Mohammed VI perd son sang-froid

[dlimi]

je ne comprend pas le roi du maroc.d abord il dit que tout les saharouis sont marocains et lui font allegance.s attaque a l algerie ne lui servira a rien.
si c est vrai pourquoi il n organise pas un refrendum ?
si les sahrouis sont marocains comme le dit le roi pourquoi il aurait peur du refrendum ?



---------------------------------------------------------------------------

un con va plus loin que un intellectuel assis.

[Ben Tachefine]

C'est pitoyable.

Combien de fois faudra-t-il que vous postiez le même article pour que votre soif d'insultes et de haine soit assouvie? Les mots de ce Mr. Touati, journaliste de pacotille qui excelle dans le mensonge et la calomnie, sont si doux à vos oreilles que c'est la troisième fois en une seule journée que vous le postez. Allah ye3fou

[diabolo005]

si les sahrouis sont marocains comme le dit le roi pourquoi il aurait peur du refrendum

le disque est rayé à force de chanter la même chanson....changer de disque

[icosium]

Ya si Ben Tachefine,

Tu n'as pas vu les articles calomnieux des journaux marocains et de la MAP ? Il n y a pas un jour qui passe sans qu'il y es des articles de propagande qui accusent l'Algérie.

La dernière trouvaille : le détournement de l'aide humanitaire international !!

[djamal 2008]

le disque est rayé à force de chanter la même chanson....changer de disque

La technologie a changé la donne, sorry, l'expression n'est plus de mise; le disque rayé n'a plus de sens désormais. Un cas d'anachronisme se pose. Faut trouver une autre expression pour cela. Nice try!
Même changer de disque se fait avec touch-button, nowadays!

[ROUMI]

La dernière trouvaille : le détournement de l'aide humanitaire international !!

Tu es étonné icosium, ne fait pas le naif, pour te rendre compte de cet etat de fait va dans les marchés mauritaniens et tu verras des sacs estampillés aides humanitaires sur les étales.

Soit sérieux tu crois que les sbirs du polisbels ont fait comment pour amasser des millions de dollars investis direct sur la costa del sol et dans les iles canaries, en vendant des poteries sahraouis!!!:22:

[Beidawi II]

les généraux algériens ne veulent pas du referundum puisque ça sera la fin de leur pièce de théâtre. Ils ont peur du referundum.

[Laayoune]

Tu n'as pas vu les articles calomnieux des journaux marocains et de la MAP ? Il n y a pas un jour qui passe sans qu'il y es des articles de propagande qui accusent l'Algérie.

Le font-ils a tort ?

L'Algerie n'heberge t-elle pas l'ennemi du Maroc ?

L'Algerie ne l'arme t-elle pas pour tuer les marocains ?

L'Algerie ne lui permet elle pas d'exister ?

Sans l'Algerie le Polisario existerait-il encore ?


Souviens toi juste tout ce qu'avait fait la presse algerienne contre le Maroc JUSTE CAR DES TERRORISTES ALGERIENS AVAIENT PASSER LA FRONTIERE POUR ALLER SE CACHER AU MAROC !!!!
Ils avaient dit oui le Maroc acceuille les terro algeriens, les services secrets marocains sont complices avec eux, le Maroc veut detruire l'Algerie etc etc...
Alors faut pas s'étonner !

[jamaloup]

layoun , personne ne s'etonne des bêtises de la MAP, personne ne la prend au serieux , moi je m'etonne de l'amateurisme de la diplomatie ,et de la propagande de votre nouveau maitre ,plus il est impulsif plus son pere été subtil, intelligent , manoeuvrier.

bedaoui les generaux qui refusent le referundum ..g bien ri

[Ben Tachefine]

Revenons, si vous le voulez bien, sur le sujet du détournement d'aide humanitaire par les dirigeants du polisario.

Je ne vois pas pourquoi l'auteur de ce soi-disant article s'offusque, telle une vierge effarouchée, par les accusations du Maroc, puisque, comme je l'ai dit plus haut, le détournement d'aide humanitaire par le polisario a été à maintes reprises dénoncé par des ONG.

Voici un extrait d'un rapport, effectué en octobre 2008 par l'ESISC, qui met la lumière sur les trafics et la dérive criminelle du polisario "au plus haut niveau":

3. Poursuite du détournement des aides internationales

Depuis plusieurs années, le Front Polisario est régulièrement accusé de
détournement des aides humanitaires, financières et matérielles, attribuées par des
organisations non gouvernementales (ONG) ainsi que par des organisations
internationales.

3.1. Un lourd passif de détournement

Outre les accusations d’anciens membres du Polisario

15, la presse internationale a

rapporté plusieurs exemples de détournement. En mars 1999, le quotidien espagnol
El Pais révélait qu’une aide de 64 millions de pesetas (environ 385 000 euros)

remise par la Croix rouge espagnole au Polisario pour acheter 430 chamelles afin

d’améliorer les conditions d’alimentation des enfants sahraouis avait disparu. Cela a

même été implicitement confirmé par Embarek Malainine, le responsable de la
coopération internationale du mouvement séparatiste, qui n’a pas démenti le bienfondé
de ces accusations en admettant, candidement, que ce détournement n’avait
toutefois pas contribué à son « enrichissement personnel16 ».
Par ailleurs, le différentiel entre le nombre réel de réfugiés sahraouis et les
chiffres avancés par le Polisario constitue la base du détournement de
l’aide alimentaire acheminée par des organisations internationales. Ce problème
n’est pas nouveau et a été à maintes reprises dénoncé. Alors que le Front évaluait, à la
fin des années 1990, le nombre de réfugiés dans la région de Tindouf entre 155 000
et 170 000, des ONG norvégienne et américaine donnaient des estimations autour
de 80 000 personnes17.
Le volume d’aides étant calculé en fonction du nombre de personnes officiellement
déclarées par le Polisario, cet écart indique clairement que ce détournement de
l’aide alimentaire et matérielle a été avalisé au plus haut niveau et ne découle
pas d’initiatives individuelles comme le déclare le Front.
Ces détournements sont d’autant plus simples et courants que d’après la Commission
européenne, les programmes de certaines ONG concernant l’aide aux
réfugiés sahraouis sont « dénués de toute rigueur et du minimum de
structure et d’un système d’évaluation requis18 ». L’Union européenne (UE)
n’est pas non plus en reste car une partie de son aide humanitaire a été retrouvée en
vente sur des marchés en Mauritanie. La Commission européenne n’est toutefois pas
parvenue à établir « que ce détournement est réellement l’oeuvre d’un réseau
organisé».

Voici le lien vers le rapport, (page 8 et 9)

[ayoub7]

layoun , personne ne s'etonne des bêtises de la MAP, personne ne la prend au serieux , moi je m'etonne de l'amateurisme de la diplomatie ,et de la propagande de votre nouveau maitre ,plus il est impulsif plus son pere été subtil, intelligent , manoeuvrier.

Ah oui rien a dire, pour ameteurisme c'est de l'amateurisme Il n'y a qu'a voir les resultats de la politique Basriste de H2 et celle de M6 aujourd'hui... H2 vous manque parce qu'il etait "previsible", M6 vous donne du fil a retordre et traine dans la boue la position algerienne sur la scene internationale, bien sur que vous n'aimez pas

[Laayoune]

layoun , personne ne s'etonne des bêtises de la MAP, personne ne la prend au serieux , moi je m'etonne de l'amateurisme de la diplomatie ,et de la propagande de votre nouveau maitre ,plus il est impulsif plus son pere été subtil, intelligent , manoeuvrier.

Quand tu ne me parle pas de tribu, tu me donne une reponse qui n'a absolument rien a voir avec ce que j'ai posté.

J'ai l'habitude maintenant avec toi d'avoir des reponses, made in china

[Celeron]

Ton ESISC est un organisme mercenaire qui pond des articles sur mesure contre des sommes rondelettes.

Le makhzen a deja eu recours a ses services.

L'affaire ESISC : Lorsque le Maroc paie pour des rapports

Le Journal condamné à une peine record pour diffamation

Le jugement le plus récent rendu dans une affaire de diffamation et ayant donné lieu à une peine aux proportions inquiétantes est celui qui a été prononcé à l'encontre du Journal. Le Journal et son principal concurrent, TelQuel (voir plus loin), sont des hebdomadaires agressifs, basés à Casablanca, publiés sur papier glacé et qui attirent un lectorat recruté dans l'élite.

Dans son édition du 3 décembre 2005, Le Journal a publié un article sur le Sahara Occidental dans lequel il critiquait et ridiculisait un document élaboré par une cellule de réflexion basée à Bruxelles, le European Strategic Intelligence and Security Center (ESISC). Le document de l'ESISC porte sur le Front Polisario, le mouvement pour l'indépendance qui est l'adversaire du Maroc dans le long conflit qui les oppose sur le Sahara Occidental. Le rapport de l'ESISC s'intitule "Le Front Polisario: partenaire crédible de négociations ou séquelle de la Guerre froide et obstacle à une solution pacifique au Sahara Occidental?" Le Journal accusait le rapport de faire preuve de tant de partialité en faveur de la position marocaine officielle qu'il donnait l'impression d'avoir reçu des instructions et de l'argent du gouvernement marocain ou de ses lobbyistes.

Le Journal, qui est diffusé à environ 16.000 exemplaires, n'a en réalité jamais accusé l'ESISC d'avoir reçu de l'argent ou des instructions des autorités marocaines ou d'intermédiaires agissant en leur nom. Mais son article, basé sur une analyse du contenu du rapport, est rempli de sous-entendus. Il emploie des termes tels que "téléguidé" et "dirigé" pour décrire le rapport, mais il prend la peine de les mettre entre guillemets. Par exemple, l'hebdomadaire titrait en couverture: "Les mauvais arguments d'un rapport 'téléguidé' par Rabat. Le Polisario est-il fini?".

Le président de l'ESISC, Claude Moniquet, a intenté un procès en diffamation contre Le Journal au Maroc, faisant valoir que les allégations selon lesquelles il avait accepté de l'argent marocain pour publier le rapport avaient nui à la réputation de l'ESISC. "Nous refusons les financements de toute partie impliquée dans nos recherches", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse le 20 décembre.7 Moniquet réclamait cinq millions de dirhams en dommages-intérêts ainsi que la publication par Le Journal d'un "rectificatif" à ses frais dans les journaux au Maroc, en Europe et aux Etats-Unis. Le ministère public réclamait également cinq millions de dirhams de dommages-intérêts pour le plaignant.

Le procès en diffamation à l'encontre du directeur du Journal Aboubakr Jamaï et du reporter Fahd Iraqi s'est ouvert le 16 janvier devant le Tribunal correctionnel de Rabat. Les défendeurs ont demandé au juge de convoquer comme témoins deux spécialistes du conflit au Sahara Occidental basés respectivement en Espagne et en France. La défense espérait que ces témoins experts cautionneraient l'opinion du Journal selon laquelle le rapport de l'ESISC semblait étrangement proche de la position marocaine officielle, démontrant par là-même la "bonne foi" du Journal lorsqu'il avait jugé sévèrement le rapport.

Au regard de la loi marocaine, la vérité est généralement un bon argument de défense dans les procès en diffamation. L'Article 73 du Code de la Presse stipule que la partie accusée de diffamation "doit prouver la vérité des faits diffamatoires" en fournissant au procureur du Roi "la copie des pièces;les noms, professions et adresses des témoins par lesquels il entend faire sa preuve."

Pourtant, le juge présidant le procès contre Le Journal, Mohammed Alaoui,8 a rejeté la requête de l'hebdomadaire de convoquer les deux experts en tant que témoins. Dans son jugement écrit, il fondait son refus non pas sur le manque de pertinence des témoins mais plutôt sur une lecture peu orthodoxe et contre-intuitive de l'Article 73, selon laquelle les preuves présentées par le défendeur pour l'innocenter devaient inclure à la fois des documents et des témoins oraux mais pas uniquement l'un ou l'autre. Cette décision procédurale a poussé les avocats du Journal à se retirer du procès en signe de protestation, faisant valoir que le Juge Alaoui les avait privés du moyen de défendre leurs clients.

Human Right Watch :
[hrw.org]

[Ben Tachefine]

Ton ESISC est un organisme mercenaire qui pond des articles sur mesure contre des sommes rondelettes.

Le makhzen a deja eu recours a ses services.

Je savais que l'on me sortirait cet argument, mais j'ai quand même posté l'extrait du rapport car:

1- Avec tout le respect que j'ai pour A. Jamai, on ne fonde pas ses accusations sur des suppositions ou des impressions,

La défense espérait que ces témoins experts cautionneraient l'opinion du Journal selon laquelle le rapport de l'ESISC semblait étrangement proche de la position marocaine officielle

et donc ces accusations rejoignent la horde d'accusations qui fusent à chaque fois qu'un rapport d'une ONG indépendante dérange le polisario et ses commanditaires.

2- Le rapport se base sur des faits réels et avérés dénoncés par d'autres ONG, des médias et même des experts de l'ONU proches de Ban ki Moon, il n'y qu'à voir la liste des références citées au bas de chaque page.

3- Voici un autre article d'El Pais qui a mis au jour les agissements criminels du polz. Désolé, c'est en espagnol.

ONG
CRE investigó el desvío por el Polisario de ayudas para comprar 430 camellas

La organización no comunicó su sospecha a sus financiadores

IGNACIO CEMBRERO - Madrid - 07/03/1999



La niña rompió la hucha ante las cámaras de televisión y entregó sus ahorros para "un niñito que pasaba hambre". Sucedió en vísperas de la Navidad de 1995 en el curso del programa Víctimas de conflictos olvidados, de Paco Lobatón, en TVE. A continuación empezaron a llover llamadas de donantes. Todos ellos recibieron poco después una carta de agradecimiento del presidente de Cruz Roja Española, Juan Manuel Suárez del Toro.Lobatón recaudó esa noche 109,8 millones de pesetas, de los que entregó 19 millones a la Cruz Roja para la compra de 430 camellas para mejorar la alimentación de carne y leche de las mujeres, ancianos y niños refugiados saharauis. También hicieron aportaciones la Agencia Española de Coo-peración Internacional, con 20,76 millones, y los ayuntamientos de Madrid y Las Palmas, con 17,64 y 6,33 millones de pesetas, respectivamente.

En total, diversas entidades de Cruz Roja obtuvieron 64 millones para llevar a cabo el proyecto en asociación con la Media Luna Roja Saharaui (MLRS), una organización que no goza de reconocimiento internacional.
Un año después Antonio Sosa, delegado de Cruz Roja en Las Palmas, viajó al Sáhara acompañado por un veterinario, Carlos Gutiérrez, para comprobar el desarrollo de la operación.
A su regreso redactó un informe, al que ha tenido acceso EL PAÍS, cuya conclusión reza: "Estos fondos [64 millones] se habrán destinado a sabe Dios qué fin, pero me atrevería a afirmar que en ningún caso a pagar los camellos comprados, que reitero pienso que ya eran de ellos(...)". Sospechaba que los saharauis fingieron comprar reses que ya pertenecían al Frente Polisario.
A sus dos interlocutores saharauis, Embarek Malainin, jefe de cooperación de la República Árabe Saharaui Democrática, y Abeida Chej, presidente de la MLRS, Sosa les comunicó sus recelos. "Le explicamos la gravedad que esto podría tener si se conocía fuera de nuestro círculo, bien por un medio de comunicación, bien por los financiadores. Incluso apelamos a la vena sentimental". Malainin no desmintió la acusación, aunque insistió en que "en ningún caso se va a producir un enriquecimiento personal" con esos fondos. Chej, en cambio, respondió que se trataba de "intoxicaciones de los marroquíes".
Siete meses después, la correspondencia interna entre la oficina central y la de la Comunidad de Madrid de CRE seguía dando por válidas las sospechas de Sosa, e insistía en que no debían trascender. Sí consideraba, en cambio, "muy interesante" que los financiadores conociesen el estudio del veterinario sobre la buena salud de la cabaña.
De hecho, tres de los financiadores -a Lobatón nadie suele rendirle cuentas, según explicó él mismo- sólo recibieron, entre julio de 1997 y marzo de 1998, este segundo documento, junto un informe final en el que Leopoldo Pérez Suárez, secretario general de la CRE, afirma que "los objetivos del proyecto se han conseguido en su totalidad". En presencia de Antonio Bruel, número dos de Cruz Roja, Sosa declaró a EL PAÍS que "la organización de los viajes y el seguimiento técnico de la operación fueron harto complicados", pero que, tras escribir su informe, "aparecieron elementos adicionales" que restan validez a sus impresiones. Asegura ahora que el proyecto se ejecutó satisfactoriamente.

PS: l'article que tu as posté n'a rien à voir avec HRW, et encore moins le titre. C'est une tentative scélérate de mystification, Celeron, mais qui ne prend pas avec moi .

[houari16]

H2 vous manque parce qu'il etait "previsible",

Effectivement , une bonne analyse et vrai ; par cette prévisibilité , H II a légué a son fils un trône en feu , actuellement il est coincé entre le marteau et l enclume ..

M6 vous donne du fil a retordre et traine dans la boue la position algerienne sur la scene internationale,

Nenni ! Ça se voit sur la scène international : vide politique et la chaise vide …

bien sur que vous n'aimez pas

A en croire ayoub 7 .