J’admire la mobilisation des Algériens et leur solidarité agissante avec les populations de Ghaza.
Sous la houlette des partis nationalistes et islamistes, des meetings, galas, marches ont exigé l’ouverture des points de passage vers Ghaza. Partout, on entendait : «Iftahou maâbar Rafah !» (Ouvrez le passage de Rafah !) Et puis, dans le silence qui a suivi la guerre, au creux de la vague islamonationaliste, un parti démocrate, bien ancré dans les traditions du combat politique du peuple algérien, a crié tout seul : «Ouvrez la frontière avec le Maroc !»
Certes, nous sommes loin des souffrances de nos frères palestiniens écrasés par les bombes sionistes, mais ces mères séparées de leurs enfants par une vingtaine de kilomètres, entre Maghnia et Oujda, et qui n’ont pas les moyens de prendre l’avion Alger-Oujda, via Casablanca, ne méritent-elles pas, elles aussi, que l’on se mobilise pour elles !
Oui, nous continuerons de crier, avec le FFS et d’autres forces politiques saines : «Iftahou maâbar Zoudj Beghal» ou, plus simplement : «Iftah ya Simsim !»
Pause café: Maamar Farah
Le Soir d'Algerie
Sous la houlette des partis nationalistes et islamistes, des meetings, galas, marches ont exigé l’ouverture des points de passage vers Ghaza. Partout, on entendait : «Iftahou maâbar Rafah !» (Ouvrez le passage de Rafah !) Et puis, dans le silence qui a suivi la guerre, au creux de la vague islamonationaliste, un parti démocrate, bien ancré dans les traditions du combat politique du peuple algérien, a crié tout seul : «Ouvrez la frontière avec le Maroc !»
Certes, nous sommes loin des souffrances de nos frères palestiniens écrasés par les bombes sionistes, mais ces mères séparées de leurs enfants par une vingtaine de kilomètres, entre Maghnia et Oujda, et qui n’ont pas les moyens de prendre l’avion Alger-Oujda, via Casablanca, ne méritent-elles pas, elles aussi, que l’on se mobilise pour elles !
Oui, nous continuerons de crier, avec le FFS et d’autres forces politiques saines : «Iftahou maâbar Zoudj Beghal» ou, plus simplement : «Iftah ya Simsim !»
Pause café: Maamar Farah
Le Soir d'Algerie
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