je vais vous expliquer qq chose qui vous dérange : la stratégie algérie dans ce domaine.
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
L’automobile double ses revenus à l’export en 5 ans
Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
-
restons donc sur renault algérie.. qui importe pour 49%.. c bcp plus simple pour toi
L'Algerie se trouve dans une situation ou elle puise dans ses reserves de changes pour recolter des Dinars.
Commentaire
-
wech ka tkhelat...
Renault finance ses importations pour 49%
Hyundai,KIA, vW aussi.
l'état vient de leur fixer un plafond car la période des 5 années prévues par les négociations a échu. On va voir comment les constructeurs vont réagir.
en zone France y a pas tout cela.. Renault importe lui-même et vend lui-même
Mais bon quand quelqu'un confond une zone franche et franchise je n'attends pas grand chose de lui en explication économique !
Admetons que c'est vrai meme si, c'est debile , donc Renault algerie importe en Euro et revend en Dinar puisqu'il n'exporte pas donc il ne fait rentrer aucun euro.
punaise de chaise mais quelle khalote fi rassek !
pour info el 3abd da3if, j'ai travaillé avec valéo, hutchinson qui sont fournisseurs de renault. la chaine des sous-traitants est comme celle des polymères...
je vais vous expliquer qq chose qui vous dérange : la stratégie algérie dans ce domaine.
1- bouchouareb était pressenti comme ministre sous bouteflika en remplacement en harchaoui environ 10 ans avant qu'il ne soit nommé. car la question risquée a été bcp discutée sans jamais avoir l'unanimité
2- avec l'embellie financière, boutef a sûrement vu une opportunité politique en lançant l'opération.. il avait alors mis un ministre des finances qui correspondait (remplacé l'austère benachnehou)
3- bouchoureb est arrivé et a mis 2 à 3 ans a boucler ses dossiers industrie auto. les négociations ont été longue et dures, notamment avec renault qui demandait l'exclusivité puis une sorte d'opa sur la snvi, en échange de son install
4- bouchouareb bien introduit à paris a réussi a refuser et faire installer qd même renault. il a lâché du terrain mais loin d'alger. il a proposé de prendre en charge l'invest mais renault a dévoyé la discu
Signature de l'accord Algerie Renault en mi septembre 2012
https://www.lepoint.fr/automobile/bl...502103_654.php
A cette époque Bouchouareb est député de la wilaya d'Alger
Bouchouareb deviendra ministre de l'industrie qu'à partir d'avril 2014 !!!!
Pas besoin d'attendre le Maghreb tu peux aller manger !
5- qq mois après suit hyundai puis vw. la stratégie est de mettre en concurrence les constructeurs sur le marché algérien, notamment à travers le taux d'intégration évolutif qui pourrait atteindre 40 puis in fine 60% après une période d'observation de 5 années minimum
6- les 5 années ont échu et le nouveau gouv veut avancer des pions. il met la pression.. faut attendre la réac des constructeurs
Pour moi et pour beaucoup d'autre tu ne connais pas le sujet de l'automobile en mentant ouvertement ! SoubhanAllah !Dernière modification par LockDown, 28 mai 2019, 19h26.
Commentaire
-
donc Renault algerie importe en Euro et revend en Dinar puisqu'il n'exporte pas donc il ne fait rentrer aucun euro.
Après, l'opérateur économique dispose d'un compte en Dinar et d'un droit d'achat des devises à la BEA au prix officiel.
Ps : j'ai passé l'âge de mentir pour faire beau mon pays..
Commentaire
-
3- bouchoureb est arrivé et a mis 2 à 3 ans a boucler ses dossiers industrie auto. les négociations ont été longue et dures, notamment avec renault qui demandait l'exclusivité puis une sorte d'opa sur la snvi, en échange de son install
4- bouchouareb bien introduit à paris a réussi a refuser et faire installer qd même renault. il a lâché du terrain mais loin d'alger. il a proposé de prendre en charge l'invest mais renault a dévoyé la discu
Signature de l'accord Algerie Renault en mi septembre 2012, les négociations ont eu lieu avant !
https://www.lepoint.fr/automobile/bl...502103_654.php
A cette époque Bouchouareb est député de la wilaya d'Alger
Bouchouareb deviendra ministre de l'industrie qu'à partir d'avril 2014 !!!!
Pas besoin d'attendre le Maghreb tu peux aller manger !
Ps : j'ai passé l'âge de mentir pour faire beau mon pays..
***Dernière modification par LockDown, 28 mai 2019, 19h30.
Commentaire
-
A cette époque Bouchouareb est député de la wilaya d'Alger
Commentaire
-
Tu continues à t'enfoncer ! La honte !!!
https://bfmbusiness.bfmtv.com/bourse...an-610362.html
Début à Oran des travaux de l'atelier de montage de Renault en septembre 2013 !
Bouchouareb devient ministre en Avril 2014, en 2012 il est député de la wilaya d'Alger ! Il n'a aucun lien avec le montage de l'atelier de Renault à Oran.
Personne ne parle de Bouchouareb en 2011 lorsque le projet était à l'étude que ce soit la presse écrite ou la télé sinon merci de citer tes sources !!!
Commentaire
-
Admetons que c'est vrai meme si, c'est debile , donc Renault algerie importe en Euro et revend en Dinar puisqu'il n'exporte pas donc il ne fait rentrer aucun euro.
L'Algerie se trouve dans une situation ou elle puise dans ses reserves de changes pour recolter des Dinars.
pour ta gouverne débile, le prix du véhicule renault en Algérie est le même que le véhicule neuf commercialisé en europe.
Après, l'opérateur économique dispose d'un compte en Dinar et d'un droit d'achat des devises à la BEA au prix officiel.
Ps : j'ai passé l'âge de mentir pour faire beau mon pays..
Commentaire
-
Bouchoureb était ministre de zeroual dans les années 96-97...
Son frère me semble t il était colonel.. Bouteflika l'a pris dès le début car il lui permettait de contrebalancer l'influence de nezzar chez les chaouis..
Mais au premier mandat, boutef avait une politique plutôt sociale, incompatible avec son virage libéral qui lui a permis de nommer bouchouareb entre temps devenu poulain de ouyahia a rnd...
Commentaire
-
Abdeslam Bouchouareb, l’ex-ministre de l’Industrie et des Mines entre avril 2014 et mai 2017 resté proche des intérêts français, sera prochainement convoqué par les enquêteurs de la brigade de recherches de la gendarmerie nationale de Bab jedid
Abdeslam Bouchouareb, l’ancien ministre de l’Industrie qui incarnait le « Hibz França » (le « Parti de la France ») et à ce titre était un interlocuteur régulier pour Emmanuel Macron, doit être entendu par la gendarmerie pour rendre des comptes su sa gestion passée comme ministre très contesté de l’Industrie.
Détesté par les uns, adulés par les autres, Abdeslam Bouchouareb ne laisse aucun algérien indifférent. Le fis de la commune d’Aïn-Mlila située dans la Wilaya (Préfecture) d’Oum-El-Bouaghi dans le pays chaoui, a grimpé les échelons à un rythme effréné. Tout a débuté par une réussite indéniable dans le secteur agro alimentaire algérien, des marchés florissants dans une économie qui importe encore la majorité de ses produits alimentaires, notamment le blé, l’huile et le sucre.
Durant les années 80, l’ami Bouchouareb se lance dans la fabrication des chips et pommes mousselines. Classiquement, le businessman exploite les réseaux dont il dispose au sein de l’institution militaire, qui à l’époque contrôle étroitement la distribution des marchés. Or, coup de chance, les deux frères d’Abdeslam étaient officiers dans l’Armée. Le premier, feu le colonel Slimane Bouchouareb, était directeur central du Personnel et de la Justice Militaire (DPJM) au ministère de la Défense Nationale. Le second, feu le colonel Karim Bouchouareb, était un haut cadre de la Sécurité Militaire, l’ancêtre du DRS, sous le rêgne du général Betchine.
Du pays chaoui aux bords de la Seine
Plusieurs fois ministres à la fin des années 90 et au début des années 20OO, Abdeslam Bouchouareb connaîtra la gloire en 2014 au début du quatrième mandat de Bouteflika. Il est parachuté ministre de l’Industrie à partir d’avril 2014 jusqu’à mai 2017. C’est que son réseau dans le pays chaoui, une région stratégique située dans l’est algérien, va le rendre incontournable aux yeux du président Bouteflika et de son frère Saïd. Ce sera lui qui défendra les intérêts du clan présidentiel dans une région qui a fourni beaucoup de ses cadres à l’institution militaire dont la Présidence cherche à limiter les prérogatives. Après avoir surfé sur ses relations dans l’armée, Bouchouareb n’hésite pas à se retourner contre ses amis d’hier pour plaire à la Présidence algérienne.
En 2014 donc, Abdeslam Bouchouareb sera l’homme qui dirigera la nouvelle stratégie industrielle de l’Algérie. Des fonctions qui lui permettront de tisser des relations d’affaires impressionnantes au point de devenir l’interlocuteur secret des grands groupes étrangers notamment français comme Lafarge ou Renault.
Abdessalem Bouchouareb croit tellement en l’avenir de l’Algérie qu’il a décidé de devenir résident en… France et cela depuis 1997! Ministre en Algérie et propriétaire à Paris d’un bel appartement sur les bords de la Seine, tel est le destin schizophrénique de ce Rastignac, tel qu’il a été révélé par les journalistes français Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet dans leur livre “Paris Alger, une histoire passionnelle”.
« Le ministre requin »
Le quatrième mandat de Bouteflika révèle la voracité illimitée d’Abdesslam Bouchouareb. Ainsi le « ministre requin » comme l’appellent de nombreux observateurs, a semé un véritable désordre dans le très délicat secteur des mines en Algérie. En effet, Bouchouareb a exercé un fort lobbying auprès des Bouteflika et leurs conseillers pour rattacher le secteur des mines à son portefeuille ministériel, à savoir celui de l’Industrie et de la Promotion des investissements, afin que son influence soit grandissante au sein du gouvernement. Naguère, les mines étaient gérées par le ministère de l’Energie.
Il aura fallu après la réélection de Bouteflika en 2014 attendre près de six mois pour qu’un organigramme clair situe les prérogatives de la direction des mines au ministère d’Abdesslam Bouchouareb. Dans les wilayas (Préfectures), les directions des mines relèvent toujours de l’énergie et non pas de l’industrie. En l’absence de directives précises, ces fonctionnaires demeurent paralysés et de nombreux dossiers d’investissement en suspens.
Commentaire
-
Né en 1952 à Ain Khercha, Abdessalem Bouchouareb est diplômé en sciences médicales et humaines. En 1994, il se retrouve à la présidence du Conseil national économique et social (CNES). Deux ans plus tard, il entre dans le gouvernement de Ahmed Ouyahia en tant que Ministre de l’Industrie.
Le nouveau ministre de l’Industrie de Sellal connaît bien le monde politique algérien. Il a été chef de cabinet, commissaire auprès du chef du gouvernement pour la promotion de l’emploi des jeunes en 1998, ministre délégué à l’emploi en 2000, membre du bureau politique au Rassemblement National Démocratique (RND), député de 2002 à 2007 de la Wilaya d’Oum El Bouagui, puis député de la Wilaya d’Alger.
La liste de ses fonctions politiques est encore longue. Il a par notamment été membre du bureau de l’Assemblée populaire nationale (APN), vice-président et chargé du suivi des affaires administratives et du contrôle financier depuis son élection aux dernières législatives du 10 mai 2012. En 1989, il a fondé de la première confédération patronale (CGEOA) en Algérie de laquelle il est devenu le Président.
Le défi qui attend Abdesslam Bouchouareb est d’appliquer l’un des points importants du programme électoral d’Abdelaziz Bouteflika, qui est la réindustrialisation de l’Algérie. Certes le nouveau ministre a déjà géré ce secteur, mais à l’époque il n’avait pas appliquer de mesures significatives. Ce connaisseur des hautes sphères politiques, ou encore du patronat, ne connait pas très bien le monde salarial, celui des travailleurs. Saura-t-il répondre aux attentes du 4e mandat qui sont cette fois plus exigeantes ?
Commentaire
-
Plusieurs fois ministres à la fin des années 90 et au début des années 20OO,*Abdeslam Bouchouareb connaîtra la gloire en 2014 au début du quatrième mandat de Bouteflika. Il est parachuté ministre de l’Industrie à partir d’avril 2014 jusqu’à mai 2017.*En 2014 donc, Abdeslam Bouchouareb sera l’homme qui dirigera la nouvelle stratégie industrielle de l’Algérie. Des fonctions qui lui permettront de tisser des relations d’affaires impressionnantes au point de devenir l’interlocuteur secret des grands groupes étrangers notamment français comme Lafarge ou Renault.
membre du bureau politique au Rassemblement National Démocratique (RND), député de 2002 à 2007 de la Wilaya d’Oum El Bouagui, puis député de la Wilaya d’Alger.
Bouchoureb était ministre de zeroual dans les années 96-97...
Son frère me semble t il était colonel.. Bouteflika l'a pris dès le début car il lui permettait de contrebalancer l'influence de nezzar chez les chaouis..*
Mais au premier mandat, boutef avait une politique plutôt sociale, incompatible avec son virage libéral qui lui a permis de nommer bouchouareb entre temps devenu poulain de ouyahia a rnd...Dernière modification par LockDown, 28 mai 2019, 22h10.
Commentaire
Commentaire