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Hassan II et la marche verte

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  • #31
    For the Algerians who are saying that Morocco didn't claim the Sahara before 1975:




    quote:

    In 1958, the Moroccan King Mohammed V in an address at El Ghizlan called for a renewal of the "everlasting allegiance" that Saharan tribes had pledged to Moulay Hassan I and promised that Morocco would mobilise itself in order to see the Western Sahara brought under Moroccan rule.


    http://en.wikipedia.org/wiki/History_of_Western_Sahara

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    • #32
      For the Algerians who are saying that the Sahara was never part of Morocco:





      Quote:

      The Saadi dynasty (16th and 17th century)

      After the fall of the Almoravid empire in 1147 the new Moroccan empires (Almohads, Merinids and Wattasids) retained sovereignty over the western part of the Sahara but the effectiveness of it depended largely on the sultan that ruled. It was only with the coming to power of the Saadi Dynasty that the sovereignty of Morocco over the western part of the Sahara became complete again
      http://en.wikipedia.org/wiki/History_of_Western_Sahara

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      • #33
        heureusement que je n'ai pas besoin de Wikipeda pour saisir l'histoire des colonies.
        figures-toi que moi non plus, c'est juste une petite aide online pour ne pas perdre du temps dans des histoires normalement connues, mais apparement, l'ignorance de certains ici ns obliegerait tjrs à leur faire rappeler certaines bonnes choses pour leur faire refraîchir la mémoire avec du prêt-à porter made in wiki!
        Dernière modification par TAGHITI, 22 février 2009, 17h38.

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        • #34
          témoignage important montrant le paroxysme de violence atteint juste avant l'indépendance, le 18 novembre 1955.
          Cette violence ne sera atteinte en Algérie que 2ans après l'indépendance du Maroc à partir de 1957-58.

          LES MASSACRES D’OUED ZEM

          par le Dr Serre
          (inédit)


          A Oued Zem une ruée sauvage, une xénophobie soudaine déferle sur la ville qui ne disposait pour se défendre que de quelques gendarmes, d’une maigre compagnie de réservistes et des moghaznis du caïd et du contrôleur civil. Sous l’énorme poussée , la moitié est de la ville fut envahie. Les émeutiers incendièrent les maisons de Européens, tuèrent leurs habitants et détruisirent en partie l’hôpital après avoir massacré les hospitalisés européens et le personnel soignant. Les gendarmes réussirent, avec l’aide des survivants, à arrêter les émeutiers au milieu de la vile, où ils tinrent jusqu’à l’arrivée des secours.

          Aux mines de fer d’Aït Amar, les ingénieurs, les ouvriers et leurs familles ne disposaient d’aucune protection, aussi leur sort fut-il bien pire. Seuls quelques rescapés purent se réfugier dans le bâtiment administratif où ils soutinrent, avec des moyens de fortune et des explosifs qu’ils fabriquèrent eux-mêmes, un siège de près de trente-six heures.

          Un bataillon de la Légion arriva heureusement l’après-midi à Oued Zem, mais seulement le lendemain à Aït Amar.

          Cent morts Européens environ (il n’y eut pratiquement pas de blessés européens), sans doute plus de morts marocains, tel fut le bilan de cette journée.

          J’étais en congé en France. Un télégramme me rappela d’urgence au Maroc, pour succéder, comme médecin-chef du territoire et de l’hôpital d’Oued Zem, au docteur Fichbacher, assassiné au cours des émeutes.

          Comme je traversais le Mont Dore dans une voiture immatriculée MA, un petit bourgeois chafouin, en chapeau mou, leva sa canne dans ma direction en criant : « Sale colonialiste ! »

          Je partis seul le lendemain, par avion.


          ***

          Quel serrement de cœur à la vue de ce pauvre pays, un mois plus tôt encore si vivant ! Une route déserte, jalonnée de poteaux télégraphiques dépouillés de leurs fils et de leurs isolants, parfois même coupés à ras, sur des kilomètres, et de temps à eutre des carcasses d’automobiles calcinées, basculées dans le fossé. A chaque pas, quelque chose rappelait les événements terribles qui venaient de se produire.

          A l’approche des lieux où les atrocités avaient été commises, une véritable angoisse m’étreignait, car il faudrait y vivre, s’intégrer à nouveau au pays, toucher du doigt ces plaies béantes et contribuer à les panser. Comment allais-je réagir ?

          (…)

          Jusqu’au croisement de la route de Camp Marchand à Fquih Ben Salah, tout ce qui a appartenu aux Européens est saccagé et brûlé. Partout des ouvertures béantes, noires de suie, des toits défoncés, des poutres calcinées et dans les cours, des tas d’objets informes, épaves de la vie quotidienne. Nous avancions lentement, à pas feutrés, entre ces murs noircis et ces plâtras, retenant notre souffle, recueillis comme dans la chambre d’un mort.

          Celui qui m’accompagne m’explique en détail le drame horrible de chacune de ces maisons. Qu’il se taise, et que arrivions enfin à l’hôpital !

          Là, rien n’a été touché depuis l’enlèvement des cadavres. Des carcasses d’automobiles aux tôles tordues, dont celle d’une ambulance, gisent au pied des grands murs et un peu plus loin, au bas du perron, s’entasse, brisé, informe, le matériel hospitalier jeté par les portes et les fenêtres.

          A l’intérieur, le spectacle est pire. Des services techniques et généraux, il ne reste rien. Radio, climatiseur, stérilisateur, microscopes, tout a été détruit. Quand le feu a été insuffisant, la hache et la massue ont achevé le travail. Dans la cour intérieure, encore deux carcasses d’automobiles renversées et incendiées, et pour que rien ne subsiste, non seulement les fleurs avaient été coupés, mais les pigeons du médecin-chef avaient été égorgés ! Il fallait effacer toute trace des Roumis, par le fer et par le feu !

          Pourquoi cette destruction d’un hôpital qui servait principalement aux Marocains, et où deux cents d’entre eux, en moyenne, se pressaient chaque jour ? Je ne comprends plus. J’avance, comme un somnambule, dans un monde qui n’est plus le mien, celui de la folie destructrice et sanguinaire, celui de la volupté d’anéantir… Tout ce que je vois est incompréhensible, illogique, hors des normes humaines.

          Avec un infirmier, nous arrivons devant une porte trouée de balles.

          - C’est là, me dit-il, dans ce bureau, qu’en compagnie des la plupart des infirmiers de l’hôpital, Français et Marocains mêlés, j’ai vécu les heures sanglantes. Cinq heures qui m’ont paru un siècle ! Nous avions transporté le corps du médecin-chef. Trois femmes se tenaient debout dans l’angle, cachées par cette armoire métallique. Ah, elles se faisaient petites, les malheureuses ! Pendant cinq heures, nous avons entendu des hurlements, des cris de haine, les youyous, le crépitement des balles, les coups de masse contre les cloisons, les supplications des malheureux qu’on égorgait à quelques mètres de nous, le grondement de l’émeute, tandis que nous nous savions à sa merci. La chaleur était étouffante, car tout brûlait autour de nous, la fumlée s’infiltrait par le plus petit orifice, et nous nous disions que dans quelques minutes, ce serait notre tour… Par quel miracle avons-nous été épargnés ? Nul ne le saura. Mais quand nous entendîmes le crépitement d’une mitrailleuse, puis de deux, puis de trois, à une cadence de plus en plus nourrie, en même temps que des éclatements de grenades, nous comprîmes que quelque chose venait de changer, et chacun d’entre nous, dans son for intérieur, fit une prière d’action de grâce.

          Il faut tout dire. Il y avait des malades dans cet hôpital. Il était archi-comble. Dans les chambres des malades européens, hommes, femmes et enfants, à la vue du sang coagulé sous leur lit à la verticale de la tête, on comprenait que là, le comble de l’atrocité avait été atteint.

          Comment devant un tel spectacle échapper à l’émotion et à un sentiment de révolte ? On eut dit que tout s’écroulait autour de moi. C’était pour en arriver là que depuis vingt-cinq ans j’avais travaillé et ruiné ma santé, dans ce pays que j’avais tant aimé ? Pour en venir à contempler, à la fin, ce tableau d’une haine injustifiée, d’une xénophobie folle, inhumaine, qui réussissait à détruire jusqu’à la trace des bienfaits. Vingt-cinq ans consacrés à soigner, à aider ceux qui avaient commis ces crimes ! Où était ce grand rêve d’interpénétration, de fusion de deux peuples ? Il fallait fuir, fuir très loin, où rien ne me rappelle le Maroc et mon passé, puisque tout ce que j’avais aimé, tout ce pourquoi j’avais lutté était anéanti, puisque j’avais travaillé toute ma vie pour une œuvre vaine.

          ***

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          • #35
            (Suite et fin)

            ***

            Mais l’administration avait entrepris un travail de reconstruction. Manquer de courage, ne pas surmonter sa rancœur et son désespoir, alors que tant d’autres s’étaient dominés et avaient repris la lutte, eut été pire qu’une lâcheté.

            Nous nous installâmes au sanatorium pour soigner des blessés, d’ailleurs émeutiers pour la pupart.

            Recommencer, oublier ce carnage, rester médecin, revoir les Marocains avec les mêmes yeux que jadis, retrouver leur confiance, si possible leur amitié, et donner la mienne sans restriction, c’était mon devoir. C’était vers cela que tout ce passé, que j’avais cru détruit, me poussait avec une force invincible et si une vision atroce avait pu, un instant, le masquer, tout mon être le désirait.

            A l’hôpital tous m’aidèrent, firent équipe pour aller de l’avant. Je finis par trouver mieux que des assistants, mieux que des collaborateurs : nous finîmes par former une famille unie par les liens d’une sympathie et d’une affection véritable. De temps en temps, nous nous réunissions le soir. Tantôt nous écoutions de la musique, tantôt c’était un dîner improvisé où les boîtes de conserve étaient reines… Ainsi, peu à peu, s’estompèrent les heures noires et, dans notre sphère, Français et Marocains, à nouveau réunis, nous rebâtissions…

            Notre première hospitalisée fut une mère de famille nombreuse, transportée chez nous presque clandestinement, entre chien et loup, à la sauvette, « simplement pour que je la voie »… Nous la gardâmes deux mois. Ses enfants, son mari, des parents vinrent la visiter. Tous paraissaient de braves gens, et le contact de cette famille marocaine unie qui ne manifestait que des sentiments simples et humains nous fit un bien immense. Auprès d’eux nous oubliions les émeutiers du vingt août.

            Avec le temps, du côté marocain, petit à petit, la confiance en nos soins revenait. Les appels se faisaient de plus en plus fréquents.Lorsque j’allais dans le bled, je partais en jeep, accompagné seulement de celui qui était venu me chercher. Quelle que fût l’heure du jour ou de la nuit, je ne fus jamais inquiété. Chez le malade, l’accueil était le même qu’autrefois, la conversation aussi libre, le verre de thé aussi généreusement offert, et bientôt ceux qu’il était utile d’hospitaliser acceptèrent l’hospitalisation sans résistance.

            En trois mois les salles se remplirent, tandis que la moyenne journalière des consultants passait de dix en octobre à deux cents cinquante en mars, et ce fut à nouveau la grande presse des jours de souk…

            Bien sûr, dans cette période de transition, certains se faisaient une idée assez baroque de l’indépendance à venir… Un énergumène exigea de choisir lui-même sa piqûre. Comme il avait désigné une ampoule d’hyposulfite de soude, je décidai de laisser l’expérience se poursuivre.

            - Arrête ! Arrête ! Tu me fais mourir ! Tu me brûles !

            - Ne me reproche rien, c’est toi qui as choisi…

            ***

            Les conversations avec les Marocains devenaient un peu plus faciles chaque jour, mais par prudence, nous évitions toute allusion aux événements récents. Les plaies étaient trop fraîches. Cependant, parfois, malgré nous, l’obsession revenait, et un mot, une phrase nous ramenait au vingt août…

            Pourquoi donc cette émeute sanglante s’était-elle produite ?

            Avec le recul, et avec tout ce qu’il faut possible d’apprendre de part et d’autre, on put reconstituer le drame.

            Depuis quinze jours, des émissaires venus des grandes villes répandaient dans la ville leur bonne parole. Le vingt août serait dans tout le Maroc le jour du grand soulèvement, disaient-ils. Oued Zem ne pouvait pas rester spectatrice !

            Des propagandistes visitèrent les tribus environnantes, afin de rassembler ce jour-là le plus de monde possible à Oued-Zem. Ils dirent aux fellahs que tout bon Marocain devait s’y rendre, qu’il pouvait être dangereux de s’abstenir. Aussi, le vingt août, ce fut une ruée des campagne vers la ville. Lequel d’entre eux aurait pu deviner ce qui allait des passer ? Ils allaient au « raout », rassemblement où l’on crierait.

            Et dans cette foule où chacun, par crainte de passer pour tiède, cherche à paraître plus violent que les autres, les mots exercent leur magie, et plus ils sont durs, plus ils portent. Aux quatre coins de la ville, les meneurs haranguent, et disent l’infâmie pour une terre d’Islam de tolérer les Chrétiens… « Le jour de la grande purification est venu, disent-ils, celui de leur extermination. On va aujourd’hui reconnaître les vrais musulmans ! » Qui oserait rester passif ? Les poignards sont brandis, les canons des fusils se lèvent… « On saura bien démasquer les félons qui ont partie liée avec les chrétiens, poursuivent les orateurs. D’eux aussi nous purifierons notre sol ! » La force aveugle est alors déchaînée. La foule compacte, surexcitée, est grisée de mots qui ne permettent plus de reculer.Premiers cris des victimes, vue du sang, ronflement des incendies. Il est si facile de tuer et de détruire. Seul le premier pas coûte. Peut-être, après tout, est-il bien de massacrer les chrétiens puisqu’on le proclame ? Peut-être gagne-t-on ainsi le ciel ? Et l’on massacre.

            - Oh, Ahmed, toi qui étais toujours avec les Chrétiens et leur léchais les bottes, ton compte est bon. Tu as beau t’égosiller avec nous, ce soir ta gorge sera comme celle d’un mouton le jour de l’Aïd !

            Et Ahmed, fou de terreur, saisit ce petit Français, son voisin, qui essayait de fuir, qu’il aurait pu sauver, et l’égorge.

            - Au nom de Dieu, dit-il en levant son poignard, regarde comme je les aime, les Chrétiens !

            La veille, ou le lendemain, Ahmed se serait peut-être fait tuer pour protéger sa victime...

            On a été étonné de trouver à la tête des bandes, vociférant plus que les autres, des Marocains ou des Marocaines dont les relations avec les Français étaient les plus cordiales. Ne parlez pas de perfidie, ni de trahison. L’explication, c’est la peur, poussée à son paroxysme. Qui n’a pas été lâche une fois dans sa vie ?

            Un jour, les policiers amenèrent un fellah d’une quarantaine d’années, sur qui pesaient les plus graves soupçons. Accusé de l’assassinat d’une famille, dénoncé, sur le point d’être pris, il s’était jeté dans un puits. Il avait une fracture du rachis et fut immobilisé trois mois et demi dans une coquille.

            - Ce type a tué plusieurs Français, m’affirma le commissaire.Il nous tarde que vous le fassiez sortir de l’hôpital.

            Etait-ce possible ? Il avait une physionomie placide et débonnaire, et tout son comportement respirait le brave homme.

            Les mois passèrent, les policiers partirent, et du jour au lendemain, les terroristes devinrent des héros, les victimes des martyrs. Le fracturé du rachis se leva, et s’en alla bientôt dans sa famille. Nous le perdîmes de vue. Peu de jours avant mon départ définitif, on m’avertit qu’il voulait me parler. Il s’avança appuyé sur deux cannes.

            - Je veux te remercier, dit-il. C’est grâce à toi si je suis encore vivant. Tu sais, on a quelquefois dans sa vie un jour de folie, mais Dieu est grand, c’est Lui qui nous juge.

            La phrase de ce fellah m’éclairait plus sur le drame d’Oued Zem que les enquêtes ou rapports que j’avais pu lire ou entendre. Le jour de folie, le jour où l’on tue, où toutes les forces du mal sont déchaînées, où l’on ne sait plus ce qu’on fait.

            Les responsables, les vrais, ce sont ceux qui ont rassemblé cette foule, lancé des mots d’ordre, qui l’ont haranguée, excitée, sachant qu’une foule déchaînée est capable de tout.

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            • #36
              Hassan II et la marche verte
              Trop de blabla pour traverstir la vérité.On assite ces derniers temps à une histoire nouvelle conçernant le Sahara "made in morocco".C'est une "Marche de la Honte" !

              La vraie marche aurait été légitime si elle était sur Sebta et Mellilia mais la peur de la puissante espagne est là pour dissuader la monarchie féodale.
              La marche sur le sahara atlantique a été toute trouvée pour canaliser le ras-le-bol du peuple,tempérer l'ardeur des partis d'opposition et offrir à certains ,clans et alliés du pouvoir monarchique ,l'opportunité de se faire de la tune à l'oeil sur le dos de pauvres ,sans défense...

              Depuis,sous les conseils bienveillants de conseillers appartenant à un lobby international,le Palais s'est engagé dans une "politique de colonisation par peuplement" qui n'échappe pas aux observateurs avertis.

              La Marche verte a profité à qui ?

              La Roi veut le beurre,l'argent du beurre et la fermière
              "Elle Bgha'ha Ga3....Khalla'ha Ga3"



              Suivez le rythme de sa Majesté !

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              • #37
                Le 20 Aout 1955 soit 3 mois avant l'indépendance, éclatèrent des émeutes à Oued Zem, faisant:
                Plus de 100 européens civils tués.
                Entre 1200 et 5000 marocains(3000 plus vraisemblablement)
                Et des dizaines de soldats de l'occupation tués.

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                • #38
                  La vraie marche aurait été légitime si elle était sur Sebta et Mellilia mais la peur de la puissante espagne est là pour dissuader la monarchie féodale.
                  helas, pour certains endoctrinees royales comme notre amie Rose, l histoire du Maroc commence avec la marche des pauvres Bouderbalas vers un territoire qui leur est etranger, et non vers leure villes marocaines du nord ce qui reste la veritable cause de tout le Maroc et toute la region!
                  Dernière modification par absent, 22 février 2009, 17h50.

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                  • #39
                    Pour certains aussi l'indépendance du Maroc était un cadeau!!!

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                    • #40
                      For the Algerians who are saying that the Sahara was never part of Morocco:





                      Quote:

                      The Saadi dynasty (16th and 17th century)

                      After the fall of the Almoravid empire in 1147 the new Moroccan empires (Almohads, Merinids and Wattasids) retained sovereignty over the western part of the Sahara but the effectiveness of it depended largely on the sultan that ruled. It was only with the coming to power of the Saadi Dynasty that the sovereignty of Morocco over the western part of the Sahara became complete again
                      http://en.wikipedia.org/wiki/History_of_Western_Sahara

                      HHahahahah so try to "reclaim" a part of algeria, instead of doing "hagra" with a poor country / people


                      don't talk about 9 centuries before ... so Italy must rules the whole europe and also north africa??

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                      • #41
                        Le colonel Hamlat cite quelques noms connus de cette fameuse promotion des Marocains du MALG : Hadjadj Malika, Miri Rachida, Hamid Ghozali, Abdessmed Chellali, Berri Mustapha, Mohamed Semache, Kerzabi Smail, Abdallah Khalef (Kasdi Merbah), Abdelkader Khalef (Kamal), Mustapha Khalef (Kamel), Ali Tounsi (Ghaouti), Ahmed Zerhouni (Ferhat), Hadj Azzout (Nacer), Mohamed Laâla (Kaddour), Chérif Belkacem (Djamel), Abdelaziz Maoui (Sadek), Noureddine Delleci (Rachid), Abdelhamid Temmar (Abdenour), Abdallah Arbaoui (Nehru), Hassen Bendjelti (Abderazak), Ahmed Bennai (Hassan), Sid-Ahmed Osman (R’zine), Abderrahim Settouti (Bouzid), Khelladi Mohamed (Tahar), Boualem Bessaïeh (Lamine), Mohamed Morsly (Abdelaziz).
                        hahaha xD que font tout ces marocains yak le japon du maghreb

                        bref je ne crois pas un traitre mot de cette liste qui sort de nulle aprt , en plus t'a oublié le plus connu bouteflika

                        menberline parlait du FLN c quoi cette liste roumi tu es tjs hors sujet

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                        • #42
                          Iwa tiens je te donne le texte entier pour connaitre en détails ceux qui gouvernent l'algérie, assied toi tu risque de tomber de haut, tu vas faire une crise cardiaque, ils sont pratiquement tous marocains, tu sais de la même nationalité que ceux que tu peux pas blairés.
                          La double trahison des Marocains qui gouvernent en Algérie


                          « Sommes-nous vraiment gouvernés par des Algériens ? » Cette lancinante question, tout citoyen qui a eu affaire à l’administration, à la justice ou au pouvoir se l’est déjà posée à maintes reprises comme un éternel refrain. Au fil des générations, depuis 1962, la rumeur publique a accusé tour à tour « hizb frança » (parti de la France), les DAF (déserteurs de l’armée française), les harkis et tous les services de renseignement réunis (Mossad, KGB, CIA, DGSE, etc.) de se cacher derrière la Sécurité militaire (SM) le cœur du pouvoir algérien.


                          Cette douteuse et malsaine impression que les dirigeants de l’État n’aiment ni l’Algérie ni son peuple a toujours plané autour de la relation gouvernants-gouvernés. On a tous remarqué cette terrible malsaine habitude des membres de la nomenklatura qui, dès qu’ils n’occupent aucune fonction officielle, « fuient à l’étranger » dont ils ne consentent à revenir que pour occuper un nouveau poste. D’où les appellations de « mercenaires » ou de « coopérants » dont ils ont été affublés par les nombreux cadres algériens dont la promotion a été barrée ou sabotée par ces pontes du régime.



                          Les Marocains du Malg de Boussouf

                          La vérité vient enfin d’être révélée par un de ces hommes de l’ombre qui font et défont les institutions du pays selon leur bon vouloir. Le journal Le Soir d’Algérie (1) a ouvert ses colonnes à son honorable correspondant Med Chafik Mesbah, ancien officier du DRS, qui a interviewé le colonel Ali Hamlat, ancien responsable des services techniques de la SM. D’après l’auteur, ce témoignage a été rédigé en 1999 sous le titre explicite : « Voilà comment sont nés les services secrets algériens », mais il ne le révèle que maintenant sans expliquer la raison de ce retard.

                          Le colonel Hamlat lève donc « le voile sur cette première promotion des cadres de la Wilaya V, dont les membres ont, effectivement, constitué, pour la plupart, l’ossature du Malg ». À la question « Sur le plan social, quelle était l’origine des membres de cette promotion Larbi Ben M’hidi ? », Hamlat répond sans hésitation : « tous étaient issus, en règle générale, de familles de réfugiés, de fonctionnaires au service du gouvernement marocain ou, accessoirement, de commerçants et d’agriculteurs établis au Maroc de longue date. La petite bourgeoisie, pour utiliser une formulation marxiste ».

                          Selon lui : « Le recensement effectué par l’Association des anciens du Malg a permis de situer à soixante-douze le nombre de stagiaires de cette promotion. »

                          Leur directeur de stage, Khelifa Laroussi, mystérieux adjoint du mystérieux Boussouf, et père du golden boy déchu Rafik Khalifa, leur avait décrété : « Vous êtes les futurs ministres de l’Algérie indépendante ! » Selon les dires du colonel Hamlat, Boussouf leur avait déjà tracé les feuilles de route du contrôle du futur État algérien : « La première concernait la mission de contrôle au sein des unités de l’ALN. Ce contrôle était indispensable pour maîtriser l’évolution de la lutte armée et répondre aux exigences du combat et du commandement. D’autant que la qualité de l’encadrement militaire des unités était à parfaire au regard des faibles qualifications des moudjahidine de la première heure. La seconde se rapportait à la nécessité d’exploiter utilement la masse d’informations recueillies... par tout moyen disponible. En rapport avec les transmissions, mais aussi des informations recueillies auprès de prisonniers et toute autre source susceptible d’améliorer notre capital documentaire. »

                          Le contraste du mode de vie des « Malgaches » (*) reconnu par Hamlat est déjà significatif de la différence d’état d’esprit entre les moudjahidines de l’intérieur et les « planqués » de l’extérieur. « Ces lycéens et étudiants vivaient, au Maroc, dans des conditions de vie parfaitement pacifiques et heureuses. Des conditions qui étaient tout à fait déséquilibrées, cependant, par rapport à celles de leur peuple et de leurs frères étudiants qui mourraient en Algérie. »

                          Le colonel Hamlat cite quelques noms connus de cette fameuse promotion des Marocains du MALG : Hadjadj Malika, Miri Rachida, Hamid Ghozali, Abdessmed Chellali, Berri Mustapha, Mohamed Semache, Kerzabi Smail, Abdallah Khalef (Kasdi Merbah), Abdelkader Khalef (Kamal), Mustapha Khalef (Kamel), Ali Tounsi (Ghaouti), Ahmed Zerhouni (Ferhat), Hadj Azzout (Nacer), Mohamed Laâla (Kaddour), Chérif Belkacem (Djamel), Abdelaziz Maoui (Sadek), Noureddine Delleci (Rachid), Abdelhamid Temmar (Abdenour), Abdallah Arbaoui (Nehru), Hassen Bendjelti (Abderazak), Ahmed Bennai (Hassan), Sid-Ahmed Osman (R’zine), Abderrahim Settouti (Bouzid), Khelladi Mohamed (Tahar), Boualem Bessaïeh (Lamine), Mohamed Morsly (Abdelaziz).

                          Hamlat cite aussi les noms de deux riches familles marocaines qui ont offert leurs maisons et leurs fermes pour abriter les stages du Malg. Il s’agit des familles Benyekhlef et Bouabdallah. L’un des fils Bouabdallah est actuellement le PDG d’Air Algérie.

                          Le colonel Hamlat raconte l’engouement des jeunes Marocains ou soi-disant « Algériens de longue date » qui ont rejoint les cellules du FLN disséminées à travers le Maroc. En fait, la plupart d’entre eux militaient déjà dans les cellules lycéennes du Parti nationaliste marocain de l’Istiqlal de Allel El Fassi. Bouteflika était même responsable de la cellule de son lycée à Oujda. Leur transfert naturel dans les rangs du FLN a été facilité par l’esprit révolutionnaire maghrébin, l’idéal du réveil musulman contre le joug colonial et l’ambition de libérer la riche Algérie dont les colons avaient fait un eldorado. Il faut rappeler que cet engouement nationaliste en faveur de la guerre de libération existait aussi à travers tout le monde arabe. Au Liban, Irak, Syrie, Égypte, etc., des jeunes manifestaient dans les rues et voulaient s’enrôler dans les rangs de l’ALN. Ce phénomène existe encore de nos jours chez les jeunes musulmans qui se sont engagés en Afghanistan, Bosnie, Tchétchénie, Irak, etc. Il est connu que de nombreux Européens et Arabes ont combattu aux côtés des moudjahidines de l’ALN et du FLN. Ils n’en ont pas pour autant dissimulé leur origine, comme l’ont fait en masse les Marocains recrutés par Boussouf dans l’objectif de prendre le pouvoir.



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                          • #43
                            La vraie marche aurait été légitime si elle était sur Sebta et Mellilia mais la peur de la puissante espagne est là pour dissuader la monarchie féodale.
                            lol.
                            Tu pense peut etre qu'il y'avait des marsiens au Sahara, il me semble qu'il y avait des espagnoles !
                            Eividement si on pars du principes qu'il faut beaucoup de morts pour legitimer une action de liberation on n'est pas sortie de l'auberge.
                            Sache qu'il est beaucoup plus difficile et plus intelligent de liberer un teritoire sans efusion de sang qu'avec de nombreux morts. Vous reprochez donc au Maroc le manque de mort !
                            Pas de marocains tués, donc illegitime .... c'est quoi cette loi ? c'est ecrit ou ?

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                            • #44
                              Pas de marocains tués, donc illegitime .... c'est quoi cette loi ? c'est ecrit ou ?
                              C'est Ecrit Dans Les Pages Rouges de La Révolution

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                              • #45
                                Qui était vraiment Abdelhafid Boussouf ?

                                En lisant l’interview, on ne peut s’empêcher de remarquer que M. C. Mesbah déroule « sous les paroles » du colonel Ali Hamlat toute une démonstration savante comme si Boussouf réfléchissait déjà en 1955 comme un stratège d’aujourd’hui qui avait tout prévu. La conception stratégique et futuriste de l’opération de formation, le professionnalisme de son organisation et son déroulement, « l’intuition psychologique » de Boussouf, la « profusion de moyens dont il a pu disposer au Maroc »... prêtent aujourd’hui à sourire.

                                D’où donc Boussouf tenait-il ce professionnalisme et cette redoutable efficacité ? On est encore très étonné de ses choix très judicieux de collaborateurs professionnels, tous DAF, comme le « technocrate » Laroussi Khalifa, l’officier de transmission Omar Tellidji et le baroudeur Abdallah Arbaoui. Était-il donc un « prophète » ou un génie de la formation et de l’organisation militaire ? Ou plutôt a-t-il été lui-même formé, encadré et coaché et par qui ? Pourquoi Boussouf a-t-il recruté ses stagiaires et agents uniquement au Maroc et n’a-t-il pas fait venir des volontaires de toutes les régions d’Algérie ? Voilà les vraies questions que devrait poser aux autres et se poser à lui-même Chafik Mesbah dans le flot de sa phraséologie débridée.

                                Cinquante ans et plusieurs assassinats et règlements de comptes après l’indépendance, il y en a assez de cette insupportable suffisance qui consiste pour les Malgaches à faire passer Boussouf pour un génie supérieur aussi bien à toute la génération militante qui a généré le 1er novembre, qu’à toute l’intelligentsia militaire française qui sortait d’une capitalisation militaire de plusieurs guerres.

                                Sans oublier que les leaders de la guerre de libération tombaient comme des mouches sur dénonciation ou dans des embuscades ou sur des repérages de leurs appareils de transmission fournis par la logistique de Boussouf... quand ils n’étaient pas appelés au Maroc pour y être assassinés comme le regretté Abane Ramdane. Sans compter l’énigmatique détournement d’avion qui a neutralisé cinq dirigeants historiques de la révolution qui, à part Mostefa Lacheraf, ont connu des destins très douloureux dès leur libération. Tout cela dans une étonnante impunité, ou plutôt une tolérante protection dans un Maroc sous protectorat français.

                                Les nombreux et illustres historiens français de la guerre d’Algérie n’ont pas abordé ces questions qui fâchent. Il appartient toujours aux historiens algériens de fouiller un peu mieux les méandres de notre histoire de libération... si on les laisse faire.



                                La Sécurité militaire sous contrôle des Marocains du Malg

                                Pendant que les valeureux moudjahidines tombaient au champ d’honneur dans les maquis algériens, les « Marocains du Malg » se formaient et s’entraînaient avec « l’armée des frontières ».

                                Dès la proclamation de l’indépendance le 5 juillet 1962, le clan d’Oujda fomente son premier coup d’État en destituant violemment le GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne) basé à Tunis et impose un authentique Marocain à la tête de l’État. Ahmed ben Mahjoub ben Embarek dit Ben Bella est un marrakchi de père et de mère. Sa biographie officielle le fait naître à Maghnia, mais le culte du mensonge du pouvoir algérien est tel qu’il est permis d’en douter. Il a longtemps caché sa marocanité comme une tare avant de l’avouer publiquement. Une des impostures les plus cocasses des gouvernants algériens est à mettre à son actif. Lors de la guerre des sables de 1963 lancée par Hassan II, il s’était écrié : « Hagrouna el marrakchia ! »

                                Mais durant le court épisode Ben Bella, qui fut destitué par le coup d’État du 19 juin 1965, et à l’ombre de Boumediene qui était ministre de la Défense, les Marocains du Malg ont pris toutes les commandes de la Direction de la Sécurité militaire en la structurant. Le directeur de la SM, Kasdi Merbah, assassiné en 1993, a été présenté jusqu’à aujourd’hui comme un Kabyle né à Beni Yenni et ayant vécu au Maroc. C’est un mensonge d’État. De son vrai nom, Abdallah Khalef, c’est un authentique Marocain dont la famille est originaire et vit encore à Sidi Kacem. Il a étudié à Fès où il a connu ses futurs compagnons du Malg. Il a dirigé la SM depuis sa création en 1963 jusqu’à 1979.

                                Son 1er adjoint, le colonel Nourredine Zerhouni dit Yazid est également un authentique Marocain, ainsi que son frère Ferhat, également haut responsable à la SM. S’il y a bien une famille qui ne peut nier son origine marocaine, c’est la famille Zerhouni dont le nom vient du djebel Zerhoun accolé à la ville Moulay Idriss Zerhoun, située à 25 km de Meknès, devenue ville sainte depuis qu’elle abrite le sanctuaire du fondateur de la dynastie Idrisside, Idrîs Ier.

                                Malgré l’évidence de son origine, Nourredine Zerhouni continue de mentir comme il respire. Dans un récent article biographique édulcoré et narcissique sur son parcours où il se vante d’avoir enrôlé en 1962 le sous-lieutenant d’artillerie Mohamed Mediene futur général Toufik, il décrit « une enfance tunisienne (il est né en 1937 à Tunis) et une adolescence marocaine (dans la région de Fès) ». (2) Le journaliste d’origine marocaine comme son nom l’indique, Chérif Ouazani, a oublié que dans un précédent article laudateur, il avait écrit dix ans plus tôt avec un certain Mohamed Sifaoui que « Zerhouni était né en 1938 au Maroc ». (3)

                                Zerhouni, bras droit de Kasdi Merbah, l’avait aidé à structurer la SM, dirigé la Direction du Renseignement extérieur (DRE), géré le contre-espionnage et créé le Service Action commandé par le sinistre Abdallah Benhamza. Ce tortionnaire, qui avait fait des aveux à la presse par la suite, était chargé de réprimer durement les opposants communistes et berbéristes. Kasdi Merbah, les frères Zerhouni, Ali Tounsi et tous les Marocains formés par Boussouf et structurés dans la SM ont semé la terreur au sein de la population. Après l’éviction de Merbah, Zerhouni prend la tête de la SM de 1979 à 1982. À la suite de quoi, il fut nommé ambassadeur à Mexico puis Washington avant de prendre sa retraite en 1989.

                                Après l’élection de Bouteflika en 1999, Zerhouni le rejoignit à la présidence avec l’ambition de devenir ministre de la Défense. Face au refus catégorique des généraux d’avoir leur ancien patron comme chef, il s’octroya le ministère de l’Intérieur. Cela fait maintenant dix ans qu’il sème de nouveau la terreur dans toute l’Algérie et en particulier en Kabylie, région qu’il déteste particulièrement. Il est secondé pour cela par son compatriote le Marocain Dahou Ould Kablia, né en 1933 à Tanger, qui est actuellement ministre des Collectivités locales. Il est aussi le président de l’association des anciens du Malg et s’est révélé être un lamentable négationniste qui s’est permis récemment de nier l’aide arabe en la qualifiant de mythe.

                                Zerhouni peut compter également sur son ami d’enfance, Ali Tounsi, originaire lui aussi de la région Fès-Meknès, et qu’il a trouvé installé à la tête de la DGSN depuis 1995. Auparavant, le colonel Ali Tounsi faisait partie de l’équipe dirigeante des Marocains de la SM en qualité de responsable de la sécurité de l’armée, avant d’être radié des effectifs pour délit d’homosexualité.

                                Afin que les policiers de base ne sachent rien du passé de leur chef, le site de la DGSN ne mentionne absolument rien sur la biographie d’Ali Tounsi.

                                Le culte du secret qui couvre le passé et le présent de la carrière des dirigeants militaires n’a pas permis aux journalistes ni aux historiens de déceler leur véritable origine. Eux savent tout sur tous les Algériens et les Algériens ne savent rien sur eux. Plusieurs générations d’officiers de la SM ont fait des enquêtes d’habilitation sur les cadres de la nation sans se rendre compte que leurs propres chefs n’étaient pas Algériens.

                                On citera à titre d’exemple le cas du général Salim Benabdallah dit Slim, « né en 1938 à l’Ouest ». De la même génération que Zerhouni, il a occupé des fonctions stratégiques en qualité de directeur des Relations extérieures au MDN de 1990 à 1996. Cette structure du renseignement coiffe l’ensemble des attachés militaires affectés dans les ambassades algériennes. En 1999, Bouteflika lui confie la direction du protocole en voulant faire de lui le maître de la sécurité à la présidence en coiffant la direction de la sécurité et la protection présidentielle (DSPP). Le DRS l’en a empêché en maintenant à la présidence un autre « Marocain du Malg », le général Hassan Bendjelti dit Abderrezak, dont le « mensonge officiel » fait croire qu’il est le seul officier supérieur originaire du Sud, en raison de son bronzage prononcé.

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