Ce qui n'arrange pas les choses ce sont les retards ds la realisation des stations de dessalement d'eau de mer lancée a grande pompe par la propagande du makhzen, mais ds la realité ce n'est que du vent!
ma20/05/2022https://i0.wp.com/leseco.ma/wp-conte...00%2C600&ssl=1
D’une capacité de 100 Mm3, extensible à 200 Mm3, le projet de la station de dessalement de l’eau de mer de l’Oriental est au stade d’étude de faisabilité. Il vise à sécuriser l’approvisionnement en eau potable, industrielle et touristique de la région, notamment la zone de Nador-Driouech et d’atténuer le déficit en eau d’irrigation dans la Basse Moulouya.
Au moment où la pré-qualification des candidats pour le projet de dessalement de l’eau de mer de la région de Casablanca-Settat est prévu en juin 2022, dans le cadre de la procédure du Dialogue Compétitif, la région de l’Oriental fera également appel au dessalement de l’eau de mer afin de trouver une alternative aux ressources en eau conventionnelle.
Dans ce sens, le ministère de l’Équipement et de l’eau, à travers sa direction de la recherche et de la planification, a lancé l’appel d’offres ouvert afférent à l’étude de la mise en place d’un projet de dessalement de l’eau de mer dans la région de l’Oriental. Estimée par le maître d’ouvrage à plus de 20,7 millions de DH TTC, ce projet vise à sécuriser l’Approvisionnement en eau potable (AEP), industrielle et touristique, de la Région de l’Oriental, et notamment la zone de Nador-Driouech, et d’atténuer le déficit en eau d’irrigation dans la Basse Moulouya.
L’ouverture des plis de cette étude de faisabilité se fera à partir du 28 juin 2022 à Rabat. D’une capacité de 100 Mm3, extensible à 200 Mm3, le projet de la station de dessalement s’inscrit dans le cadre d’une convention de partenariat récemment signée pour le financement et la réalisation des actions urgentes au niveau du bassin hydraulique de Moulouya.
D’une capacité de 100 Mm3, extensible à 200 Mm3, le projet de la station de dessalement de l’eau de mer de l’Oriental est au stade d’étude de faisabilité. Il vise à sécuriser l’approvisionnement en eau potable, industrielle et touristique de la région, notamment la zone de Nador-Driouech et d’atténuer le déficit en eau d’irrigation dans la Basse Moulouya.
Au moment où la pré-qualification des candidats pour le projet de dessalement de l’eau de mer de la région de Casablanca-Settat est prévu en juin 2022, dans le cadre de la procédure du Dialogue Compétitif, la région de l’Oriental fera également appel au dessalement de l’eau de mer afin de trouver une alternative aux ressources en eau conventionnelle.
Dans ce sens, le ministère de l’Équipement et de l’eau, à travers sa direction de la recherche et de la planification, a lancé l’appel d’offres ouvert afférent à l’étude de la mise en place d’un projet de dessalement de l’eau de mer dans la région de l’Oriental. Estimée par le maître d’ouvrage à plus de 20,7 millions de DH TTC, ce projet vise à sécuriser l’Approvisionnement en eau potable (AEP), industrielle et touristique, de la Région de l’Oriental, et notamment la zone de Nador-Driouech, et d’atténuer le déficit en eau d’irrigation dans la Basse Moulouya.
L’ouverture des plis de cette étude de faisabilité se fera à partir du 28 juin 2022 à Rabat. D’une capacité de 100 Mm3, extensible à 200 Mm3, le projet de la station de dessalement s’inscrit dans le cadre d’une convention de partenariat récemment signée pour le financement et la réalisation des actions urgentes au niveau du bassin hydraulique de Moulouya.
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