L'Algérie n'est pas le Maroc ..
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L'Algérie n'est pas le Maroc .. ce que fait Rabat avec l'argent du haschisch [Messahel]
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Afellay @
tu penses que les langues vont se délier? y a meme pas un seul officiel algerien pour soutenir messahel et confirmer ses dires. il n'y a qu'a lire les médias internationaux ... messahel est tout seul, et il sait qu'il vient de commettre une sacrée gaffe.
Je suis sûr et certain que Messahel n'a pas trouvé ça tout seul.Je crois qu'on l'a poussé à faire ces déclarations en attendant que ça fasse du boucan et le virer par la suite.Je ne vois que çaBelieve YOU CAN & you're HALFWAY there
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Voila pourquoi:
Vulgaire hostilité algérienne
Altalsinfo.fr
Pour les chroniqueurs assidus de la très conflictuelle relation entre le Maroc et l’Algérie, les dernières déclarations du ministre des affaires algériennes Abdelakader Messahel constitue un tournant aussi dangereux qu’inédit. Le choix des angles d’attaque, les mots utilisés, le timing choisi ...Autant d’indicateurs qui renseignent sur une hostilité froidement planifiée, sur une envie d’en découdre avec le voisin marocain. Il est vrai que le langage ordurier utilisé par le ministre Massahel peut donner cette impression d’un pétage de câbles, d’une irruption incontrôlée, d’une jalousie morbide et obsessionnelle qu’un ministre à la tête d’une administration impuissante et incompétente peut couver, mais il ne s’agit là que de la partie visible d’un iceberg en pleine décomposition interne.
Il est tout aussi vrai que la nouveauté dans la sortie du chef de la diplomatie algérienne est qu’il a repris à son compte les allégations que des officines algériennes, connues pour leur atavique hostilité à l’égard du Maroc, disséminaient dans une presse algérienne aux ordres. L’idée à la base était de nuire à un modèle économique et politique en train de réussir malgré tous les obstacles et toutes les tensions dressés contre lui.
Plusieurs raisons peuvent éclairer cette déflagration algérienne à l’égard du Maroc. Alors que pendant des années le « langage diplomatique » algérien a connu une relative retenue, se contentant de se livrer aux justifications classiques qui maintiennent aussi bien la fermeture des frontières terrestres entre le Maroc et l’Algérie que leurs soutiens irrationnels aux séparatistes du Polisario, le ministre algérien vient d’inaugurer une nouvelle stratégie dans la relation avec le voisin marocain: l’adoption de l’insulte provocatrice comme posture d’attaque, de la vulgarité comme l’expression d’une hostilité à l’égard du voisin. Le nihilisme assumé dans lequel s’est enfermée la diplomatie algérienne à l’égard du Maroc est sans doute l’élément nouveau qui suscite autant d’interrogations et d’inquiétude pour l’avenir de toute la région.
Partant du constat que le Maroc a toujours été ce pays vers lequel les frustrations de la classe politique dirigeantes algérienne ont été dirigées à chaque pic de tensions, la démarche de ce responsable algérien peut trouver ses racines et ses justifications dans la catastrophique situation politique et économique de l’Algérie. D’un côté, le bas de laine énergétique ayant fondu ces dernières années comme neige au soleil, le gouvernement d’Ahmed Ouyahia trouve d’immenses difficultés à continuer à subventionner la paix sociale et s’apprête à demander de grands sacrifices aux classes populaires algériennes dont une grande majorité est habituée à un assistanat à la soviétique. Cette politique porte en elle même les germes d’une grande explosion sociale qui pourraient transformer les événements du printemps arabe tunisien ou égyptien en une promenade de santé.
Sur le plan politique, le régime algérien, faute d’avoir trouvé un successeur consensuel à Abdelaziz Bouteflika, est en train de préparer une grande farce à double niveau: un cinquième mandat pour un président moribond ou une passation familiale du pouvoir. Cette stratégie ne peut avoir lieu dans un contexte de vie politique normal. Elle ne peut se justifier que dans un contexte de tensions extrêmes, voire de menaces de guerre avec l’ennemi intime de la classe dirigeante algérienne qui cherche à sortir du goulot par n’importe quels moyens, y compris celui de la terre brûlée.
L’autre l’élément qui fait sortir de ses gonds le ministre des affaires algériennes réside sans aucun doute dans les performances politiques et économiques marocaines sur les territoires africains. Pour contrer la pénétration marocaine dans les marchés africains, Alger avait tenté d’organiser un forum d’hommes d’affaires africains qui avait lamentablement échoué. D’ailleurs le communiqué du ministère marocain des Affaires étrangères qui avait stigmatisé le comportement de ce responsable algérien avait tenu à rappeler cette vérité : « L’engagement pour l’Afrique ne peut être réduit à une question de ressources financières, sinon l’Algérie avec ses pétrodollars aurait pu réussir. Il s’agit plutôt d’une vision claire, volontariste et agissante, ayant foi dans les pays et peuples frères de l’Afrique et investissant en un avenir commun à leur côté. »
Parallèlement à cette réussie et économique marocaine, Rabat est en train de réussir son pari de convaincre la plus part des acteurs de la communauté internationale de la viabilité de la solution que le Maroc propose pour sortir de l’impasse du Sahara et consolider son unité territoriale. Cette situation est de nature à donner des ulcères à une diplomatie algérienne dont l’unique fait d’armes est d’avoir dépensé des milliards pour encourager le séparatisme et affaiblir le voisin marocain. A ce propos, Rabat dans sa réaction n’a pas manqué de pointer ce point précis : « Le Royaume du Maroc, en condamnant ces propos affabulatoires, d’un niveau d’irresponsabilité sans précédent dans l’histoire des relations bilatérales, relève qu’ils coïncident avec la tournée régionale de l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général pour le Sahara, ainsi qu’avec les préparatifs du Sommet UE-Afrique, prévu fin novembre 2017 à Abidjan. »
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les dernières déclarations du ministre des affaires algériennes Abdelakader Messahel constitue un tournant aussi dangereux qu’inédit.
Comme tout trafiquant, le Maroc a interet a ce que son bussiness illicite se fasse dans la discrétion voire le silence le plus total. Voilà que Messahel lance un pavé dans la mare et à partir de maintenant personne ne pourra dire "je n'en savais rien" ou des inepties (entendue sur les chaines françaises) du type "Saisie de X tonnes de cannabis en provenance ... d'afrique du nord".
Non messieurs, c'est en provenance des 50.000 hectares du Maroc cultivés au vu et au su de toutes les autorités de la plus insignifiante à celles du palais.
Trafiquant de drogue, des comptes à Panama, des actions dans les casinos d'Asie du sud-est ... et c'est quand même "Amir al mouminine".
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comme le Tabac est en provenance des champs américains et le vodka en provenance des usines européens? il est ou le mal
Le Maroc est signataire d'une convention internationale de lutte contre les produits illicites où figure en bonne place le cannabis. Par cette convention, il souscrit à l'interdiction de sa culture, son traitement, son transport, sa commercialisation, consommation ...
Mais bon, un état-voyou a du mal à se défaire de son état de voyou. Peut être que la tempête provoquée par Messahel va l'aider à prendre conscience de son état.Dernière modification par jawzia, 22 octobre 2017, 13h53.
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Je ne vois rien de mal dans cette culture d'autan plus que les pays developpes se dirigent rapidement vers sa legalisation.... le Maroc doit prendre exemple sur le Canada, USA et plusieurs autres pays europeens on peut comme meme pas prendre en exemple des pays du tiers mondes comme nos voisin africains
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Mais bon, un état-voyou a du mal à se défaire de son état de voyou. Peut être que la tempête provoquée par Messahel va l'aider à prendre conscience de son état.
La Réalité et la seule qui les fait mourir de jalousie c'est que la Maroc en 15 ans a franchi des pas très importants. Sans se prétendre l'Allemagne ou la suède (ce que font tes caporaux), le Maroc a diversifié son économie, investit le continent africain et attiré les investisseurs. Tes caporaux savent qu'ils ont deux ans de réserves à siphonner et ils lâcheront le pauvre peuple algérien en 2019 sans un $ et sans aucune perspective.. Voila ce à quoi devra penser Mr Messahel et oublier son pays d'origine.
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