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Le groupe Emaar gèle ses projets en Algérie

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  • Le groupe Emaar gèle ses projets en Algérie

    Il restera Colonel Abbes.
    ---------------------------------------------------

    C’est un coup dur pour l’économie algérienne. Selon nos informations, le géant émirati de l’immobilier Emaar vient de décider le gel de ses principaux projets en Algérie. Sur les cinq projets présentés en juillet dernier au président Bouteflika par le président d’Emaar, le groupe émirati ne réalisera qu’un seul : il concerne le complexe immobilier et touristique du Colonel Abbès dans la banlieue ouest d’Alger. Les quatre autres projets destinés à transformer la ville d’Alger et ses environs – la restructuration et la modernisation de la gare ferroviaire Agha, la transformation de la baie d’Alger, un nouveau campus universitaire et l'implantation d'un campus technologique à Sidi Abdellah - ont été gelés il y a quelques jours. Selon une source proche du groupe Emaar interrogée par «*****», aucune date n’a été fixée pour la reprise des projets.

    La décision d’Emaar est notamment liée aux difficultés rencontrées par le groupe émirati en Egypte. Dans ce pays, le géant de l’immobilier a réalisé en effet des investissements coûteux et perdu beaucoup d’argent ces deniers mois. L’autre raison qui a provoqué ce gel serait liée aux difficultés rencontrées par Emaar pour obtenir des terrains en Algérie.

    En réalité, le gouvernement algérien aurait émis des réserves sur les capacités du groupe émirati à réaliser les projets présentés, estimés à plus de 20 milliards de dollars. Le groupe aurait rencontré des difficultés à lever les fonds nécessaires pour le développement de ses projets et l’Etat algérien n’a pas souhaité les financer.

    La décision du groupe Emaar constitue un coup dur pour l’économie algérienne qui pourrait se traduire par des pertes de points de croissance dès l’année prochaine. Hormis les hydrocarbures, le gouvernement tablait, en effet, sur les investissements des géants immobiliers du Golfe pour booster la croissance et renforcer l’emploi.

    Tout sur l'Algerie
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Emaar semble trouver des difficultés dans le financement des ses projet en Algérie. Elle veut que l'état algérien finance ses projets.

    Information qui reste à confirmer.
    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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    • #3
      Je crois qu'Emaar devait payer trop de pots de vin et ils ont du en avoir marre.
      Savez vous que le terrain du projet Saydiya de Fadesa au maroc a ete donner gratuitement a cette compagnie espagnol
      Dernière modification par zek, 07 décembre 2007, 20h58.
      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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      • #4
        et pourquoi on donnerait gratuitement ! c'est alger quand meme !
        ?

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        • #5
          Incroyable mais vrai, l'info est serieuse?

          C'est pas des facilites sur les terrains que le gouvernement devrait accorder a ces gens, c'est des facilites + des exonerations fiscales.

          Pas bon pour l'economie algerienne, apres le CPA, Emaar, faut vraiment le faire, le peuple algerien merite bcp plus que ca.

          Je n'arrive tjs pas a comprendre comment on peut faire plier bagage a des investisseurs comme ca pour des projets aussi gros dont le peuple beneficiera directement en termes d'emplois, de qualite de vie, de formation, etc...

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          • #6
            emmar au maroc a fait beaucoup de chose................pourquoi pas en algerie hram

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            • #7
              je doute de cette information en sachant tout le tapage mediatique qu'il y a eu, d'autre part ces travaux ont déjà commencé, non? lA SOURCE EST TSA QUI NE DONNE JAMAIS CES SOURCES? PERSONELLEMENT JE NE CROIS PAS 0 CETTE INFORMATION

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              • #8
                mais je croyai qu'ils ont relaisé leur filliale algerienne, avec le gouvernement algerien!??etr qu'ils ont eu un petit probleme avec le terrain, et qu'il allai etre regler !!!
                PS:une societe qui veu investire 20 millards de $ ,ne peu pas avoir 10 millions de $ ,pour acheter le terrain?
                Dernière modification par kaiser sosi, 07 décembre 2007, 22h50.
                Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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                • #9
                  http://lexpressiondz.com/article/2/2...-08/47867.html

                  Il y a un climat malsain
                  08 Décembre 2007 - Page : 3


                  S’il se confirme que Emaar s’en va, cela ne manquera pas d’avoir un impact sur les autres projets des investisseurs moyen-orientaux.

                  Présenté comme l’investisseur du siècle en Algérie, le groupe émirati Emaar pourrait avoir plié bagage sans avertir. La bureaucratie algérienne aura eu raison de lui. Résumons-nous: quels étaient les projets de Emaar en Algérie.
                  Il y a la nouvelle ville de Sidi Abdellah, la transformation de la baie d’Alger à partir de la gare Agha, la construction d’un ensemble santé (hôpital, école, remise en forme), l’aménagement de la plage du colonel Abbès (près de Zéralda).
                  Le tout nécessitait un investissement de plus de 20 milliards de dollars. Personne n’avait encore jamais apporté une telle somme dans la cagnotte.
                  Le groupe avait reçu toutes les garanties de la part des autorités algériennes. Ses responsables furent reçus par le président de la République, à qui des maquettes furent présentées. Tout semblait baigner dans l’huile. Ces projets s’intéressaient au tourisme, à l’immobilier, aux nouvelles technologies de l’information et des communications. C’est le visage d’Alger et de ses environs qui était appelé à être modifié.
                  Une première sonnette d’alarme fut tirée il y a quelque temps, mais les autorités algériennes étaient intervenues pour dire que tout allait pour le mieux et que les malentendus étaient levés.
                  D’autres investisseurs émiratis étaient venus en Algérie, porteurs de projets tout aussi ambitieux.
                  Aujourd’hui, ce que l’on peut dire, au cas où la défection du groupe s’avère vraie, c’est que le climat des affaires est vraiment malsain en Algérie, et cela jette une lumière crue sur le choix de Renault de construire une usine de montage au Maroc plutôt qu’en Algérie.
                  On ne pourra pas également passer sous silence les déboires de Lacom, boîte de télécoms de la téléphonie fixe formée par un consortium égyptien, pour concurrence déloyale, sans que l’Artp bouge le petit doigt. On peut également citer le cas de Michelin (qui fabrique des pneus industriels) et qui réduit son personnel en Algérie. Le camouflet le plus voyant concerne le désistement des banques espagnole et américaines de la privatisation du Crédit populaire d’Algérie (CPA), ce qui a amené au gel de l’opération. On a prétexté la crise des subprimes, mais il est possible que des difficultés liées au climat des affaires en Algérie soit la véritable raison de ce désistement.
                  Qui a raison, qui a tort?
                  Dans la genèse de tous ces ratés, il y a deux dossiers à incriminer, et qui sont une spécialité algérienne. Il s’agit du foncier et des banques.
                  Le foncier d’abord: le gouvernement n’a pas cessé depuis plusieurs années de dire que des zones industrielles sont à la disposition des opérateurs, mais dans la réalité, ces derniers ne savent pas à qui s’adresser pour obtenir une assiette foncière.
                  Les terrains qui sont cédés à des affairistes véreux sont ensuite revendus à prix d’or, privant les véritables promoteurs et les investisseurs potentiels de pouvoir en bénéficier, au détriment de la croissance et de la création de postes d’emploi dans le pays. Il y a donc, par conséquent, une mafia qui contrôle l’investissement dans ce pays. Et qui tamise tout.
                  Quant à la réforme bancaire, personne n’arrive à comprendre les raisons de ses reports répétés, alors que dans le monde entier, les banques sont passées à une autre étape, celle du monde virtuel. Chez nous, non seulement le chèque peine à s’imposer, mais en plus, on en est encore à traîner des centaines de milliards dans des sacs poubelle. L’informel a encore de beaux jours devant lui.
                  A eux deux, le foncier et les banques vont faire capoter la crème des projets et des investissements en Algérie. Dommage! On ne pourra s’en prendre qu’à nous-mêmes.

                  Tarik RAMZI

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                  • #10
                    je doute de cette information en sachant tout le tapage mediatique qu'il y a eu, d'autre part ces travaux ont déjà commencé, non? lA SOURCE EST TSA QUI NE DONNE JAMAIS CES SOURCES? PERSONELLEMENT JE NE CROIS PAS 0 CETTE INFORMATION
                    Justement, cette histoire etait avant tout du tapage mediatique.
                    Fallait etre demesurement optimiste pour croire qu'un groupe immobilier allait investir 30 milliards d'un coup comme cela.
                    Je sais que les EAU regorgent d'argent, mais faut pas deconner non plus.
                    Il y a des limites qui se posent en terme de liquidités.
                    L'entreprise pourra investir plusieurs milliards en Algérie (2 ou 3 milliards voir plus) mais 30 milliards en un seul projet, ca me paraissait deja assez utopique

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                    • #11
                      Démenti du directeur EMAAR Algerie

                      puisque le sujet est ouvert en double , je recopie ma réponse ici:

                      Echourouk

                      En résumé: EMAAR est bien décidé a mené à terme ses projets et que les longs délais liés à l'indemnisation des terrains étaient prévisibles.
                      .


                      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                      Commentaire


                      • #12
                        A peine 3 mois depuis le lancement des travaux.....Je me souviens des maquettes....Que du PIPO KHORTI FI KHORTI

                        Je trouve ca normale, je suis convaincu que Emaar ne poura resister devant des Fellagas au pouvoir, ou leur seul souci et de sabotter tout projet.

                        Je conseil a Emaar d'aller creuser ailleurs la ou les fruits auront peut etre un jour l'espoir d'etre gouter, l'algerie n'aura rien et restera toute au long que Boutef et compagnie au pouvoir un pays de 4eme zone qui ne ramennera guerre de vrai amelioration a son peuple.

                        Cela dit, d'autre pays comme la Tunisie sont tjrs ouvert et present pour investir.


                        Bona note

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                        • #13
                          baril 95$ et plus de 100 milliards de dollars de réserves de change

                          baril 95$ et plus de 100 milliards de dollars de réserves de change

                          confirmation mes pas que de notre faute ,autre president pourrais si il le ve investir seul


                          C’est un coup dur pour l’économie algérienne. Selon nos informations, le géant émirati de l’immobilier Emaar vient de décider le gel de ses principaux projets en Algérie. Sur les cinq projets présentés en juillet dernier au président Bouteflika par le président d’Emaar, le groupe émirati ne réalisera qu’un seul : il concerne le complexe immobilier et touristique du Colonel Abbès dans la banlieue ouest d’Alger. Les quatre autres projets destinés à transformer la ville d’Alger et ses environs – la restructuration et la modernisation de la gare ferroviaire Agha, la transformation de la baie d’Alger, un nouveau campus universitaire et l'implantation d'un campus technologique à Sidi Abdellah - ont été gelés il y a quelques jours. Selon une source proche du groupe Emaar interrogée par «********************», aucune date n’a été fixée pour la reprise des projets.

                          La décision d’Emaar est notamment liée aux difficultés rencontrées par le groupe émirati en Egypte. Dans ce pays, le géant de l’immobilier a réalisé en effet des investissements coûteux et perdu beaucoup d’argent ces deniers mois. L’autre raison qui a provoqué ce gel serait liée aux difficultés rencontrées par Emaar pour obtenir des terrains en Algérie.

                          En réalité, le gouvernement algérien aurait émis des réserves sur les capacités du groupe émirati à réaliser les projets présentés, estimés à plus de 20 milliards de dollars. Le groupe aurait rencontré des difficultés à lever les fonds nécessaires pour le développement de ses projets et l’Etat algérien n’a pas souhaité les financer.

                          La décision du groupe Emaar constitue un coup dur pour l’économie algérienne qui pourrait se traduire par des pertes de points de croissance dès l’année prochaine. Hormis les hydrocarbures, le gouvernement tablait, en effet, sur les investissements des géants immobiliers du Golfe pour booster la croissance et renforcer l’emploi.

                          Commentaire


                          • #14
                            Je crois qu'Emaar devait payer trop de pots de vin et ils ont du en avoir marre.

                            C'est la meilleur celle là, comme a dit un autre forumiste "ils ont 25 milliards de dollars et ne peuvent payer...quelques pots de vin?".
                            Ils ont vus l'argent qu'avait l'Algérie et on voulu que l'état paie lui meme tout lol!
                            Info a confirmer, par contre Azzouz75 je ne lis pas l'arabe pourrais tu s'il te plais me faire un résumé dans la langue de sarko?
                            On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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                            • #15
                              A Rabat ou Emaar doit investir 3MRD$, le chantier est encore très timide

                              Il y a des craintes a se faire aussi de ce coté là

                              Contrairement a SAMA doubai, qui a demarré e, fanfarre, Emaar , c'est un peu profil bas
                              ???
                              ???
                              .
                              .
                              ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                              Napoléon III

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