aux environs de Dakhla occupée
Dakhla (territoires occupés), 06/09/2009 (SPS) Un colon marocain dénommé Brahim Sayeh qui travaillait chez la famille de Hamma Menni comme pasteur a procédé samedi matin à l’assassinat de la mère de la famille, Salma mint Abdallah (80 ans) et sa fille Demba Hamma, alors qu’elles étaient en plein sommeil, a rapporté une source du ministère des territoires occupés et de la communauté sahraouie à l’étranger.
Le malfaiteur a procédé à ses faits vers 4 heures du matin en jetant une grande pierre sur la tête de la mère de la famille qui est morte sur le champ et s’est dirigée vers sa fille, la violant à son tour avant de l’égorger et la poignarder au dos et s’échapper par la suite laissant derrière lui les victimes dans une situation déplorable, a regretté la même source.
Il a également profité l’absence du fils de la famille qui s’est déplacé de la localité de Toaulat, située à 6o kilomètres au nord Est de Dakhla, où se trouve sa famille, vers la même ville pour des besoins de la famille, selon la même source.
Les victimes ont été découvertes que vers 14heures au lendemain de l’assassinat par des passants qui ont été surpris par ces actes "criminels" et se sont hâtés vers la ville pour appeler le secours, a ajouté la même source.
Au mois neuf citoyens sahraouis avaient trouvé la mort dans des circonstances similaires, dont trois personnes âgées choquées par un militaire marocain à bord d’un camion qu’il conduisait dans les avenues de la ville de Dakhla occupée, en décembre 2005.
Il s’agit de : Laamor Sidi Brahim, Taleb Oul Ali Menna et Mohamed Lehsan Sidi Brahim.
Depuis le déclenchement de l’Intifada en mai 2005, les militaires marocains au Sahara Occidental et au Sud du Maroc avaient également commis d’autres crimes après celui de Lembarki Hamdi mort sous la torture le 30 octobre 2005 et Likhlifi Abba Cheikh, assassiné par un militaire non loin de son domicile le 3 décembre de la même année, rappelle-t-on.
En juillet 2007, Dada Ali Ould Hamma Ould Nafaa, décédé dans une clinique à Agadir, endurant d’une maladie chronique.
En septembre 2007, le jeune sahraoui, Sidha Ould Abdelaziz Ould Lehbib, mort à bord d’une voiture qui le transportait vers un centre de psychiatre à la ville d’Agadir (sud du Maroc), en raison de la "torture sauvage" qu’il a subit durant le trajet, de la part des forces de répression marocaines.
L’ultime victime qui remonte à décembre 2008 où deux étudiants sahraouis, Houssein Abdessadik Alkteyif et Khaya Baba Abdelaziz ont trouvé la mort après avoir été traversés par un marocain à bord d’un bus, à la station routière d’Agadir, rappelle-t-on encore. (SPS)
020/090/110 061600 SEPT 09 SPS
Dakhla (territoires occupés), 06/09/2009 (SPS) Un colon marocain dénommé Brahim Sayeh qui travaillait chez la famille de Hamma Menni comme pasteur a procédé samedi matin à l’assassinat de la mère de la famille, Salma mint Abdallah (80 ans) et sa fille Demba Hamma, alors qu’elles étaient en plein sommeil, a rapporté une source du ministère des territoires occupés et de la communauté sahraouie à l’étranger.
Le malfaiteur a procédé à ses faits vers 4 heures du matin en jetant une grande pierre sur la tête de la mère de la famille qui est morte sur le champ et s’est dirigée vers sa fille, la violant à son tour avant de l’égorger et la poignarder au dos et s’échapper par la suite laissant derrière lui les victimes dans une situation déplorable, a regretté la même source.
Il a également profité l’absence du fils de la famille qui s’est déplacé de la localité de Toaulat, située à 6o kilomètres au nord Est de Dakhla, où se trouve sa famille, vers la même ville pour des besoins de la famille, selon la même source.
Les victimes ont été découvertes que vers 14heures au lendemain de l’assassinat par des passants qui ont été surpris par ces actes "criminels" et se sont hâtés vers la ville pour appeler le secours, a ajouté la même source.
Au mois neuf citoyens sahraouis avaient trouvé la mort dans des circonstances similaires, dont trois personnes âgées choquées par un militaire marocain à bord d’un camion qu’il conduisait dans les avenues de la ville de Dakhla occupée, en décembre 2005.
Il s’agit de : Laamor Sidi Brahim, Taleb Oul Ali Menna et Mohamed Lehsan Sidi Brahim.
Depuis le déclenchement de l’Intifada en mai 2005, les militaires marocains au Sahara Occidental et au Sud du Maroc avaient également commis d’autres crimes après celui de Lembarki Hamdi mort sous la torture le 30 octobre 2005 et Likhlifi Abba Cheikh, assassiné par un militaire non loin de son domicile le 3 décembre de la même année, rappelle-t-on.
En juillet 2007, Dada Ali Ould Hamma Ould Nafaa, décédé dans une clinique à Agadir, endurant d’une maladie chronique.
En septembre 2007, le jeune sahraoui, Sidha Ould Abdelaziz Ould Lehbib, mort à bord d’une voiture qui le transportait vers un centre de psychiatre à la ville d’Agadir (sud du Maroc), en raison de la "torture sauvage" qu’il a subit durant le trajet, de la part des forces de répression marocaines.
L’ultime victime qui remonte à décembre 2008 où deux étudiants sahraouis, Houssein Abdessadik Alkteyif et Khaya Baba Abdelaziz ont trouvé la mort après avoir été traversés par un marocain à bord d’un bus, à la station routière d’Agadir, rappelle-t-on encore. (SPS)
020/090/110 061600 SEPT 09 SPS
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