en acheminant le gaz du nigeria vous offrez à vos client un nouveau fournisseur.

            un client aime avoir plusieurs devis à moins qu'un arrangement d'alignment de prix entre fournisseurs ne soit trouve (russie inclu)


            Maintenant, c'est tu veux voir l'Algérie comme elle ne sait pas montrer loyale et a essayé de doubler le Nigeria , soit! Il se trouve le Nigeria est un pays le plus peuplé du continent , pas comme le Qatar qui peut se permettre de faire des ristournes. Dèja qu'au Nigeria, le peuple grouille plus qu'en algérie puisque il voit pas assez le retour sur ça vie le benef des ventes du pétrole & gaz, c'est pourquoi une rebellion armée dont une de ses revendications le partage équitable de la rente. l'Algérie , ses investissements sont en partis amortis, les gazoducs depuis plusieurs années qui sont en service, elle peut se permettre de négocier à la baisse son gaz à l'europe de tel façon de mettre en difficulté le gaz nigérien, c'est évident vu, l'avantage des infrastructures déjà en place et la proximité du marché.ET c'est de bonne guerre !
            c'est peut etre ce qu'a du decouvrir les nigerians avant d'opter pour une autre trajectoire

            Qui sait le perdant dans l'affaire je te laisse deviner !
            pour l'instant l'algerie est gagnante puisque son plan de retarder le projet marche. c'est le plus important.

            ah le perdant? le nigeria biensur, des années d'attente
            Dernière modification par m.rico, 15 décembre 2016, 16h27.
            "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
            Johann Wolfgang von Goethe

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            • #36
              tu voulais pas passer gratos tout de même....lgrattage
              Non, rien n'est gratuit; mais dans l'affaire de ce gazoduc Chadli a été fort généreux !
              Le grattage! C'est pas nous que le lendemain de l'ouverture du premier tronçon de autoroute EST-OUEST on a commencé à se rêver de la sillonner gratos au nom du grand Maghreb pour écouler son surplus de tomaticha !
              Dernière modification par pioto, 15 décembre 2016, 18h36.

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              • #37
                cell
                comme si la réussite d'un projet ne dépend que de l'échec d'un autre.
                malheureusement c le cas ici...

                Commentaire


                • #38
                  Le gazoduc Alger-Lagos n'est pas enterré
                  .évidement puisqu'il sera offshore.

                  je pense qu'on juge trop l'algerie comme un pays pétrolier,c'est un pays gazier par excellence,
                  et c'est pour cette raison que construire un pipeline qui passe sur son territoire pour délivrer un gaz autre que le sien est une stupide idée,car ca va certainement la concurrencer sur ce secteur,en plus de réduire substantiellement le nombre de cartes de pression sur les européens.
                  chercher a concrétiser ce projet avec le nigeria équivaut a se tirer une balle dans le pied,heureusement(pour les algériens)que les conseillers de bouteflika l'avaient mis en sourdine.

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                  • #39
                    malheureusement c le cas ici..
                    Pas vraiment taw

                    Tu réfléchis en terme de marché européen ; alors que si le projet du gazoduc Nigeria Maroc se concrétise ; il y a de grandes chances que 80% du volume de gaz qu'il transportera sera consomme par les pays qui seront traversee et qui ont besoin de cette énergie pas polluante et bon marché pour se développer .... l'export vers l'Europe serait alors juste une cerise sur le gâteau ; un secours et un complément au gazoduc Nigeria - Algérie .......

                    Mais bon pour que cette vision soit une réalité implique des relations politiques apaisées et des dirigeants si possible pas débile et qui voient plus loin que le bout de leur nez ......
                    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                    • #40
                      Tu réfléchis en terme de marché européen ; alors que si le projet du gazoduc Nigeria Maroc se concrétise ; il y a de grandes chances que 80% du volume de gaz qu'il transportera sera consomme par les pays qui seront traversee
                      Bien dit !!! Rien que la Gambie va consommer 50% !!!

                      Du Nigeria au Maroc,ça ne dépasserait guère les besoins d'une province en Europe !!!
                      Dernière modification par AARROU, 15 décembre 2016, 21h31.
                      "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                      • #41
                        Tu réfléchis en terme de marché européen ; alors que si le projet du gazoduc Nigeria Maroc se concrétise ; il y a de grandes chances que 80% du volume de gaz qu'il transportera sera consomme par les pays qui seront traversee
                        jolie rengaine...

                        selon ton approche, le nigéria pourrait faire un gazoduc vers le camerounn congo, rwanda et pousser jusqu'à bujumbura

                        puis si tel était le cas, il rejoint juste le gazoduc de hassi rmel et hop c bien moins cher

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                        • #42
                          tawenza
                          jolie rengaine...

                          selon ton approche, le nigéria pourrait faire un gazoduc vers le camerounn congo, rwanda et pousser jusqu'à bujumbura

                          puis si tel était le cas, il rejoint juste le gazoduc de hassi rmel et hop c bien moins cher
                          Ils oublient (volontairement )de parler des royalties pour droit de passage que le gazoduc devra payer !!!

                          Au premier coup d’œil,le gazoduc va avoir a payer plus de royalties que de vente de gaz ,
                          "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                          Commentaire


                          • #43
                            Irridium a tout à fait raison ,le Nigéria est un pays producteur de gaz et cherche des clients pour vendre ,il peut construire d'autres Gazoducs vers d'autres destinations comme le font d'autres pays comme la Russie ,chaque pays cherche à sécuriser ses ventes et donc ses recettes ,le Gazoduc qui passe par l'Algérie arrange plus le Nigéria qui sont concurrents ,le Maroc est dépourvu de gaz et présente un projet qui va jusqu'à l'UE que les nigérians ont acceptés
                            C'est le problème des frustrés ils voient le mal partout et se victimise sans cesse. Pourquoi la gazoduc Nigéria Maroc serait-il un concurrent du gazoduc Nigéria Algérie. Le gazoduc qui passera par toute l'Afrique de l'ouest et simplement une deuxième route
                            Dernière modification par iridium, 16 décembre 2016, 10h11.

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                            • #44
                              Envoyé par iridium
                              C'est le problème des frustrés ils voient le mal partout et se victimise sans cesse. Pourquoi la gazoduc Nigéria Maroc serait-il un concurrent du gazoduc Nigéria Algérie. Le gazoduc qui passera par toute l'Afrique de l'ouest et simplement une deuxième route
                              Le projet d'extension du gazoduc existe deja et ne concerne que les pays de l'afrique de l'Ouest pas l'europe

                              En vérité le projet du Maroc ce n'est qu'une adhésion au projet d 15 pays de l'afrique de l'Ouest

                              Ouagadougou, le 29 avril 2016

                              L’atelier régional pour la validation du rapport préliminaire de l’étude de faisabilité pour l’extension du réseau de gazoduc de l’Afrique de l’ouest s’est achevé le 28 avril 2016 à Ouagadougou, au Burkina Faso, sur une série de recommandations aussi bien à l’endroit du consultant ayant réalisé l’étude qu’à la Commission de la CEDEAO.
                              A la Commission, il a été demandé d’envisager l’organisation d’une rencontre inter-états incluant les parties prenantes au gazoduc ouest-africain, en vue d’identifier les difficultés liées à la fourniture du gaz naturel et aux paiements des factures de livraison de gaz naturel.

                              Les participants ont également suggéré qu’une étude de l’offre et de la demande en gaz naturel soit menée pour chacun des 15 États membres de la CEDEAO

                              Concernant le consultant, il lui a été indiqué de revoir au niveau de chacun de ces Etats la pertinence de certaines données utilisées dans les différentes analyses présentées dans le rapport. Chaque point focal ou délégué pays devra aider le consultant à disposer des données actualisées au niveau de son État.

                              Le consultant est aussi appelé à formuler des recommandations plus pertinentes pour proposer des solutions aux problèmes actuels du gazoduc de l’Afrique de l’ouest.

                              Recommandation est également faite au consultant d’analyser la multiplicité des points d’entrée pour l’approvisionnement du gaz, notamment par le Ghana et la Côte d’Ivoire, comme alternative complémentaire à l’approvisionnement du gazoduc par le Nigeria.

                              Une autre décision de la réunion porte sur la présentation par le consultant d’une analyse comparée entre le transport du gaz naturel d’un Etat A à un Etat B par extension du gazoduc ouest-africain pour la production d’électricité, d’une part, et le transport de l’énergie électrique d’origine thermique (centrale à gaz) entre lesdits États suivant les plan d’interconnexion du WAPP, d’autre part.

                              Les participants ont par ailleurs demandé au consultant d’intégrer dans ses analyses l’option de constituer des pools régionaux à l’image du Système d’échanges d’énergie électrique ouest africain (WAPP) en vue de faciliter l’approvisionnement de certains Etats par un Etat hub

                              S’agissant de l’extension du gazoduc, les participants estiment que celle-ci doit profiter à l’ensemble des 15 États membres de la CEDEAO. Toutefois, ils adhèrent à la proposition du consultant de procéder au phasage de l’extension afin de garantir la viabilité économique du projet.


                              Dernière modification par MEC213, 16 décembre 2016, 09h27.

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                              • #45
                                y aura pas de gazoduc les gars, vous pouvez vous reposez...

                                Commentaire

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