Après un démarrage en fanfare de promesses d’un service au public où les protagonistes ont juré de tenir tous leurs engagements, rien ne va plus ces derniers temps pour les sociétés concessionnaires de la gestion déléguée de la distribution d’eau et d’électricité, multipliant les ratages et provoquant la colère généralisée des abonnés.
Outre les factures salées de consommation qui n’épargnent personne et qui ne cessent de faire monter l’adrénaline chez les usagers, c’est au tour de la maintenance des infrastructures qui pique du nez dès les premières pluies s’abattant sur le pays.
Plus graves encore, les coupures d’eau et d’électricité sont devenues fréquentes au motif de travaux d’urgence sans aucun préavis signalé aux intéressés.
Mais où sont passés tous les beaux slogans vantant le service de proximité, la communication grand public et autres fadaises de ce genre, dont plus d’un opérateur ne ressent le moindre respect du client.
Equipements publics : La honte !
Tous les beaux discours, toutes les stratégies en termes de partenariat public-privé, ne résistent pas au moment de vérité dès que les premières précipitations s’abattent sur le pays.
Quelques dizaines de millimètres de pluie ont suffi à provoquer l’irréparable pour mettre à nu la précarité des infrastructures et des équipements publics. Canalisations détériorées ou bouchées, routes qui s’affaissent ou se crevassent, des logements précaires sont inondés, circulation totalement bloquée, lenteur et faiblesse de l’arrivée des secours, des ponts s’effondrent et toutes les villes y passent, Imintanoute, Nador, Fnideq, Oujda…
Que font les pouvoirs publics centraux, régionaux et locaux pour prévenir de telles catastrophes qui se banalisent à chaque saison des pluies ? Que font les élus qui promettent monts et merveilles pour se la jouer à la Ponce Pilate une fois le siège acquis? Ces négligences coupables de tous les acteurs institutionnels, représentatifs et associatifs méritent un «zéro bien pointé». Les sages ne recommandent-ils pas de pérorer moins et d’agir plus ?
(c) LGDM 09/10/2008
Outre les factures salées de consommation qui n’épargnent personne et qui ne cessent de faire monter l’adrénaline chez les usagers, c’est au tour de la maintenance des infrastructures qui pique du nez dès les premières pluies s’abattant sur le pays.
Plus graves encore, les coupures d’eau et d’électricité sont devenues fréquentes au motif de travaux d’urgence sans aucun préavis signalé aux intéressés.
Mais où sont passés tous les beaux slogans vantant le service de proximité, la communication grand public et autres fadaises de ce genre, dont plus d’un opérateur ne ressent le moindre respect du client.
Equipements publics : La honte !
Tous les beaux discours, toutes les stratégies en termes de partenariat public-privé, ne résistent pas au moment de vérité dès que les premières précipitations s’abattent sur le pays.
Quelques dizaines de millimètres de pluie ont suffi à provoquer l’irréparable pour mettre à nu la précarité des infrastructures et des équipements publics. Canalisations détériorées ou bouchées, routes qui s’affaissent ou se crevassent, des logements précaires sont inondés, circulation totalement bloquée, lenteur et faiblesse de l’arrivée des secours, des ponts s’effondrent et toutes les villes y passent, Imintanoute, Nador, Fnideq, Oujda…
Que font les pouvoirs publics centraux, régionaux et locaux pour prévenir de telles catastrophes qui se banalisent à chaque saison des pluies ? Que font les élus qui promettent monts et merveilles pour se la jouer à la Ponce Pilate une fois le siège acquis? Ces négligences coupables de tous les acteurs institutionnels, représentatifs et associatifs méritent un «zéro bien pointé». Les sages ne recommandent-ils pas de pérorer moins et d’agir plus ?
(c) LGDM 09/10/2008
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