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Najib Akesbi : «Le régime de change actuel est un moindre mal»

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  • #31
    Jusgement cest loin d'etre un chamboulement
    c'est une periode transitoire et progressive de 15 ans
    Par là je voulais juste dire que le Maroc a beaucoup à faire à consolider sur d'autres plan économique, social, voire politique que s'essaie à ce vilain petit jeu de se lancer dans une aventure même sur 15 ans !
    Les banques marocaines que vous dites sont costauds, justement Fitch vient de mettre son nez et voir de près qu'est ce qu'il en est au juste...Eh bien ses sentences sont loin être rassurante....Il trouve même les banques champions du Maroc, sont un peu trop joueur de poker... Elles se sont embarqués dans des opérations sans avoir les reins solides pour affronter tout retournement.

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    • #32
      Depuis 40 le cours du petrole a fluctuee mais jamais a des nuveaux comparables avec ceux davant 1973
      Donc pour sortir du déficit de la balance commerciale, il faudrait attendre un retour vers les cours de 1973 : moins de 4$

      Les données du premier semestre 2017, indiquent que le Maroc va droit vers les 20 milliards de déficit pour son commerce extérieur. Le mal est bien plus profond que de l'attribuer aux cours du brent.

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      • #33
        Donc pour sortir du déficit de la balance commerciale, il faudrait attendre un retour vers les cours de 1973 : moins de 4$
        ou 100$ pour certains pays

        sinon tout les pays NI ou en voie de développement, importateurs net d'énergie, ont une balance commerciale déficitaire. la turquie, par exemple, qui a 2 fois plus de population que le Maroc a un déficit commercial 4 fois plus important(environ 80 milliards$). l'Inde est à 150 milliards$.

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        • #34
          sinon tout les pays NI ou en voie de développement, importateurs net d'énergie, ont une balance commerciale déficitaire. la turquie, par exemple, qui a 2 fois plus de population que le Maroc a un déficit commercial 4 fois plus important(environ 80 milliards$). l'Inde est à 150 milliards$.
          On se console comme on peut.

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          • #35
            Ce que je veut dire c'est que les pays ne disposant pas de ressources naturelles importantes doivent cravacher 5 fois plus dure pour équilibrer leur balance commercial

            Le Maroc n'est pas un élève excellent dans cet exercice
            au contraire
            et pour plusieurs raisons, entre autre pour ne pas avoir libéralisé dès le départ son économie comme il se doit (contrairement aux apparences (1)) notamment par un régime de change qui soutient les importations et pénalise les exportation et les IDE.

            il y a bien sur d'autre raisons,




            (1)
            A. années 70 : mesures socialisantes : la marocanisation qui a cassé le tissu économique hérité des français et qui là offert gratis des prédateurs nationaux dont le seul but est de s'accaparer le foncier. Sans politique de développement et de croissance. Politique qui a vidé des entreprises prometteuses de sa matière grise

            B. Année 80: une politique inefficace et inutile de Substitution aux importations. Politique qui avec la maigre épargne nationale a entretenue des entreprises paresseuses non innovantes génératrices de médiocrité

            C. Années 90 : Une campagne soit disant d'assainissement 1995 et 1996 qui a mis KO la confiance des investisseurs et qui mis l'économie marocaine dans un climat d'incertitude et d'arbitraire

            Ce n'est qu'à partir des années 2000 en fait qu'une politique bien orientée mais avec une vitesse d'exécution pas très rapide et qui malgrè cela à produit des résultats en totale opposition avec la léthargie des années passées.
            Mais la crise de 2008 à considérablement perturbée le trend entamé

            La libéralisation du taux de change est un moyen parmi d'autres pour rebooster la mécanique
            .
            .
            ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
            Napoléon III

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